combien de temps dure un detartrage pour chat
Ainsi le brossage diminue le risque de colonisation bactérienne et d'accumulation de tartre sous la gencive. Étant donné que la plaque dentaire se forme en 3-12 heures sur une dent propre et
Ledosage vinaigre blanc pour nettoyer les vitres est de 25 cl de vinaigre pur pour 75 cl d’eau chaude. L’avantage c’est que ce produit nettoyant fait briller sans trace et dégraisse en même temps tout en étant économique et écologique. 25cl vinaigre + 75 cl eau.
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Fraisvétérinaires chat. Les frais de soins atteignent 300€ la première année pour un mâle et 359 € pour une femelle, en moyenne. Le prix vaccin chat atteint 128 €. Stérilisation chien : estimer le prix. Le prix d'une castration de chien varie entre 167 € et 308 € en moyenne suivant la taille et la clinique qui opère.
Quil s’agisse d’une intervention de convenance (détartrage, stérilisation) ou d’une chirurgie curative (réparation d’une fracture osseuse, d’une rupture ligamentaire, chirurgie abdominale ou thoracique ) votre animal doit subir une anesthésie générale. L’anesthésie du chien et du chat est toujours une éventualité angoissante pour le propriétaire. Disposer des
Rencontre Avec Joe Black Musique De Fin. La chirurgie pratiquée par un vétérinaire sur un chat ou sur un chien nécessite un maximum de préparations. L’anesthésie fait partie des plus incontournables. En effet, dans toutes pratiques chirurgicales, qu’elles soient légères détartrage, stérilisation… ou lourdes fracture, tumeur…, l’anesthésie est d’une importance cruciale. Cependant, elle a un coût ! Par ailleurs, le prix d’un vétérinaire pour chat varie d’un cabinet à un autre. Sans oublier que le poids des animaux et leur âge constituent autant de paramètres qui conditionnent l’administration d’une anesthésie. Mais quel est donc le prix d’une anesthésie d’un chat ? Retrouvez des explications plus précises à travers les lignes qui suivent. L’anesthésie un préambule inéluctable avant chaque opération L’administration d’une anesthésie fait partie des procédures de préparation de votre animal pour une chirurgie. Il s’agit, en effet, d’une technique pratiquée en vue d’endormir chiens et chats avant une opération. Vous trouverez de nombreux types d’anesthésies, mais les plus connues et les plus utilisées sont les anesthésies fixes et gazeuses. Peu importe laquelle sera utilisée, son but reste le même faire en sorte que l’animal dorme. Premièrement, pour l’immobiliser. Ensuite, pour qu’il ne ressente aucun des actes du vétérinaire. Pour la douleur, les vétérinaires préconisent, généralement, une dose d’analgésique. La quantité d’anesthésie, ainsi que celle de l’analgésique, dépendent entièrement de la morphologie de votre chat et de la maladie à traiter. Quels sont les tarifs moyens des anesthésies pour chat ? Les anesthésies fixes coûtent moins cher que les anesthésies au gaz. Les tarifs pratiqués dépendent des vétérinaires et de la ville dans laquelle se trouve la clinique qui accueillera l’opération. L’on retrouve par exemple à Toulon des anesthésies fixes qui coûtent environ 50 euros et d’autres qui coûtent dans les 40 euros à Rennes. Les anesthésies au gaz, en revanche, valent plus cher. Le prix variera également selon le lieu et le tarif du vétérinaire. Les prix d’anesthésies gazeuses oscillent entre 65 euros et 90 euros. Quelle anesthésie utiliser pour quelle opération ?Ne payez plus vos frais vétérinaires. Comparez et trouvez l’assurance santé animale la moins COMPARE La différence de prix entre les types d’anesthésies s’explique, tout simplement, par l’usage réservé à chacune d’entre elles. Les anesthésies fixes pour une chirurgie de courte durée L’anesthésie fixe est utilisée lorsque la chirurgie qui s’en suit est de courte durée et légère. Pour éviter que votre chat ne bouge lors d’une castration ou lors d’un détartrage par exemple, le vétérinaire utilise souvent une anesthésie fixe. Pour une ovariectomie d’une chatte ou d’une chienne, le vétérinaire se servira également de ce type d’anesthésie. Il administre, dès lors, les différents médicaments par injection intraveineuse ou intramusculaire. Le chat, comme le chien ou le NAC, perdra conscience pendant une durée déterminée et le vétérinaire peut prodiguer son traitement et ses soins tranquillement. L’anesthésie au gaz pour les opérations plus complexes Cette méthode consiste à faire inhaler un gaz anesthésiant à votre chat en l’insufflant directement dans sa trachée. Les effets de cette anesthésie durent plus longtemps. De fait, elle est utilisée lors d’une hospitalisation d’urgence, causée par une fracture ou par d’autres accidents graves de ce genre. Le prix d’une anesthésie d’un chat souvent compris dans celui des opérations La difficulté dans la définition du prix d’une anesthésie d’un chat réside, également, dans le fait qu’il est déjà compris dans les tarifs des opérations chirurgicales. En effet, l’administration d’une anesthésie se fait au cas par cas. Chaque animal recevra, alors, une dose qui lui conviendra. Par conséquent, plutôt que de perdre votre temps à calculer le prix de l’anesthésie pour chat, sachez que la plupart des cliniques et des vétérinaires l’ont, déjà, intégré dans les coûts de chirurgie. Quand utiliser une anesthésie pour chat ? La réponse est toute donnée avant une opération chirurgicale. Cependant, aucune maladie ne pourra être décelée si vous ne déployez pas les soins nécessaires pour votre animal. Nous parlons là des différents rituels comme le bilan de santé annuel, le vaccin contre la rage, l’examen, le test et les analyses des différents organes… C’est, donc, lors des consultations chez le vétérinaire que l’identification des différentes pathologies se fera. Pendant une visite de routine, par exemple, il pourra faire une échographie et analyse si les organes internes fonctionnent correctement ou si une intervention est nécessaire. En outre, c’est lui qui dispose du matériel nécessaire pour connaître la gravité de la maladie de votre chat. Toutefois, face à un accident grave ou pas, vous saurez immédiatement que l’usage d’une anesthésie sera inévitable. Dès lors, avant d’emmener votre matou se faire opérer, prévoyez, dorénavant, dans vos dépenses le prix de l’anesthésie ! Ne payez plus vos frais vétérinaires. Comparez et trouvez l’assurance santé animale la moins COMPARE
Une cavité buccale en bon état assure le bien-être et la santé du chat car c’est un des préalables pour une alimentation sans difficultés. De ce fait, toute affection à ce niveau peut perturber la prise alimentaire chez le chat. Parmi ces affections qui touchent la cavité buccale du chat le tartre qui est loin d’être une simple maladie buccale pouvant être ignorée sans courir de sérieux désagréments. Symptômes du tartre chez le chat L’accroissement et la minéralisation de la plaque bactérienne accumulée sur les surfaces dentaires donnent ce qu’on appelle du tartre dentaire. Contrairement à la plaque bactérienne qui est une couche de couleur blanchâtre, le tartre se distingue par sa couleur orangée. Il faut savoir que les dents entartrées chez le félin tout comme chez l’être humain sont souvent une source de douleurs et de gêne notamment lors des repas. L’animal montre une certaine difficulté à s’alimenter pour cause de douleurs provoquées et des saignements au contact de la nourriture. Une mauvaise haleine ou halitose, une salivation excessive, l’apparition de démangeaison et de collections purulentes, des récessions gingivales surtout au niveau des dents postérieures signalent également une présence tartrique dans sa cavité buccale qui’il ne faut certainement pas ignorer. La Formation du tartre chez le chat La cavité buccale du félin abrite plus de 350 bactéries qui viennent se coller aux surfaces dentaires en présence des débris alimentaires en particulier les polysaccharides, et qui forment une pellicule blanchâtre, de consistance molle, détachable appelée la plaque dentaire. Avec le temps et surtout en absence d’une bonne hygiène, cette pellicule va s’épaissir avec la prolifération microbienne l’apparition de plusieurs couches, se minéraliser par la précipitation des ions calciques et des minéraux contenus dans la salive de l’animal pour devenir plus solide et dure, donnant naissance à des dépôts tartriques. Ces derniers ne vont plus tarder à devenir de couleur brune, orange ou noir avec un pouvoir pathogène accru et menaçant la santé et le bien-être du chat. Diagnostic du tartre chez le chat En règle générale le tartre est perceptible à l’œil nu, les surfaces amélaires des dents sont recouvertes par une couche jaunâtre, brunâtre ou orangée notamment au niveau des dents des secteurs postérieurs, il suffit juste d’ouvrir délicatement la gueule de l’animal pour pouvoir l’inspecter et repérer les formations tartriques. Néanmoins ce n’est pas toujours facile de localiser le tartre avec un simple coup d’œil, dans certains cas le tartre est sous gingival c’est-à-dire qu’il est enfoui sous la gencive en contact de la racine et non pas la partie visible de la dent. C’est ainsi que le vétérinaire fait appel à l’examen radiologique qui met en évidence des spicules tartriques le long des racines, leurs étendues, les groupes de dents touchées en plus d’éventuelles affections qui peuvent accompagner le tartre. Par ailleurs des bilans sanguins, biochimiques peuvent être prescrits en cas de souffle nauséabond afin d’exclure tous autre trouble métabolique comme le diabète. Complication du tartre chez le chat la gingivite Le tartre n’est pas qu’un simple préjudice esthétique ou une affection anodine mais il peut bien être à l’origine de nombreux désagréments parmi lesquels l’inflammation gingivale ou la gingivite. En effet, l’accumulation du tartre sur les dents et en sous gingival irrite fortement la gencive du félin, elle devient très rouge, tuméfiée et fragilisée par les réactions inflammatoires, douloureuse et saignante au moindre contact en particulier lors des repas. De plus la présence du tartre engendre un déchaussement gingival ou récession mettant à nu les dents qui vont devenir sensiblement douloureuses et susceptibles à développer des caries voire même s’abcéder si elles ne sont pas traitées dans l’immédiat. Responsable aussi d’une mauvaise haleine nauséabonde, et à long terme d’un affaiblissement du système immunitaire du chat suite à la prolifération des bactéries contenues dans les couches tartriques, et qui peuvent également viser d’autres organes et les altérer comme le cœur, les reins ou le foie insuffisance cardiaque, rénale, arthrite.., ou encore entraîner une inflammation de la couche profonde du cœur endocardite ou pire le passage de germes pathogènes dans la circulation sanguine pour infester tout l’organisme on parle alors de septicémie. C’est la raison pour laquelle une consultation chez le vétérinaire de façon régulière s’avère essentielle. Prédisposition du tartre chez le chat De nos jours, il existe de nombreuses études qui plaident pour une prédisposition génétique chez certaines races félines à développer du tartre. Mais cette théorie n’est pas seule à être incriminée, en parle aussi de certains facteurs qui prédisposent et favorisent la formation, l’évolution et l’entretien du tartre, on peut évoquer L’âge du chat au fur et à mesure que le chat vieillit, il devient de plus en plus prédisposé à développer du tartre. Une alimentation humide et molle favorise la formation des dépôts tartriques chez le chat, qui ne va pas trop mâcher son aliment et donc moins d’abrasion dentaire et plus d’accumulation du tartre. De ce fait tout autre facteur qui peut réduire l’amplitude et la fréquence masticatoire chez l’animal est en faveur de l’apparition du tartre. L’absence d’une bonne hygiène bucco-dentaire chez le félin. Certaines atteintes telles que les fractures, les processus tumoraux ou encore les gingivites. Ces dernières sont causées par le tartre mais si elles ne sont pas traitées, elles vont entretenir sa progression. La morphologie buccalecaractéristique de certaines races, fait d’elle un terrain propice à la formation du tartre, l’exemple des chats Persan et British qui sont les plus prédisposés à cette affection buccale. Traitement et intervention pour détartrage pour le chat Face à une gencive enflée, tuméfiée de couleur rouge vif et douloureuse, il est recommandé d’amener votre chat au vétérinaire pour une séance de détartrage dentaire. En effet le détartrage permet de retirer les blocs du tartre collés aux surfaces dentaires, il s’agit d’un acte opératoire indolore pratiqué sous anesthésie générale, de courte durée, qui utilise des ondes ultrasonores et une pâte à polir pour assainir les dents. Pour certains chats cette intervention est nécessaire dès leur jeune âge, et qui doit être renouvelée tous les deux ans en fonction de la vitesse d’apparition du tartre. Pour certains chats, ils n’ont pas besoin d’effectuer un détartrage. Le détartrage doit être complété par un polissage afin de favoriser la guérison des tissus endommagés, de donner une nouvelle orientation des fibres et prévenir la réapparition du tartre. Par ailleurs la gencive lésée doit être systématiquement soignée par un simple curetage gingival ou encore une chirurgie muco-gingivale. Les dents fragilisées par les caries, les processus nécrotiques ou inflammatoires doivent être extraites ainsi tout foyer infectieux susceptible de développer du tartre est éradiqué. Cependant pour une meilleure efficacité le détartrage doit être combiné avec un traitement médical et un traitement hygiénique. Le premier consiste à administrer des substances pharmaceutiques antimicrobiennes, dont l’action est à visée anti-plaque et antiseptique, voire bactéricide et virucide. Ces molécules se présentent sous forme de liquide ou sous forme de poudre et peuvent être administrées pour une courte durée de 15 jours maximum, ou à long terme et de manière régulière si le risque tartrique est élevé. Quant au traitement hygiénique, il se base principalement sur le brossage régulier des dents à l’aide d’une brosse souple ou d’un doigtier et une alimentation adéquate surtout pas humide. Prévention et hygiène d’entretien chez le chat La prévention reste toujours la meilleure solution pour éviter tout désagrément. L’inspection régulière des dents de l’animal est une étape très importante pour prévenir la formation du tartre. Néanmoins la prévention et l’entretien de la santé buccale du félin reposent sur deux grands volets le traitement hygiénique prophylactique proprement dit et le traitement dentaire. Le traitement hygiénique Comme on l’a précédemment avancé, ce traitement se base sur le brossage des dents, un assainissement régulier et une alimentation adaptée aux besoins du chat. Il est clair que manipuler la gueule du chat n’est pas une tâche facile, c’est pourquoi il est primordial de l’initier au brossage dès son jeune âge avec des doigtiers souples, des pâtes à détartrage et nettoyante. Le brossage doit s’effectuer verticalement depuis la partie rose de la gencive vers la couronne de la dent en un mouvement de balayage. Quant à l’alimentation du chat elle doit être choisie avec précaution. L’idéal est d’opter pour une nourriture croquante qui assure un effet mécanique abrasif doux non pas agressif de peur de léser davantage la gencive sur le tartre et les surfaces dentaires. Certaines marques proposent des produits alimentaires à base de fibres offrant un bien meilleur nettoyage et polissage des dents rendant l’accumulation de la plaque bactérienne et le tartre difficile, de plus ces produits contiennent des antioxydants qui s’opposent au processus de l’oxydation cellulaire dont les toxines bactériennes sont responsables. De même l’administration des comprimés à croquer, lamelles à croquer ou des pulvérisateurs vont renforcer davantage l’action du brossage et l’effet abrasif que procure l’alimentation. Le traitement dentaire L’ensemble des affections et lésions concomitantes doivent être prises au sérieux et soignées précocement, parmi ces atteintes La carie dentaire une affection rare chez le félin qui peut être à l’origine de l’apparition tartrique en lui offrant une niche pour s’accumuler, comme elle peut être une des conséquences de la présence du tartre en intra-buccal. Dans tous les cas une destruction de l’émail doit être vite traitée. C’est le même cas pour les pulpites inflammation pulpaire, les nécroses mortification de la pulpe, les fractures des dents ou les troubles de l’occlusion, l’extraction de la dent causale dans ces cas va soulager énormément l’animal. Prix d’un détartrage chez le chat Un détartrage doit s’effectuer régulièrement. Pour éviter les gonflements des gencives voire des infections, seul le détartrage sera efficace. Le prix d’un détartrage reste abordable. Cette intervention peut coûter jusqu’à 100 euros. Libre des tarifs, les vétérinaires appliquent le prix du détartrage qu’ils souhaitent. L’acte de détartrer n’est pas le plus cher dans le forfait vétérinaire. Effectivement, le prix du détartrage pour un chat comprend une anesthésie générale du chat. Le vétérinaire doit pouvoir effectuer ce soin sans que l’animal bouge. Afin de prévenir l’apparition du tartre des méthodes de prévention existent Alimentation anti-tartre prix 12€/kg Friandises anti-tartre prix 2€/100g Détartrage prix Jusqu’à 100€ Brosse à dents doigtier pour chat prix 3€ Dentifrice anti-tartre pâte pour chat prix 12€ Dentifrice anti-tartre spray pour chat prix 11€ Une assurance chat peut prendre en charge jusqu’à 100% les actes de confort comme le détartrage. En optant pour une assurance chat, le propriétaire n’a plus à se soucier du côté financier du suivi santé de son chat. Aujourd’hui en France, près de 7% de propriétaires font le choix de souscrire à une assurance animaux afin de prodiguer des soins vétérinaires réguliers, de qualité leurs compagnons. Questions fréquentes La multiplication pathologique des bactéries au sein de la plaque dentaire, évoluée par la suite en dépôts tartriques, est à l’origine de la mauvaise haleine ou l’halitose. C’est pourquoi l’usage des antibiotiques et antiseptiques sous forme de bain de bouche à base de chlorhexidine, pour une courte durée s’avère très efficace. Cependant ce traitement n’est pas un traitement curatif définitif. Pour remédier à ce problème, il faut plutôt chercher à éliminer le tartre qui en est responsable si vous désirez vous débarrasser de cette odeur nauséabonde chez votre animal de compagnie, et le complémenter par un brossage quotidien et des compléments alimentaires anti-plaques. Cela dit le tartre n’est pas la seule cause d’une halitose chez le chat, il se peut qu’il souffre d’une insuffisance rénale, hépatique, ou d’un problème endocrinien, gastro-intestinal, d’une infection respiratoire ou toute autre pathologie dont une mauvaise odeur buccale fait partie de son tableau clinique. Alors n’hésitez surtout pas face à une telle manifestation à consulter votre vétérinaire traitant pour faire passer des examens complémentaires analyses hématologiques, biochimiques.., et de mettre en évidence la vraie origine de la mauvaise haleine chez votre animal. Le tartre chez le félin naît à partir de la pellicule acquise exogène recouvrant les surfaces dentaires et sur laquelle les molécules minérales contenues dans la salive viennent se précipiter. Avec le temps l’ensemble va se minéraliser. Une accumulation importante du tartre peut devenir source de douleurs, de risque infectieux, handicap pour le chat et même être gênant et repoussant pour son propre maître. Et donc s’en débarrasser devient une nécessité, alors comment faire ? Un détartrage réalisé chez le vétérinaire est la première étape pour assainir la cavité buccale du chat, associé à un traitement chimique médical à base d’antiseptiques pour renforcer l’action mécanique du détartrage, et un régime alimentaire doté de pouvoir anti-tartrique adapté aux besoins de l’animal. Cependant si ce traitement n’est pas respecté et surtout n’est pas systématiquement associé à un brossage correct et régulier, le tartre risque toujours de réapparaître et altérer la santé buccale du félin. Comme chez les humains le brossage permet de nettoyer les dents, les protéger contre l’agglutination calcique et les maintenir en bon état. Néanmoins avec un chat âgé et non habitué à cette pratique, cela ne sera pas une tache si agréable, c’est la raison pour laquelle il est nécessaire d’apprendre à votre félin de se laisser brosser les dents depuis qu’il est tout petit. Faites intégrer progressivement le brossage dans le quotidien de votre chat, utilisez des brosses à dents souples, ou des doigtiers qui sont encore plus faciles à utiliser avec des pâtes dentifrices aromatisées, pensez à choisir l’arôme préféré de votre animal domestique cela va rendre les séances de brossage plus agréables pour votre félin. La méthode du brossage est en fait si simple une fois l’animal habitué, prenez les canines comme un point de départ, nettoyez-les en suivant des mouvements de va-et-vient verticaux, n’utilisez jamais de la pâte dentifrice que vous vous en utilisez personnellement car en cas d’ingestion votre chat peut bien tomber malade, cependant lors du brossage essayez de le laisser lécher la pâte pour s’y habituer à son goût. Avec le temps vous allez pouvoir lui brosser toutes les dents, il suffit d’y aller tous doucement. Le choix de la nourriture joue un rôle très important dans la lutte contre le tartre chez le chat. Heureusement il existe une alimentation sous forme de croquettes qui permettent par leurs textures d’effectuer un nettoyage efficace des surfaces dentaires. En réalité, lors de la mastication la rugosité de ses croquettes va assurer l’effet mécanique abrasif. Elles vont venir se frotter contre les parois dentaires, comme pour les polir et les débarrasser de tous les débris alimentaires qui s’y collent, en plus de la plaque dentaire et les dépôts tartriques s’ils sont déjà installés. Ces croquettes ont également un rôle de retarder l’apparition de ces plaques et dépôts tartriques chez le chat.. Il faut savoir que ces aliments font partie du plan du traitement de votre chat, ils sont adaptés à ses besoins notamment s’il est prédisposé à développer du tartre. Comme on l’a précédemment exposé, le tartre n’est pas une affection banale sans conséquences. En effet ces formations calciques infectées par les bactéries irritent le tissu superficiel qui protège les structures profondes la gencive ». Dans un premier temps, le tartre fragilise cette barrière, elle est alors tuméfiée et sanglante mais la lésion reste jusqu’alors réversible, ce qui veut dire que si un traitement approprié est entrepris au bon moment tout peut rentrer dans l’ordre. En revanche dans l’absence d’une prise en charge adéquate la lésion initialement réversible progresse en profondeur et détruit les structures internes pour devenir irréversible, la gencive devient fragilisée, une collection purulente apparaît et les dents atteintes deviennent mobile. Dans les stades avancés, les organes dentaires vont être inévitablement expulsés. Et donc oui, si le tartre n’est pas traité sérieusement cause une perte dentaire chez le félin. Par ailleurs il se trouve que l’extraction d’une dent infectée s’impose dans le plan du traitement parodontal du chat, à ce moment ne craignez rien, cet acte ne fera que du bien pour votre chat, il en retrouvera même son appétit de jadis. Le tartre comme toute autre affection pathologique se traduit cliniquement par un certain nombre de signes Présence de traces de sang sur la nourriture de votre animal ou même à l’intérieur de sa gueule après ses repas, Une couche orangée dure déposée sur les surfaces amélaires, La gencive qui entoure la dent entartrée est rouge et enflée, Présence du pus, une mauvaise haleine, ou encore une perte d’appétit et de poids par la suite. Dans ces circonstances vous avez un animal avec des dents entartrées et qui nécessite une bonne prise en charge parodontologique chez votre vétérinaire traitant.
Publié le 19/08/2015 à 11h00 , mis à jour le 27/01/2017 à 11h09 Validation médicale 27 January 2017 Il est difficile, voire impossible, de demander à un chat de rester sans bouger. Or un certain nombre d'actes requièrent une immobilité totale. C'est pourquoi l'anesthésie est souvent nécessaire pour que le vétérinaire puisse intervenir. Comme pour l'homme, il existe plusieurs types d'anesthésies pour le chat. Et pour tout acte, il y a des risques, mais qui restent limités. Ils dépendent de plusieurs facteurs et sont pris en compte par le vétérinaire avant l'intervention. Quand recourir à une anesthésie ? Il est quasiment impossible de demander à un chat de se tenir tranquille pendant l'intervention du vétérinaire. Chez l'homme, plusieurs actes peuvent être réalisés sans anesthésie alors qu'elle va être indispensable chez le chat. Ainsi, il faut recourir à une anesthésie pour un détartrage des dents, le soin d'une plaie, certaines échographies ou parfois pour la pose d'une le caractère du chat et l'acte à réaliser, le vétérinaire peut avoir besoin d'une simple tranquillisation ou d'une anesthésie plus poussée. Pour toute intervention chirurgicale, elle devient obligatoire. C'est par exemple le cas pour une stérilisation, le débridement d'un abcès, l'extraction de petites tumeurs cutanées… Les différentes techniques Il existe différentes techniques pour anesthésier un chat. L'anesthésie locale L'anesthésie locale est utilisée pour pratiquer des soins sur une partie du corps. Il peut s'agir de la pose d'agrafes, du nettoyage d'une plaie… Elle peut être utilisée sur des chats patients et coopératifs. L'anesthésie générale fixe L'anesthésie générale fixe consiste à injecter l'anesthésique par voie intramusculaire ou intraveineuse. Elle dure généralement de 30 à 45 minutes s'il n'y a pas de nouvelle injection. Il existe aussi des produits permettant un endormissement de très courte durée 15 minutes environ. Le chat se réveille tout seul à la fin de l'action du produit ou l'anesthésie peut être renouvelée. Dans ce cas, le réveil intervient après l'injection d'un antagoniste de l'anesthésique, ce qui permet d'adapter la durée. L'anesthésie générale gazeuse L'anesthésie générale gazeuse se déroule en trois phases. Un anesthésique est injecté par intraveineuse pour une courte ou très courte durée, puis une sonde est installée pour dégager totalement les voies respiratoires. Cette sonde est reliée à un respirateur d'anesthésie gazeuse. Le temps d'anesthésie est alors plus facile à gérer et les risques anesthésiques sont moindres. Les conséquences Toute anesthésie présente des risques et a des conséquences. Elle provoque une hypotension, qui pourra être compensée par la pose d'une perfusion. Les risques sont liés à l'âge du chat, à son poids, à son état de santé général. Le jeûne depuis la veille de l'intervention est recommandé. Cela limite les vomissements au début de l'anesthésie et donc les risques de fausse route. Puis-je nourrir mon chat rapidement après une anesthésie générale ? Une fois votre chat rentré chez vous, il faut attendre au moins six heures pour lui présenter un repas léger. En effet, il risquerait de vomir. Une moitié de ration suffira, mais il peut avoir accès à de l'eau fraîche. Dr Elisabeth Tané, vétérinaire.
La gestation d’un chat dure approximativement entre 58 et 66 jours . Nous voulons expliquer dans cet article, les étapes qu’un chat vit depuis qu’il est enceinte, jusqu’à la naissance de ses chatons et les changements qu’ils signifient pour elle. Restez avec nous dans cette belle l’accouplement, qui est un processus parfois douloureux pour le chat , le sperme atteint l’oeuf, où la fécondation commence et un processus gestation qui dure entre 63 et 68 jours . L’œuf fécondé va céder la place à une série de divisions, formant une immense réplication des cellules, qui donnera naissance à l’embryon des futurs chatons . A découvrir également La stérilisation du chat pour quoi faire ?5 jours après la fécondation de l’ovule, l’embryon commence un lent voyage vers l’utérus de notre chat protagoniste. Une fois qu’il atteindra l’utérus au dixième jour de grossesse, il s’attachera à ses parois pour continuer son développement. Comment savoir si une chatte est enceinte Notre chat est agité, elle est plus affectueuse que d’habitude et nous cherche, il y a longtemps qu’elle ne s’est pas couchée à vos côtés, mais maintenant elle le fait encore. L’un des premiers changements que vous pouvez facilement détecter est que les mamelons commencent à gonfler et prennent un ton plus foncé que la normale. A voir aussi Comment prendre soin de son chat enceinte ?Votre ventre montre maintenant un peu bourré . Le changement hormonal entraîne habituellement des changements de comportement et peut s’accompagner de vomissements occasionnels. Dans d’autres cas, le chat peut montrer arisca et même passer plus de temps seul. Vous devez observer ces changements et lui accorder une attention le changement hormonal produit des changements de comportement . Chaque chat réagit différemment à ces changements. Certains chats recherchent la proximité du membre de la famille en qui ils ont le plus confiance. Dans d’autres cas, c’est l’inverse et vous vous sentirez seul, à la recherche d’endroits dans la maison pour être plus la période gestation du chat , il est recommandé d’avoir une alimentation aussi équilibrée que possible et riche en protéines de haute qualité . Dans certains cas, il peut être complété par des suppléments vitaminiques supplémentaires, mais il est préférable d’en discuter avec votre vétérinaire. Assurez-vous que la nourriture que vous fournissez répond à tous les besoins nutritionnels et qu’elle est adaptée à la période de en fin de grossesseQuand le moment de l’accouchement approche, le chat montrera quelque chose de nerveux , plus actif que la normale. Vous remarquerez peut-être qu’il peut manger moins et miauler plus que d’habitude. Votre poitrine seins sera gonflée lorsque le lait commence à s’accumuler. Lorsque le moment de la livraison arrive, il est possible que les sons et le miaulement augmentent. Les chatons qui commencent à partir, auront leur petit placenta et s’il ne se casse pas, la mère s’en dans ces moments de la part du chat, vers ses petits, est maximale et permettra de passer de bons moments avec eux et de leur procurer la lactation et la chaleur dont ils ont besoin dans les premiers peut généralement durer entre 10 minutes et une demi-heure et le chat donnera naissance, entre 1 et 8 chatons s. Occasionnellement, le travail peut durer plusieurs les petits chatons commencent à bouger, l’instinct leur fera chercher les mamelons de la mère, pour les nourrir et téter. Grossesses non désirées chez un chat Malgré le fait que la naissance de ces chatons est toujours quelque chose de beau, si ce sont des chats qui peuvent avoir un avenir avec toute l’attention qu’ils méritent, la vérité est que si ils sont chats de rue, on les condamne à une vie difficile, avec une espérance de vie très réduite . Souffrir de maladies, être attaqué ou écrasé, ou même mourir empoisonné ou par une mauvaise protecteurs et associations d’animaux qui vivent la réalité du jour au jour le jour et le problème des adoptions, avertissent de valoriser ces raisons lourdes au moment du prendre la décision de stériliser un chat . Évitez la souffrance de nombreux chats, qui ne pourront pas s’en sortir en toute sécurité. Mais il faut aussi tenir compte des effets positifs sur la santé des femmes lors de la réduit considérablement le cancer du sein , l’un des plus courants chez le chat. Le cancer de l’utérus, des ovaires ou du col de l’utérus, qui sont moins courants, diminue vous avez vécu l’expérience que votre chaton donne naissance à des chatons et que vous savez combien de temps dure la gestation d’un chat et toutes les phases que vous avez vécues avec elle, jusqu’à la naissance, partagez-la avec notre grande communauté de chatonnes, dans les commentaires.
-44% Le deal à ne pas rater Samsung Galaxy M33 5G 6GB Ram 128 Go 5000 mAh Dual Sim € € Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives CorbeillePartagez Aller à la page 1, 2 AuteurMessageInvité Empire State of MindInvité Sujet Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Lun 15 Fév - 2358 ~ Samedi 23 Juillet 2011 ~A peine deux mois que la jeune Russe avait fêté ses 29 peine six mois que son cœur semblait à nouveau plus plus d’un an qu’il avait été déchiré, d’une manière irréversible, il était certain qu’après le dernier contact qu’elle avait pu avoir avec l’amour de sa vie – ou celle qu’il lui semblait l’être à l’époque – Ludmila avait bien dû passer à autre chose, se rendre à l’évidence Dominura était à présent la conjointe de Grace, et resterait avec elle encore bien longtemps en Australie. Peut-être même ne la reverrait-elle jamais ? Sans doute cela était-il bien mieux ainsi, au fond. Les deux jeunes femmes n’avaient-elles pas de cesse de se faire souffrir à bien trop s’aimer ?Je t’aimerai toujours, t’aimerai toujours, mais il me faut penser à moi,Ne pas simplement me laisser crever de ton la jolie blonde sembla prête à tourner la page, non sans encore quelques larmes douloureuses, quelques élans d’angoisse et de regrets, dans ses mauvais jours. Evidemment, son inquiétude pour la santé de son ex-conjointe ne pouvait pas s’en aller ainsi – tout comme cet amour, si puissant. Comme s’il était impossible de s’en séparer totalement, au fond. Et sans doute Ludmila savait-elle qu’elle n’aurait à présent d’autre choix que de vivre en songeant à cette femme magnifique, qui un jour avait été sienne, et qu’elle avait bêtement perdu, à force de jalousie et de mesquineries enfantines. Mais elle souffrait à présent son audace, sa négligence, cela en était certain. Car malgré sa détermination, malgré le temps … Rien ne pouvait véritablement s’effacer, n’est-ce pas ?Et je t’ai tant cherché, dans mon je t’ai tant rêvé, chaque nuit, mon les jours, les semaines et les mois ne tentait plus tant de retrouver en qui que ce soit le plaisir qu’elle avait pu avoir avec Dominura, le sachant vain. Ainsi préférait-elle se concentrer à ses amitiés, et ce notamment avec Tyler – qu’elle appelait presque tous les jours – mais aussi Jeanne, ainsi que quelques collègues, avec qui elle passait la majore partie de son temps. Oh, il y en avait bien peu, tant la plus grande partie des employés du DefrawayS étaient superficiels et hypocrites. Pourtant, entre eux, Ludmila avait pu découvrir quelques personnalités intéressantes, tout en continuant à progresser dans son travail. Evidemment, il était certain que la jeune rédactrice travaillait beaucoup trop, et ce en une efficacité remarquable et sans doute apprécié de sa patronne depuis maintenant un an et demi. Ces derniers temps, sans doute prenait-elle tout de même plus de temps pour elle, non sans prendre quelques libertés qui n’étaient sans doute guère au goût de Meredith. Mais peu ?…Parce que je suis amoureuse.…Amoureuse ? Ou du moins, ce qu’il lui semblait, alors que pour la première fois depuis sa rupture avec Dominura, Ludmila sentait son cœur s’emballer à la vue de l’un de ses amants, qui – chanceux – avait été indiscutablement choisi par l’inconscient de la jolie blonde pour lui faire quelque peu oublier la douleur de cette séparation encore bien trop fraiche. Comment cela était-il possible ? Ludmila elle-même n’en savait absolument rien, si ce n’était que ce charmant blond avait été capable – il y a six mois de cela – de la mener au septième ciel, comme cela ne lui était pas arrivé depuis la charmante française. Sans doute cela pouvait-il paraître stupide ou superflu. Cela pouvait sembler malsain, ou quoi que ce soit d’autre La jolie blonde n’avait depuis ce jour plus voulu quitter cet homme, aussi charmant physique que psychologiquement, parfait sous tous les bords. Le genre de personne à qui on ne peut sans doute jamais rien reprocher, si ce n’est un surplus d’attention comme les bleus très bon parti, d’après ce qu’on disait. Mais cela, Ludmila ne semblait guère s’en préoccuper, étant de toute manière une femme indépendante, n’ayant absolument pas besoin ni du soutien social d’un conjoint, et encore moins de son argent. Mais il y avait bien quelque chose, en cet homme, qui semblait l’attirer plus que tout cela. Quelque chose qu’elle ne saurait définir, tout comme lui ne semblait pouvoir mettre quelques mots sur ses sentiments envers la jeune Russe. Leur relation avait immédiatement été relativement passionnel, tous deux s’étant rencontrés à une soirée entre amis, ayant chacun accompagné – amicalement – l’un des invités principaux. Une rencontre plutôt hasardeuse, donc. Un peu d’alcool. Beaucoup de conversations. Et une nuit qui sembla sonner la renaissance de la jeune Russe. Oh, Dominura. Je ne t’oublie pas. Mais il est là, et je ne le laisserai pas la jolie blonde s’était-elle attacher à cet homme, model de perfection. Certes, cela pouvait sembler des plus étonnants, venant d’une femme comme elle, qui auparavant semblait fuir ce genre de clicher. Pourtant, cette fois-ci, il semblait que ce cher Nathaniel faisait exception, parvenant à séduire cette jeune femme qui ne désirait pas tant retrouver la stabilité fragile et douloureuse d’un couple. Mais à son grand étonnement, il se trouva que la stabilité entre le beau blond et elle n’était pas si fragile que cela, en fin de compte. Déjà voulait-il emménager avec Ludmila, lui faire des enfants … Oh, cela était néanmoins trop tôt pour la jeune femme, qui gardait un minimum les pieds sur terre, malgré cette amour naissant et l’ l’aime ?Pas autant que toi. Chut. <3~ClacClacClacDe longs cheveux blonds, ondulant jusque dans le dos de cette jeune femme vêtue d’une robe simple et fleurie, d’un petit gilet rose parfaitement assortie. Une tenue relativement simple et légère, pour ce beau jour d’été. Pas de bijoux, très peu de maquillage – si ce n’était un rouge-à-lèvres couleur cerise relativement voyant – Ludmila tenait gracieusement son petit sac à main à l’épaule, marchant dans la rue, un fin sourire aux la première fois depuis bien longtemps, la jeune femme avait pu prendre une journée de l’une de ses rares fois, elle pouvait se retrouver seule. Nathaniel travaillait, et personne n’était venu la réclamer pour quoi que ce soit. Tout semblait parfait Le soleil brillait, les oiseaux chantait, et son bonheur semblait alors parfait. Parfait, tant que cette délicieuse femme venue de France ne venait pas lui passer par la tête, éveillant en elles quelques pincements au cœur, d’une douleur encore trop ne doit pas ne doit pas savoir, que je penserai toujours à Elle,Malgré mon amour pour sourire fin aux démarche cette odeur cerise, en cours Nath. <3Décrochant rapidement son téléphone, sentant son cœur se mettre à battre à vive allure sous l’appel de cet homme qui ne manquait pas de l’appeler au moins une fois toutes les deux heures pour savoir si elle allait bien, Ludmila lui répondit avec enthousiasme, lui laissant alors simplement entendre qu’elle se rendait au Starbucks le plus proche de chez elle, ne changeant guère ses habitudes par rapport à ses journées de travail. Pas de café, mais plutôt un thé aromatisé à la vanille, pour la jeune femme, qui le préférait au – et après avoir raccroché en quelques au revoir tant adorables que mielleux – Ludmila entra dans le café en question, prenant commande et allant s’installer à une table proche de la vitre, ayant une parfaite vue sur la rue et les passants. Décidément, ce temps formidable ne pouvait que la faire sourire, tandis qu’elle sortait néanmoins un exemplaire du nouveau DefrawayS – proche de la publication – afin de vérifier la cohérence de ce dernier, l’ordre des articles, des photographies et interviews, etc. Une maquette proche de la phase terminale, qui lui avait été confié, comme cela était très rarement le cas après seulement moins de deux ans à travailler pour ce célèbre magazine. Profitant donc de ce privilège, Ludmila sortie un stylo, ses lunettes – qu’elle posa sur son nez avec délicatesse – et commença à prendre quelques notes, bien qu’il n’y ai que très peu de choses – à son avis – à modifier dans cet travaille, malgré ce travaille, car j’aime ce que je travaille, car je n’ai sans doute rien de mieux à me me je n’y songe n’y a que <3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mar 16 Fév - 155 "J'annonce donc officiellement la parution cette semaine de mon dernier ouvrage, comprennant l'intégralité des croquis et Illustrations personnels effectuées sur le terrain, en dehors des Illustrations scientifiques confidentielles dévouées au projet !"Tonnerre d'applaudissements, cris de joie et commentaires anjoués, flashs et ovation d'une foule invitée pour l'occasion d'une avant première de la parution du livre de la grande femme, enfin de retour en Amérique. Souriants aux photographes, Dominura passa un instant son regard dans l'assemblée avant de quitter la scenette du festival et rejoindre les vestiaires, où elle perdit quelque peu son masque de joie pour retrouver une mine plus inquiète, plus tendue, moins relâchée et apaisée. Regard à droite, à gauche... Dieu qu'elle avait du mal à se refaire aux environnements froids et rigides des bâtiments si austères !Cela faisait trois jours, tout au plus, que la ravissante française, Dominura Romley, était rentrée de son conséquent voyage en Australie sauvage, qu'elle avait effectué aux côtés de la scientifique Grace Sidnëather afin de vivre aux côtés des autochtones, une tribu aborigène, afin d'en étudier les rites, la culture, les démarches, afin d'en croquer les émotions fortes, les évènements. Ces huit derniers mois, il s'était evidemment passé beaucoup de choses. Tant, et tant, qu'il serait bien trop difficile de tout décrire avec simplicité et clarté. Le nom de la grande femme s'était vu changer, lors d'un rituel des plus importants, cette dernière laissant derrière elle "Marcheuse des Arts" pour emprunter celui de "Grande Art". Sans doutes cela semblait-il ridicule, d'un point de vue commun, d'un point de vue de ces Hommes qui ne comprennent rien en la valeur des noms dans ces tribus, ces assemblées de personnes, d'âmes. Ainsi, sous les conseils de Grace, Dominura s'était bien gardée d'en dire quoi que ce soit aux médias, ou bien à quiconque, ormis à Ludmila, lorsqu'elle l'avait eu, huit mois plus tôt, au aura été gardée, précieusement, au coin d'un espritMais jamais contestée. Jamais remise en cause, en a part ce détail d'extrême importance, Dominura avait également vécu beaucoup de dangers, les aborigènes décidant un beau jour de traverser le grand desert arride. L'ancienne Illustratrice s'était ainsi retrouvée à marcher, tous les jours, pendant plus d'un mois. A ses yeux, cela avait tout d'abord semblé comme de la torture, mais Grace n'avait pas manqué de lui apprendre à voir en avant, et ce que cela pourrait lui apporter. Et, au bout de nombreux jours, la charmante Française avait dû se rendre à l'évidence ce voyage était extrêmement formateur, notamment dans ce qu'elle pouvait découvrir des habitudes et dexterités des personnes qu'elle avait pourtant cotoyé sept mois sans se rendre compte de certaines richesses dans leurs initiatique ? Quelque avait appris, jour après jour, à se connaitre, encore et toujours plus, tant dans son esprit que dans son corps, et avait trouvé une nouvelle sereinité, une nouvelle façon de voir la vie, sa vie, et de la vivre habits occidentaux, le short et le débardeur qui lui restaient, avaient vite été troqués contre une tenue dévoilant presque son entière nudité, ne cachant, par esthetisme plus que par fonctionnalité ou protection, quelques parties de son corps avec diverses associations de perles, peaux, ficelles d'animaux, bijoux divers, tous liés à la main avec le plus grand soin, en tant que cadeau de la part de quelques membres de la tribu pour avoir tant et tant cherché à se lier à eux et faire quelque chose pour la communauté, en offrant son savoir autant qu'elle en avait Dominura en ressortait plus mature encore,Grandie, dans son âme, dans sa richesse personnelle,Prête à aller de l'avant, encore,Sans pour autant regretter son premier véritable amour, sa très chère je penses encore à toi, petit chat, malgré Grace. Oui, je suis très heureuse avec elle. Oui, elle est adorable, et m'apporte beaucoup. Mais... Tout de même, je ne puis m'empêcher de songer à toi, parfois à m'en faire cela, jamais elle ne devra le l'aime tant, et pour rien ne voudrais la t'ai déjà perdueMalgré tout mon amour.~Trois jours, que je suis rentée. Trois jours, et déjà dois-je laisser Grace à ses laboratoires du pays, déjà dois-je l'abandonner aux interviews exaspérées, aux conférences surdimentionnées et monumentales, bien plus importantes que les miennes, quoique déjà immenses. Trois jours, et je me retrouves souvent seule, a pourtant devoir réhabilier mon appartement, retrouver mes papiers, mon courrier, mon téléphone et mes biens, mes richesses dont je me passerais à bien moi, qui ai tant produit d'illustrations, ces dernières années ?L'album photo devra être mis à ah ! Dieu ! Que ces chaussures à talons me font mal !Que ce soleil me semble froid, et ma peau, que je sens comme s'échapper, s'éfiler, comme pâlir, me promettant retrouver son teint si blanc qui était le mien ? Et tout ce maquillage, que l'on me réhabitue à porter pour les photos, me semble si sommes nous de retour ?Ah oui, pour toi, Grace. Cela n'était pas le même type de voyage, pour l'essence même de ton travail, de tes recherches, de tes j'aimerais te demanderPourquoi ne pas fuir, toutes les deux, ensemble ? Nous n'avons besoin de personne, nous n'avons besoin de rien. Et ce peuple, qui t'as adopté, et ce peuple, qui m'a acceptée parmis les leurs. A quoi bon revenir en ce pays ? Je n'ai ici envie de rien, a part de sourire de la bêtise du monde. Ces gens, là, superficiels, hurlant mon retour, donnant cartes, fleurs, chocolats, cadeaux divers de fans bien trop accrochés à ma personne, à mon image. Mais à eux, que leur dire ? Que je n'ai rien à faire de leur faux amour ? Je n'aimerais que leur signifier de vivre leur vie, de profiter de tout, de s'aimer avant de demander à être aimé des autres... Cesser de vivre ces utopies, ces faces imprimées sur du papier glacé ou le feuillis des lieu de cela, je leur souris, et leur refuse des autographes, bien trop pressée par le à faire ?Oh, il ne me reste plus qu'à attendre, en toute que Grace me dise que nous repartons. Quelques semaines à NewYork, seulement, et déjà serons nous à nouveau sur les routes de notre vie cette pensée, j'en ne me reste qu'à continuer ma vie,Cette ville n'est qu'une étape~Clac ClacClacClacSe réhabituant petit à petit à ses talons hauts, la grande femme avait entreprit une descente d'une rue de la grande ville, là, tout simplement. Magnifique, avec sa peau brunie par le soleil, dans une simple mais très belle robe ceintrée d'une couleur blanc-cassé/ocre, les cheveux toujours tressés et relevés avec une élégance sauvage, elle marchait tranquillement en regardant autour d'elle, resserrant son sac à main sous ses doigts réparés et revernis. A ses yeux, un maquillage léger mais efficace. Trace de khôl et mascaras, un rouge à lèvres clair mais sobre, un ensemble tout à fait charmant, attirant l'oeil de bien des passants, le sourire de nombreuses tout cela lui importait seules choses qui passaient en son esprit n'étaient que liées à deux personnes Son aimée et conjointe, Grace, actuellement occupée à ses laboratoires -et même surbookée- et son ancien amour toujours présent au fond de son coeur, y avait-il de chances pour qu'elle la croise en cette ville ?Oh, il y en avait, certainement, mais très la chance une chance ?Un regard suffit,Une vitre, un là, à cette table, un starbucks à la main ?Cette beauté, cette grâce de l'Est, cette blondeur ennivrante, ces souvenirs d'odeurs fruitéesGoût cerise, repassant sur mes ?Est-ce bien toi ?S'arrêtant devant cette vitre, la grande femme s'y retourna alors, laissant ses yeux verts sombres se poser sur la charmante jeune femme, non sans que son coeur ne bondisse dans sa poitrine. Ludmila... Avait embelli, durant ces derniers mois, et semblait plus reposée, plus sereine et plus calme que lorsqu'elle l'avait quittée. Se mordant la lèvre, ne sachant pas si elle devait rentrer et lui adresser la parole ou simplement reprendre son chemin, l'Illustratrice finit par fermer les yeux, souriant d'un soupir, se préparant à toutes nouvelles, à tout les talons furent tournésEt la porte de la boutique un Caramel Macchiato passa bien entre ces mains tremblantesEt puis, Clac,Clac,Clac,Clac,Une table, regard, profond -maintenant accentué par tout ce qu'elle avait appris au sujet des regards, des aborigènes-, un sourire, vague, hésitant, triste et heureux à la fois, mais sincère, puissante châleur et bienveillance, d'une femme dont la vie n'était plus ponctuée par l'égoïsme"Thé à la vanille ? Tu n'as pas changé~" Et ce sourire,Simplement. Calme, suis làDe mes quelques anciennes habitudesMe reconnais-tu seulement ?Mon coeur batAppeuré de ton rejetDouloureux de mon amourEnjoué de cette rencontreEmu de cette journéeJe saisQue tu n'es plus à moiTa sereinité me le prouveEt me tueAutant qu'elle me fait plaisirTu as vécuEt recommencé à sourireOffrir ton sourireComme je te l'avais demandéMerci, vécu. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mar 16 Fév - 2147 Une belle – très belle journée en perspective s’annonçait pour Ludmila. Peut-être même plus que ce à quoi elle s’attendait, là, en feuilletant ce magazine qu’elle finissait par connaître par cœur ? Tenant le verre cartonné de son thé à la vanille d’une main, l’autre faisant tourner les pages à un rythme régulier, la jeune Russe gardait sur les lèvres un adorable sourire, tout lui semblant être absolument parfait dans sa vie ces derniers temps. Etait-elle réellement heureuse ? Il lui semblait, oui. Nathaniel était vraiment un homme charmant, prévenant, et sans doute digne de confiance. Avec lui, Ludmila se sentait véritablement telle une reine, n’ayant pas à ressentir la moindre jalousie, tant cet homme ne la quittait jamais des yeux en sa présence. Oh – Et puis, plus que cela Le jeune comptable n’était pas – comme elle à présent – l’une des cibles des médias. Ainsi son idylle restait-elle relativement discrète, les paparazzis y préférant les relations où les deux conjoints ont une certaine minutes passaient, et Ludmila ne prenait guère le temps de regarder autours d’elle, dans son monde – comme bien souvent. Ainsi, que ne fut pas sa surprise lorsqu’une voix s’éleva non loin d’elle, ne manquant pas de lui transmettre une sorte de choc électrique, son cœur se mettant instantanément à barre à une vitesse folle – non sans qu’elle ne le comprenne pas immédiatement. Thé à la vanille ? Tu n'as pas changé~ »Je n’ai pas changé. Non. Non, je n’ai pas changé, mais … Une voix. Et une odeur qui lui provenait, reconnaissable, terriblement attirante. Ludmila se stoppa nette dans ses gestes, reposant sur la table le gobelet qui était alors porté à ses lèvres, se retournant doucement – en un mouvement néanmoins clair de sens, relativement vif malgré un effet de ralenti qu’il lui semblait passer au travers de son ces picotements, sur mes joues rosies par le bonheur des derniers temps ? Pourquoi cette bouffée de chaleur, tandis que mon regard se pause sur …- Dominura … !Elan de voix, impulsif et non contrôlé. Elan de voix, que Ludmila n’avait pas même pu préméditer, la surprise se lisant dans ses yeux, sur son visage, ses lèvres restant très légèrement entrouvertes tandis que son regard restait figée sur la femme qui avait été dans sa vie pendant plus d’un an, et qui y demeurait tel un souvenir à la fois merveilleux et douloureux, inoubliable. Mais cette surprise figée ne tarda pas à se transformer un sourire heureux, une brillance nouvelle venant illuminer le regard sombre et profond de la jolie blonde, alors qu’elle se rendait réellement compte de qui elle avait en face d’ levant d’un bon de sa chaise, la jolie blonde sauta quelque peu au cou de la belle française – ne manquant pas de remarquer la nouvelle couleur de sa peau, cette coiffure différente qui lui donnait un air quelque peu sauvage mais indéniablement craquant, ainsi que ses bijoux, son maquillages et ses vêtements, relativement différents de ce dont elle l’avait l’habitude par le passé. Oh, Dominura restait reconnaissable, et surtout incroyablement belle, unique. Mais cela n’était pour l’instant guère le plus important aux yeux de Ludmila, qui passait vivement mais avec attention ses bras autours du cou de la belle brune, l’enlaçant aussi fort qu’elle le pouvait, avant de se reculer tout aussi rapidement, ses mains venant d’abord se poser sur les joues de la jeune femme, avant de la toucher aux épaule, plus haut sur son visage, plus à nouveau sur ses joues, comme pour vérifier s’il s’agissait bien d’elle. Par la même occasion, quelques mots – ne cachant pas une surexcitation soudaine et emportée – vinrent s’échapper de la bouche de la jeune Russe, enjoués - Tu … Tu es rentrééée !! Je … Comment vas-tu ?!Pourquoi es-tu à New York ? Où est Grace ? Combien de temps comptes-tu rester ? Tant de questions, qui me passent par la tête, tandis que mes mains reviennent à moi, se joignant nerveusement entre elle, déjà gênées d’être venues jusqu’à toi, compte tenue de nos relations passées. Oh, mais cela n’est pas une gêne insurmontable, seulement inconsciente, tandis que mon cœur bat à vivre allure. Je ne veux m’empêcher de te regarder, de te sourire – encore. Evidemment, Ludmila ne s’attendait absolument pas à voir Dominura ici, aujourd’hui. Combien y avait-il de chance pour qu’elles se croisent ainsi par hasard ? Presque aucune, sans doute. Et puis, comme cela se faisait-il qu’elle n’ait pas été au courant de son retour, tandis que toute la presse devait déjà être au courant ? Argh ! A force de ne lire que le DefrawayS, la jeune rédactrice finissait par manquer ce genre d’informations cruciales. Remarquez, cela n’aurait pas changé grand-chose, n’est-ce pas ? Après tout, il était clair que – si Dominura n’était pas venue à elle – Ludmila n’aurait sans doute jamais osé aller la voir, craignant sans doute les souvenirs, mais aussi une confrontation qui pourrait lui être cela n’était pour l’instant pas le cas. Etrangement, la jeune Russe se sentait relativement sereine, quoi que indiscutablement euphorique, à voir ici la femme qu’elle avait aimé – et qu’elle ne cesserait jamais d’aimer, malgré un leurre qu’elle s’était forcée à entretenir depuis quelques mois – depuis Nathaniel. Puis, lançant un furtif regard à la chaise face à la sienne – en plus d’un léger signe de main, toujours très vif – Ludmila laissa alors entendre à nouveau sa voix enjouée et délicieuse à son ex-conjointe, ne manquant pas de se réinstaller par la même occasion, sans pour autant quitter la belle française des yeux - Installe-toi ! … Je veux tout savoir !Je veux tout savoir, depuis notre dernier appel. Grace t’a-t-elle pardonné d’avoir ainsi enfreint l’une de ses règles ? Es-tu toujours heureuse avec elle, comme tu semblais l’être ? Dis-moi. Dis-moi, qu’est-ce que tu as fait, durant tout ce temps ? Qu’est-ce que tu as vu ? Qu’est-ce que tu as appris ?Mon regard te questionne,Et mon sourire te montre tout mon bonheur à te revoir je n’espère plus rien de nous, tu sais. Je voudrai juste ne pas t’avoir perdu totalement, et faire comme si de rien était. Oublier nos déchirures, et les aléas négatifs de notre couple. Oublier que nous avons été malheureuses, blessées. Oublier tout cela, pour ne retrouver que notre complicité, si encore tu le Tu es beeelle … Aaah ! Je suis vraiment très contente de te revoir, tu sais !Adorable et on ne peut plus avait-elle changé, durant cette année ? Cela en était certain. Elle-aussi, avait finalement appris à vivre autrement, malgré le fait que son caractère restait bel et bien le même Tantôt on ne peut plus calme, tantôt excessif. Excessivement gai, en ce jour. Mais qu’importait ? Mieux valait-il cela, plutôt que des larmes de regret, n’est-ce pas ? Pourtant, Dieu sait comme je regrette, sait comme je te regrette, Comme je m’en veux de t’avoir ce temps me semble lointain, et il serait inutile d’y songer à je t’en prie, parle-moi de toi, de tout ce que tu as pu que j’entende à nouveau ta voix,Afin de m’assurer,Qu’il ne s’agit pas d’un rêve.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mar 16 Fév - 2326 La grande femme, ayant retrouvé sa très chère Ludmila, ne serait-ce qu'en apparence, ne pouvait que sourire, là, le coeur battant bien trop vite et bien trop fort à son goût cependant. Tentant tant bien que mal de se calmer, de se rationnaliser et de faire taire cet esprit qui s'était reveillé malgré elle, Dominura serrait fermement son grand gobelet de Caramel Macciato d'une main pourtant légèrement tremblante, témoin d'une certaine émotion qu'elle ne cherchait pourtant pas à dissimuler tant que cela Sans doutes n'aurait-elle aucune accusations de tord, si jamais elle laissait voir son bonheur à revoir la belle blonde ?Non, evidemment que non...Cela n'était pas... Comme si elle l'embrassait, par non. Nous sommes passées par dessus tout ça, n'est-ce pas petit chat ? Je suis prise, depuis maintenant bien des mois, et toi sans doutes également. A te voir, je le sais, le devine, et en suis tant heureuse qu'horrifiée, jalouse au fond de moi alors que je m'étais promise de ne vouloir que ton bonheur. Après tout, je ne peux pas vraiment le savoir, n'est-ce pas ? Il faudrait que tu me le dises. J'aimerais connaitre ta vie. Tu ne m'as pas oubliée, n'est-ce pas ? Raconte-moi. Raconte... tout. Tout ce qui t'es arrivée, tout ce qui s'est passée pour toi, ton travail, alors que je n'étais plus même du épanouie ? La question ne se pose même seulement m'adresser la parole ?J'attends, mentalement, alors que mes mots ne viennent que tout juste de sortir d'entre mes lèvres fines et sobrement parfum, cerise, ennivrant, m'arrive au nez, aux sens, alors que je te sens te sera ton regard sur moi ?Mais le sourire ne put qu'être au s'était retournée, doucement, une mine de profonde surprise sur le visage, comme un arrêt direct, avant qu'elle n'explose en une exclamation qui ne manqua pas d'euphoriser quelque peu la grande femme, dont les joues brûlaient d'émotion, sans que cela ne se voie pour autant sur sa peau sombre et hâlée. Je lis la surprise en tes yeux, en ton expression, et m'en amuse Je t'ai vue la première, n'est-ce pas ? Ta réaction m'amuse, tout autant qu'elle me plait Tu es tellement adorable, Ludmila. Si tu savais encore combien je souffre de tant t'avoir fait souffrir ? Tu es une figure tellement spontanée, quoi que j'aie pu en dire. Maintenant, je le vois, le sens, et le ressens, alors qu'une bouffée de châleur me prends, incontrôlable, à voir ce magnifique sourire sur tes lèvres, oui, ce sourire, entre autres, que j'aimais tant et dont je ne voulais pour rien au mondre perdre le souvenir, où que je ne fut pas la surprise de l'Illustratrice, cependant, lorsque la si belle Ludmila se leva d'un bond, sautant de sa chaise pour se pendre à son cou ! Sur le moment, il n'y eut rien d'autre que de l'euphorie, une joie certaine, sans aucune douleur, étrangement. Non, ce contact n'apportait ni souffrances ni regrets, seulement la vision d'un bonheur certainement éphémère mais que Dominura aurait souhaité durable. Un rire, et la grande femme répondait à l'étreinte adorable et tellement naturelle de Ludmila, quoiqu'il n'y ait plus rien entre elles d'une relation de nous seulement faire comme si rien ne s'était passé ?J'ai du mal à le croire, le j'ai joie de voir qu'en cet instant notre naturel nous as poussées aux sourires, à de charmantes retrouvailles, telles que je n'aurais osé en rêver. Sais-tu seulement que je repars bientôt ? Peu importe. Je ne veux que de tes nouvelles, m'assurer que tu vas bien, que ta vie est bonne, te convient, avant de repartir dans les dangers et les joies de la mienne. Nos chemins se sont frôlés, croisés, entremêlés, séparés, mais nous nous retrouvons toujours. Au fond, nous sommes liées, n'est-ce pas petit chat ? Tant pis, si ton bonheur est auprès d'un, d'une autre. Je t'ai trouvée, un jour, et ai pu avoir te toi cet amour si fort qu'il m'a porté de l'avant. Maintenant ? Je ne veux que ton bien, puis je fallait seulement que je te voieQue je m'assureDe cette sereinité que je vois est ta vie, désormais ?Quelques mots, s'échappèrent de la bouche de la belle russe, tandis que ses mains, adorablements maladroites et précises à la fois, d'une émotion enfantine adorable et charmante, passaient des épaules aux joues de la dessinatrice, qui ne manqua pas de laisser échapper un rire enjoué sous l'euphorie des questionnements soudains et élancés de celle qui avait été sa allait-elle ? Oh, euh...Dominura n'eut pas le temps de répondre, vraisemblablement, car déjà Ludmila avait-elle, vivement, désigné la chaise en face de la sienne, sur la petite table du Starbucks, partage d'un moment que l'Illustratrice savait privilégié, étant donné la situation. Un geste, un regard, quelques mots a peine, et la charmante brune fut invitée à la table, invitée à partager sa vie, à offrir ses dires, à dévoiler ses songes et ses aventures. Resserrant son sac contre elle le temps de contourner la table, la grande femme ne tarda pas à gagner la chaise qui lui avait été désignée, s'y asseyant en souriant à l'extrême, un sourire france et sincère que si peu de gens avaient l'habitude de pouvoir voir sur son visage bien trop souvent empreint de masques et de tromperies émotionnelles. Ludmila était-elle sincère, lorsqu'elle disait, avec tant d'entrain, qu'elle voulait tout savoir ? Oh, oui, elle en avait bien l'air. Cela, evidemment, ne pouvait que raviver l'envie de l'Illustratrice pour ce qui était de tout lui raconter, mais n'empêchait pas pour autant également la serieuse curiosité qui la poussait à vouloir également connaitre quelques détails de la vie privée de son complicité me trouble, tout autant qu'elle m'enchante. Je m'assois, pose mon expresso au caramel et laisse une fois de plus mes yeux passer dans les tiens. Que vois-tu à présent de moi ? J'ai l'impression de te connaitre tout autant que t'être étrangère. Ais-je tant changé ? Une gêne étrange me prends au coeur, alors que je doute, peut-être, que tu ne me voies plus telle que j'étais avant. Peut-être... De cette nouvelle apparence ? Cette couleur de peau, qui me pousse à croire que tu pourrais ne plus me regretter ?Je ne sais plus ce que pensent les gens d' ne crois pas assez te connaitre pour être certaine de la stabilité de ton appréciation de moi malgré mes certainement mes doutes sont-ils infondésCar tu me regardesMe sourisRépondant aux miensEt ajoute, de ta si mélodieuse voixQue je suis belle,Si belle, à te sous la bénédiction de ton enjouement ?Tout comme tu parais me l'avouer, j'ose croire que tu es réellement heureuse de me enfin, les yeux brillants, un sourire large dévoilant des dents blanches et joliement alignées, je réponds, d'une voix tout aussi enjouée qu'attentive et sincère"OoHhh, si tu savais comme moi aussi !!"Je ne sais pas si je dois te dire que tu n'as pas changée, toujours aussi belleOu si je dois te remarquer plus mature, et le souligner dans mes propos. Mature, physiquement. Et dans ce regard, également, qui me touche au plus haut point Aurais-tu tant élevé ton âme, avec moi ? Peut-être ne faisais-je que te mettre et aligner les barrières, au je te souris Pardonne-moi, Ludmila. Une gorgée de café, des regards, et enfin je te réponds, adorablement troublée par tant d'euphorie, tant de questions et de sollicitations"Eh bien... Tout va pour le mieux, comme tu peux le voir !!"En effet. Teint frais, charmant, malgré quelques récentes coupures, égratignures, que l'on pouvait toujours voir dans son cou, sur ses bras, à quelques endroits discrets de son visage. Et ce sourire ! On ne peut plus épanoui, il en était certain."Je suis rentrée il y a quelques jours seulement, mais je reprends mes traces petit à petit. Il faut dire que ce sont deux mondes tellement différents !"Souriant toujours, apaisant un léger rire au fond de la voix, elle ne manqua pas de se pencher légèrement au dessus de la table, les yeux brillants, haussant les sourcils, ses lèvres fines toujours relevé en un sourire, une expression amusée, mais surtout complice, marquée sur son visage, comme si deux meilleures amies se retrouvaient après une séparation certaine"Et toi, et toi ? Comment vas-tu ??Tu as une très bonne mine, toujours aussi charmante, parfaite sous toutes les coutures !"Evidemment, que je le pense, malgré le caractère amusé que j'ajoute à mes paroles, pour ne pas regretter la perte que j'ai eue de toi. Tu le vois, le devine, et pourtant la bonne humeur demeure, tandis que je cherche les nouveautés, les nouvelles, passant une main sous mon menton, te regardant profondément, un instant, avant de laisser entendre, un sourire aux lèvres, doux, calme, sincèrement heureux quoique triste à la fois"Cela se voit que tu es aimée~" Puis, plus vivante, comme une adolescente venant aux nouvelles d'une amie promise à un jeune homme du lycée sous la pression des camarades"Raconte-moi ! Tu as fait des rencontres ?Qu'as-tu fait cette année ? OooHh, il doit y avoir tellement de choses que j'ai manquées !"Cela me fait plaisir, de te demander tout celaTe demander, avant de repartir et te laisser continuer ton chemin, prennant le mien de mon côté. Devrais-je tout te raconter de moi ? De mes escapades, mes découvertes ? Oh, je le pourrais bien, mais ne saurais par où commencer ! Quelles sont, Ludmila, les questions qui te brûlent les lèvres ?J'aimerais que tu les poses pour moiQu'est-ce qui t'intrigue, de ma vie ? Finalement, nous n'avions plus rien en coup de fil, un contactDes larmes et des souvenirsAvions nous véritablement besoin de prendre des nouvelles de l'autre ?Oui, au pouvoir vivre chacune notre vie, désormaisQuoique mon coeur batte encoreMoi, qui voudrais le faire taire.♪ On s'est connuesOn s'est reconnuesOn s'est perdues d'vueOn s'est r'perdues d'vueOn s'est retrouvéesOn s'est réchaufféesPuis on s'est séparéesChacun pour soi est repartie,Dans l'tourbillon d'la vie !J'l'ai revue un soir, Aie aie aie,Ça fait déjà un fameux bailÇa fait déjà un fameux bail ! ♫Cette bouche en ce sourireCe parfum, ennivrantEt ces souvenirs, Ce dernier baiserCette étreinte que tu viens de m'offrirEt en moi ces pensées profanes virevoltent un instantTu m'as manquée, petit chat,Même si rien ne sera plus jamais comme avantJe me souviendrai toujoursDe la douceur de ces doigts contre ma peauDe la châleur de ce regard sur mon corpsDe la tendre euphorie à la sensation de tes lèvres sur les miennes~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mer 17 Fév - 108 Il me semble que cela fait si longtemps, que mes lèvres n’ont pas frôlé les tiennes. Est-ce mal d’y songer, tandis que mon regard ce perd dans le tien, brûlant d’interrogation et de plaisir à te revoir ainsi épanouie ? Oh, ces pensées ne font que passer, en un pincement au cœur certain. Puis je me perds à d’autres songes, imaginant ta vie en Australie, désirant en savoir plus que le peu d’information que j’ai pu en avoir jusqu’à présent. Je regrette, de t’avoir tant faite souffrir. Je regrette, de t’avoir si bêtement perdu, malgré tout notre amour. Mais j’ai pu apaiser ces maux, et tourner la page, en quelque sorte. Même si malgré cela, tu restes en moi sourires étaient francs et sincères, emportés et euphoriques. Ces instants sont précieux, n’est-ce pas ? Toi aussi, tu es heureuse de me voir, mon Amour ? Ah ! Non. Dominura ? Oh, tu resteras toujours mon Amour, n’est-ce pas ? Je ne peux pas m’empêcher de te voir ainsi, au plus profond de moi. Même si mon amour pour Nathaniel est sincère. Même si j’ai besoin de lui, comme j’ai eu besoin de toi. Peut-être sommes-nous moins fusionnels ? Cela n’est pas si important Je l’aime, et il m’ aux paroles de son ex-conjointe, un sourire adorable et un regard toujours brillant de joie – mais aussi d’une complicité indéniable – étant rivés sur cette dernière, Ludmila ne manqua pas de sourire davantage lorsque Dominura lui annonça que tout allait pour le mieux. Oh, certes, cela en avait bel et bien l’air La belle française était tout simplement rayonnante, et si la jolie blonde avait toujours préféré les peaux pâles aux peaux plus bronzées, elle ne pouvait nier que – concernant Dominura – ce détail n’avait pas de réel importance. Tu es es belle, comme je te l’ai dis, sans réfléchir une seconde à mes voudrai pouvoir encore être tienne, tu sais. Mais cela est impossible, et je m’en résous, puisqu’il le faut une mèche blonde derrière son oreille, Ludmila tentait d’apaiser quelque peu son sourire, bien que son cœur ne cesse de battre à une allure infernale, tant l’euphorie de revoir Dominura persistait en elle. Entendre sa voix, sentir son odeur et voir enfin son visage, ne pouvaient que la troubler, au fond. Mais son trouble était invisible, elle-même ne parvenant guère à la déceler parmi toutes les émotions qui la traversaient Dominura était rentrée depuis seulement quelques jours, se réhabituant tant bien que mal au pays, sans doute en effet bien différent de celui où elle avait vécu ces derniers mois. Puis la jeune femme se pencha légèrement en avant, non sans que son interlocutrice ne sente son ventre se nouer d’une légère tension, son sourire se perdant un instant, plus fou, tandis que son regard se figeait sur Dominura, ses sourcils haussés, et cette adorable expression qu’elle lui offrait alors. Une légère baisse d’attention, pure conséquence de l’attraction indéniable qu’exerçait encore la belle française sur la jolie blonde ne tarda pas à se ressaisir, Dominura l’interrogeant à son tour sur sa situation. Ainsi, après avoir légèrement mordillé sa lèvre inférieure, un sourire en coin venant se dessiner sur ses lèvres rouges. Toujours aussi charmante ? Parfaite sous toutes les coutures ? N’étant guère gênée par ces compliments – bien consciente de ses charmes – la jeune femme ne pu s’empêcher de se rapprocher à son tour, s’accoudant adorablement contre la table du Starbucks en un sourire en coin légèrement provocateur, son regard happant celui de Dominura avec force, ceci étant sa manière de lui signifier un quelconque remerciement – néanmoins sincère – vis-à-vis de ces paroles qui ne manquaient pas de flatter son mais tu sais, que je n’en ai pas besoin, n’est-ce pas ? Moi qui suis déjà bien trop sûre de mes qualités. Pourtant, de ta bouche, ces mots me touchent. Et je me redresse doucement, en un léger rire amusé. - Je vais très bien, merci. <3Adorable Ludmila, qui n’avait rien perdu de sa spontanéité, de ces jeux enfantins qui ne gâchaient en rien sa nouvelle maturité. Bien au contraire ? La douleur d’avoir perdu Dominura n’avait pu que la faire grandir, au fond. Mais la revoir ne pouvait que lui rendre son euphorie, sa joie de vivre étant déjà revenue il y a quelques mois de cela, et fort heureusement pour elle, qui avait tant souffert jusqu’alors. Je vais très Je suis bien. Cela se voit que tu es aimée~ »Frémissement, dans le sourire de la jolie blonde, qui soudain sembla très légèrement moins certain. Etait-ce si visible que cela ? Pourquoi Dominura faisait-elle cette remarque, au juste ? Malgré le bonheur qu’elles avaient à se retrouver, il était certain que tout ce qui concernait ou se rapprochait de leur relation passé restait encore dans le domaine du sensible, Ludmila étant relativement réticente quand à parler clairement de sa nouvelle relation, tout comme elle ne voulait pas réellement de détails au sujet de Grace et Dominura, si ce n’était les grandes lignes. Et Dominura continua, absolument adorable. Laissant échapper un léger rire face à l’emportement digne d’une adolescente de son ex-conjointe, Ludmila passa alors à nouveau ses dents sur sa lèvre inférieure, ne pouvant nier que la simple présence de cette femme face à elle lui faisait l’effet d’une bombe, explosant en elle jusqu’à l’en faire tourner la tête. Mais cela, elle se gardait bien de le montrer, se contentant de répondre d’un ton clairement malicieux, relativement rapidement - C’est vrai, tu as tout raté ! ^_^Sourire amusé, et Ludmila continua - Non bon ~ En fait, je n’ai pas fais grand-chose, je passe presque tout mon temps au travail. Mais ça va, j’ai tout de même plus d’autonomie, donc tout va bien !Se calmant très légèrement vers la fin de sa phrase – se préparant à la suivante – Ludmila laissa alors un léger instant de silence, adressant un sourire plus doux à son ex-conjointe, caressant son visage de ses yeux sombres et brillant d’un amour qui sans doute ne s’était jamais réellement éteint en elle. - Et oui, j’ai rencontré quelqu’un. <3Ces mots ne manquèrent pas d’éveiller à nouveau son sourire, Ludmila songeant un instant à Nathaniel, rêvant sans doute une idylle à laquelle elle croyait sincèrement. Mais parler de lui à Dominura était tout de même quelque peu gênait, quelque soit la relation qu’elle souhaitait alors entretenir avec elle. Amitié ? Sans aucun doute. Car la jeune Russe se sentait tout à fait incapable de simplement oublier et ignorer celle qu’elle avait aimée de tout son cœur, et qui lui avait offert tant. Tu ne te doutes sans doute même pas, Trésor. Tu ne peux pas savoir à quel point je t’ai aimé. A quel point je t’aime développant guère le sujet, ne sachant trop si Dominura était réellement intéressée, Ludmila enchaîna alors sur quelques questions – emportées – qu’elle ne pouvait guère s’empêcher de poser. Ainsi, ne cessant de sourire, la jolie blonde laissa à nouveau s’élancer sa jolie voix, curieuse, quoi que visiblement quelque peu plus tendue que quelques secondes auparavant - Mais … Tu dormais où, là-bas ? Et qu’est-ce que tu faisais, toute la journée ? … Tu penses repartir ? Et ~ Je … Ca va, avec Grace ?Je la jalouse, au étais mienne. Et je te voudrais encore je garderai les pieds sur terre, et me contenterai de te regarder, la fascination que j’ai pour toi étant toujours bel et bien présente en mon regard, en mon attitude. Et je porte ce grand gobelet à mes lèvres, ne te quittant pas des yeux, attirée. Et je ne peux pas m’empêcher, au fond, de vouloir t’aguicher, de mon regard, de mes doigts – ongles peints de rouge - glissant doucement sur la table, s’y frottant en une étrange caresse aléatoire, consciente ? Comme s’ils passaient sur ta tes ta si cette table que je tu à moi,Juste un instant. <3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mer 17 Fév - 2153 Aurait-on voulu m'anesthésier l'esprit, les pensées, afin que je ne penses plus a toi, sans doutes n'aurait-ce pas fait d'effet, sur mes songes, l'amour que je ressentais et que je ressens toujours pour toi me recouvrant entièrement, corps et âme, malgré le fait que j'aie tourné la page, depuis bien des mois. Oh, oui, dieu sait si j'ai tenté de t'oublier, pour mon bien tout comme pour le tien ! Mais les choses se sont evidemment révélées purement plus compliquées qu'elles en avaient l'air. Ais-je été stupide, de croire pouvoir te mettre dans un coin de mon esprit et ne plus songer à toi ? Ta beauté d'esprit et physique, la pureté de ces sourires, l'intensité de nos sentiments ? Oh, peut-être ais-je été quelque peu utopique, certes, de ne plus vouloir souffrir de j'ai pleuré,Et j'ai gémi,Et je me suis retourné, dans mon sommeil, maintes et maintes désormais, tout est différent. Tout est différent, et jamais plus ne pourrais-je oser penser te vouloir encore à moi, tant je te vois épanouie, là, juste sous mes yeux, témoin de ta nouvelle vie qui a l'air de te faire tant de rencontre me fais néanmoins vois bien, que tu te portes comme un charme. Je le vois, le sens, le ressens, tandis que je ne te lâche pas de mes yeux verts sombre. De toute évidence, ton ego n'a pas diminué, tandis que mon âme, portée par une culture bien différente, a sû de son côté s'ouvrir sur quelque chose d'autre que moi même. Mes compliments sonnent-ils à tes oreilles comme quelque chose de dû ? Quelque chose que tu attendais, quelque chose que tu entends tous les jours, à ne plus savoir en peser la sincérité en ce qui me concerne ? Je n'ai plus de peurs, seulement quelques doutes. Le doute, simple, que tu n'aies plus besoin de ces mots de ma vois bien, qu'ils te le vois, à ton visage, à tes yeux, à cette malice que tu ce sont plus sans doutes pour les mots qui flattent ta personne que tu sais déjà si sûre, que le fait qu'ils soient sortie de ma bouche si radine en éloges d' pis,Je ne t'en veux pas, alors que tu me réponds que tu vas très bien, appuyant sur un fait d'importance, me mettant quelque peu mal à l'aise, sans que je ne le effet, la grande femme commençait à ressentir au fond d'elle-même une certaine distance vis à vis d'une Ludmila qui appuyait réellement sur les côtés bien différents de sa vie, soulignant avec joie qu'elle était 'très' bien, à en surpasser la précédente. Oh, evidemment, avec le recul qu'elle pouvait avoir, Dominura en sourit interieurement, se rendant à l'évidence qu'elle avait toutes les raisons pour avancer de pareilles choses sur ce ton là Elle paraissait bien plus heureuse et épanouie que dans le couple qu'elles avaient longtemps formé. Ainsi, elle ne fit qu'en sourire d'avantage, paisible et reconnaissante à une personne aussi haute qu'invisible d'avoir pu rendre Ludmila d'une pareille fond, n'était-ce pas ce qu'elle avait prié, bien souvent, même si loin du continent de son ex-conjointe ?Mais c'est vraiJ'ai raison, comme tu l'approuvesJ'ai tout raté, de ce qui est arrivé dans ta tout raté, mais ne sais si tu serais prête à m'en parler, au fond. Notre ancien amour ne nous collerait-il pas quelques frontières, maintenant ? Mon sourire persiste, mais des questions se posent par dessus mon enthousiasme. C'est terrible, de penser à cela. Mais tandis que tu approuves une fois de plus mes propos, m'avouant que tu as en effet rencontré quelqu'un, je ne peux m'empêcher de voir que tu n'as pas envie d'entrer dans les détails, et d'en songer tant, et tant de choses. Tu ne veux pas m'avouer ton bonheur, c'est cela ? Tu ne veux pas me le raconter, alors que tes yeux s'éclairent, alors que ton âme jubile, menaçant presque de m' pis, je n'insisterai pas, tes paroles faisant passer le sujet comme si tu désirais le laisser de côté, une fois de plus, pour te concenter sur moi, dont les aventures semblent d' est-ce que je dormais ?Ce que je faisais toute la journée ?Est-ce que je penses repartir ?EtAvec Grace ?Ne quittant pas la belle russe des yeux, la grande femme passa ses lèvres à son gobelet de carton, observant avec délicatesse les différents gestes de la jeune femme qu'elle avait en face d'elle. Consciente ou inconsciente de ce qu'elle pouvait bien faire de ses doigts, Ludmila était visiblement en proie à une de ses propres divaguations sensuelles, qui ne manquaient pas de faire quelque effet à Dominura, bien malgré doigts, sur cette table...Ces caresses, comme seduction, tandis qu'ils ravivent en moi des souvenirs si forts, aussi délicieux que douloureux...Mais... Non !Voyons, il faut que je me resaisisse !Nous avons fait notre vie. Nous avons choisis nos chemins, nous avons conduit nos as rencontré quelqu'un. Je ne sais pas même si c'est une femme ou un homme, je ne connais pas même son moi ? Moi, j'aime Grace, et en suis aimée en ne sommes que de passageJe ne dois pas me laisser aller à ces pensées décalées !Respire seulementEtRéponds-lui, toi ! Mon coeur, qui bat si vite, si douloureusement ! Tais-toi donc, tu m'en fais souffrir !Souriant calmement toujours, alors que ses yeux sombres repassaient sur le visage magnifique de la charmante blonde aux cheveux ondulés, la grande femme ne tarda pas à consentir de répondre à ses questions, reposant alors son Caramel Macciatto entammé mais toujours trop chaud. Par quoi commencer ? Ah oui, le couchage. Haussant légèrement les sourcils, l'Illustratrice finit par dire, d'un ton amusé"Eh bien... Je dormais par terre, à même le sol, quoiqu'avec une peau tannée de coyote pour me protéger des insectes ou de la poussière. Evidemment, elle n'était ni très grande ni épaisse, mais je choisissais chaque jour conscienscieusement quelle partie du corps je préférais conserver intacte !"Un léger rire, et elle enchaina, les yeux brillants de cette aventure aussi étonnante qu'extraordinaire"Pour le lieu, eh bien cela changeait tous les jours ! Ce n'est pas un peuple sédentaire, nous couchions chaque soir à un endroit différent. Tantôt la pleine forêt, tantôt le désert, par chance des oasis... Je peux te dire que j'ai mis longtemps, pour que mon dos accepte de se tordre chaque nuit sur quelque pierre aussi dure que du béton ! Mais j'ai fini par m'y habituer, comme tout là bas"Un sourire,Une de caractère, d'esprit, un courage étrange qui l'avait prit et qui ne se voyait maintenant plus qu'en des mots et en son teint ravivé par la vie une nouvelle gorgée de café, la grande femme s'accouda à la table, et commença à dire, euphorisée par ses propos"Quant à mes journées ! Ah ! Elles étaient toujours bien remplies !! Soit nous marchions, encore et encore, soit j'apprennais les rites, les coutumes, leur art, leur langue. Soit je partais en exploration avec Grace, faisant des croquis et des prises de notes, soit je restais auprès du groupe pour jouir de la communauté... Jamais un jour sans une épreuve, une découverte, un nouvel apprentissage ! C'est comme cela..."Elle se pencha par dessus la table, se rapprochant légèrement de Ludmila, comme pour la mettre dans la confidence, alors que les mots sortaient avec enjouement, associés à son regard optimiste, puissemment heureux au plus profond de son âme, comme si elle comprennait, elle, le sens profond de la signification de ce qu'elle disait"... que j'ai fini par changer de nom !Je ne m'appelles plus Marcheuse des Arts, pour eux, désormais. Mais Grande Art."Et cette nouvelle semblait plus que la pour toi, cela semblera absolument ridicule sans doutes. Ridicule, obsolète, sans interêt et surtout très pour eux, c'était moi, cela est preuve d'accomplissement. Oh, si tu avais vu le rituel auquel j'ai assisté pour que l'on décide de mon nouveau nom !J'en aurais as seulement eu les larmes aux yeux, avant de les cela m'a fierté, plus que celle de qui que ce soit d'autre, M'avait alors redonné le courage, l'intime convictionQue ma voie était définitivement tournée vers l' tu me vois, devant toi, épanouie de nouveaux rapports avec le monde, avec élevation d'esprit se lit-elle sur moi, toi, qui m'as tant cotoyée ?Je l'ignore bien, mais ne te le demanderai appris, à ne plus demander, à ne plus attendre quoi que ce soit de quiconque. Si cela doit m'arriver, si cela doit m'être donné, alors je le reçevrai un jour ou l'autre, tôt ou tard, pour mon plus grand un instant son collier naturel -offert par Grace pour une étape de vie toute particulière aux yeux de Dominura-, ayant prit la place du D que l'on avait prit l'habitude de voir sur elle, la grande femme ne se lassait pas de regarder, encore et encore, le sublime visage de son interlocutrice, avant de boire une nouvelle gorgée de son Starbucks, avant de répondre à sa dernière question, venue à l'esprit par pur hasard"Tout va très bien, oui, même si je ne la vois plus beaucoup depuis que nous sommes part cela, j'en suis très heureuse"Et mon regard ne puis s'empêcher de s'adoucir, mon amour ressurgissant, mêlé à celui qui t'es réservé, alors que je baisse le regard un instant, me forcant de me calmer afin de ne pas laisser s'emballer mon coeur à sa pensée, à la tienne. Mes joues me brûlent, alors que je me souviens qu'elle m'as promis que nous nous retrouverions ce soir, chez elle sans ses yeux sur son ancienne conjointe, Dominura ajouta, haussant les sourcils et perdant le calme qu'elle venait d'adopter pour retourner à une certaine euphorie respectueuse"En effet, je me réjouis d'avoir de si bonnes nouvelles de toi, je vais pouvoir repartir tranquilisée ! Je me faisais tellement de soucis... Nous reprennons l'avion dans un peu moins de trois semaines, dès que les nouvelles analyses auront porté satisfaction à Grace et que les conférenciers daigneront la relâcher dans la nature !"Je repartiraiEt reviendrai, un jour peut-être,Toujours pour les mêmes raisons. Conférences, analyses, recherches, travail de fond et de je repartirai à nouveau, retrouvant cette grande famille qui me manque, au les aurais vus !Tu m'aurais vue !Ce peuple, ces enfants ! Je m'en suis rapprochée, ait appris à communiquer, que j'ai fais le deuil de mon fils ? Sans doutes l'ignores-tu, mais je m'en garderai tout de même d'en parler. Ne gâchons pas cette joie de propos élancés, je ne veux que te donner des nouvelles que tu désires entendre, aussi vraies je suis contente de te revoir !Tu m'as les mots dépassent mes lèvres, mon esprit dépasse ma raison, alors qu'une gorgée de plus est bue"J'ai beaucoup pensé à toi, là bas ! Oh, d'ailleurs..."Se penchant un instant, elle prit son sac et farfouilla à l'interieur. Finalement, le reposant, elle se redressa, et se passant, adorable, les dents sur la lèvre inférieure, laissa entendre sa voix, à nouveau"Je t'ai rapporté ça -Le gardant dans mon sac au cas où j'aurais l'occasion de te croiser un jour"Et, sur la table, elle laissa glisser jusqu'aux doigts de Ludmila, une feuille, oui, pur végétal, bien plus longue que large, d'une étrange matière, mais surtout d'une magnifique couleur. Dégradée, elle passait d'un rouge vif et profond jusqu'à un jaune tendre et pâle, à l'égal de la blondeur de la charmante russe. Petit clin d'oeil, sans doutes, alors que la feuille de cette plante exotique semblait avoir été crée par la nature pour la jeune femme même, associant ses couleurs, en un graphisme naturel échapper un léger rire amusé, craignant que la jolie blonde ne soit pas aussi flattée par l'attention qu'elle ait prit du plaisir à la faire, la grande femme ajouta cependant, d'une voix aussi enjouée que navrée, amusée à la fois, étrangement émue, à s'en mordre la lèvre"J'ai convaincu Grace de donner un surnom à la plante à qui appartient cette feuille~Nous l'appellons maintenant la "Ludmila", à côté du nom scientifique, sur les rapports"Ah, ha ! Quelle charmante attention, qui me touches peut-être plus que toi même, je n'en sais encore dieu sait si j'ai eu du me souviens encore de la voix de Grace, son regard désabusé, lorsque je l'ai priée de me laisser surnommer ce feuillage. Je m'en souviens, et m'en amuse, tandis qu'elle avait finit par céder à ma demande, d'un de ses sourires, d'un de ses rires exaspérés qui me ravissent tant, au vois ? J'ai pensé à toi, du fond de ma jungle, du fond de mon désertTu m'as manquée, mais aucune tristesse ne se laisse lire sur mon visageTu ne mérites pas de souffrir de ma douleurEt puis. Tu parrais si heureuse ! Je ne te ferai pas aggression de mes feuille, magnifique, toi ?Je n'avais pas le droit de ramener grand elle m'a tout de même cédé ce je te regardeSouriant simplement, quoique beaucoup plus, et beaucoup plus sincèrement qu'à mon habitudeSimplement heureuse de t'avoir devant moi,Simplement heureuse de te savoir là,Même si tu n'es plus mienneNous vivrons tout de mêmeEt mon coeur Continuera de battre secrêtement pour toiMa chère Ludmila,Petite Alice. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mer 17 Fév - 2345 Mes doigts glissent sur le bois de la table, et mon cœur étouffe à te voir ainsi face à moi, tandis que je me persuade que ces émotions ne sont que passagères, seulement dues à ces retrouvailles inattendues. Alors … Pourquoi ai-je tant envie de me rapprocher de toi, et de t’embrasser, juste une dernière fois ? Pourquoi suis-je encore si amoureuse, tandis que ma vie semble tourner à merveille, ces derniers temps ? Tu me manques, malgré tout ce que j’ai pu vivre de merveilleux ces derniers mois. Oh, je ne voudrai rien y changer, ni même que nous soyons à nouveau un couple, au fond. Je voudrai juste te savoir encore un peu à moi, juste une fois. Mais cela est impossible, et je retire ma main de cette table, rejoignant l’autre autour de mon gobelet en carton, le portant une nouvelle fois à ma bouche. Ce thé est délicieux. <3Finalement, Dominura en vint à répondre à toutes ses questions, commençant par celle qui concernait l’endroit où elle dormait. Par terre ? Haussant légèrement les sourcils, impressionnée par ce qu’était en train de lui avouer son ex-conjointe, Ludmila ne pu s’empêcher de sourire, adorablement étonnée d’apprendre que Dominura avait pu vivre dans ce genre de conditions, compte tenu de celles qu’elle avait laissé derrière elle en quittant New York. Passer du tout au rien, ainsi ? La belle française avait dû être véritablement très courageuse, et cela ne pouvait que renforcer la fierté de Ludmila envers elle, quoi qu’elle se garde bien de le lui avouer une nouvelle – Désert – Oasis. Dominura avait donc été réellement plongé dans un monde sauvage, inconnu, mais visiblement ayant eu une influence très positive sur sa vie, étant donné la brillance en son regard, cette nouvelle maturité, remarquable et remarquée par la jolie blonde, on ne peut plus attentive. L’imaginait-elle réellement dormir par terre, souffrir de son dos et des insectes ? Oh, sans doute préférait-elle ne pas y songer, ces pensées la mettant quelque peu mal à l’aise, alors qu’elle ne supportait pas de savoir la belle brune souffrir, d’une quelconque manière que ce soit. Pourtant, cette souffrance se révélait on ne peut plus positive, et Ludmila en était bel et bien consciente, adressant un sourire tendre et fier à son ancienne les journées de l’illustratrice avaient été bien rempli, comme le lui indiquait ses paroles, de cette voix aussi euphorique qu’envoutante, vis-à-vis de Ludmila. Cette dernière restait on ne peut plus attentive, tenant toujours son gobelet entre ses deux mains, ne sachant guère où placer ces dernières, désireuse de contact avec la peau brunie de son ex-conjointe. Impressionnée, la jeune femme ne prit néanmoins pas la parole, laissant à Dominura le temps de tout lui raconter, avide d’en savoir plus, bien que quelques détails ne manquent pas de faire se serrer quelque peu son tu restais avec Grace ? Oh, certes, cela est tout à fait normal, n’est-ce pas ? Pourtant, te savoir seule avec elle me dérange, tu sais. Je n’ai pas tant acquis cette sagesse que je peux lire en toi, et suis encore bien trop jalouse de cette femme, qui – en quelque sorte – a fini par te voler à moi. Serions-nous encore ensemble, si elle n’était pas entrée dans ta vie ? Je ne t’en aurai pas tant voulu, si tu ne m’avais pas trompé avec elle. Mais sans doute aurions-nous tout de même finit par nous séparer, tant notre couple était fragile, n’est-ce pas ?Oui, cela serait certainement ainsi, quoi qu’il se soit passé entre Grace et toi, ou Dominura se rapprocha, visiblement plus optimiste et heureuse encore de lui annoncer ce qu’elle était sur le point de dire – Adorable enfant. Adorable femme, forte et plus sage. Ludmila restait attentive, esquissant un nouveau sourire tendre lorsque la jeune femme lui laissa entendre ce nouveau nom que l’on lui avait attribué dans la tribu où elle avait vécu cette année, en Australie. Ce nom qui semblait lui tenir à cœur, tandis que Ludmila – en effet – ne pouvait guère en comprendre la réelle signification, inconsciente des coutumes de cette culture qui lui était inconnue. Ainsi se contenta-t-elle de sourire, terminant son thé sans faire le moindre commentaire à se sujet. Grande Art ? Je voudrai pouvoir en être aussi satisfaite que toi, Trésor. Mais pour moi, ce ne sont que des mots. Pour moi, Grande Art n’est pas plus gratifiant que Marcheuse des Arts, tu sais. Pourtant, je vois et comprend ton bonheur, et l’accepte. Si cela est important pour toi – Si cette appellation est significative de quelque chose de grand, de sincère, alors je ne peux qu’en être heureuse pour toi, tu sais. J’ai seulement peur de te voir t’éloigner davantage. Peur que ce genre de chose ne finisse par être plus important que … Nous ? Je ne sais pas quoi en penser, Dominura. Tu es ravie, et cela me fait tant de bien de te voir ainsi. Mais n’est-ce pas de la naïveté, de ta part, que d’attacher tant d’importance à un nom ? Non. Je suis certaine qu’il implique d’autres choses. Je suis certaine que tu as de bonnes raisons d’en être si je te sourire, sincère, et curieuse d’en savoir plus – toujours Dominura répondit à la dernière question de Ludmila, non sans que cette dernière – quoi qu’elle n’en montre absolument rien, gardant un sourire plus calme mais tout aussi sincère – n’en vienne à la regretter quelque peu. Tout se passait donc bien avec Grace ? Tant mieux. Tant pi ? Argh ! Je ne veux pas être si égoïste. Et je suis pourtant si heureuse pour toi, si tu savais. Je n’aurai jamais rien voulu d’autre que ton bonheur, ta reconstruction. Tu ne la vois pas assez ces derniers temps ? Comme nous ne voyons pas assez, autrefois. Mais je sais, que c’est différent. Je sais, que votre distance ne durera pas, tandis que la notre était vouée à durer encore longtemps. Tu es heureuse, tout comme moi, d’avoir de si bonnes nouvelles de la date du prochain départ de Dominura finit par tomber Trois semaines. Cela voulait-il dire que, dans trois semaines, Ludmila n’aurait à nouveau plus l’occasion de croiser cette femme à laquelle elle tenait tant ? Sentant son cœur s’emporter d’un stress nouveau et inconscient, la jeune femme se redressa légèrement sur sa chaise, ses lèvres s’entrouvrant légèrement, son regard vrillant en une seconde de panique sur son gobelet – à présent vide, avant qu’elle ne le repose – sourcils légèrement froncés – sur vas repartir si vite, si loin. Peux-tu voir en moi ce trouble, cette crainte que tu ne me reviennes plus jamais ? Je voudrai profiter des instants qu’il nous ait possible de partager, tant que tu es encore à New York. Je voudrai …Mais déjà, et sous le regard quelque peu plus troublé de la jeune Russe, Dominura laissait-elle à nouveau entendre sa voix Oh ? Tu as pensé à moi ? Comment ça, mon cœur ? Ainsi, laissant un très léger sourire en coin de curiosité et de malice se dessiner sur ses lèvres, Ludmila suivit-elle les mouvements de son ex-conjointe vers son sac, la voyant donc en sortir une feuille, qu’elle laissa finalement glisser sur la table, jusqu’à qu’elle. En prenant la tige entre ses doigts fins, Ludmila regarda le végétal avec attention, ses lèvres s’entrouvrant à nouveau tandis qu’elle en trouvait les couleurs absolument magnifiques, et la texture on ne peut plus agréable. J'ai convaincu Grace de donner un surnom à la plante à qui appartient cette feuille~Nous l'appelons maintenant la "Ludmila", à côté du nom scientifique, sur les rapports »Regardant Dominura se mordre la lèvre à ces mots adorables, Ludmila ne pu s’empêcher de laisser son sourire s’élargir, dévoilant ses belles dents blanches, tout aussi amusée et attendrie par l’attitude de la belle française vis-à-vis d’elle, que touchée par ce qu’elle avait fait, pour elle, son souvenir. Regardant à nouveau la feuille, la caressant doucement du bout des doigts, la jeune Russe reposa finalement son regard brillant d’émotion sur le visage de Dominura, pinçant légèrement ses lèvres d’une gêne qu’elle ne parvenait guère à cerner as pensé à moi, au point d’en convaincre ta nouvelle conjointe d’associer mon nom à cette plante, à la science ? Ce sont mes couleurs. C’est magnifique. Et tellement beau, tu sais. Tellement beau, que je ne sais quoi te dire, restant là, figée, à te regarder. Je voudrai pouvoir te remercier, t’enlacer – Mais cela ne serait pas même à la hauteur de ce que je ressens. Je te regarde, et ai simplement envie de pleurer, tu sais. Si encore toutes les larmes de mon cœur ne s’étaient pas déjà enfuies l’année dernière. Pleurer, tant je suis heureuse de te voir, heureuse de voir ces attentions, si significatives à mes yeux. Est-ce que tu vois, Dominura ?- Je … Je ne peux pas te dire, tu mon sourire s’étant à nouveau sur mes lèvres, doux et reconnaissant, tandis que ma main glisse vers la tienne – innocente. Et mes doigts passent sur les tiens, juste un instant Je t’aime encore, tu sais. Ne me trouble pas tant, de tes attentions. Ne me trouble pas tant, où je crèverai de ne pas pouvoir te remercier comme je l’aimerai. Ce que je fais de mieux, avec toi. Ce que je faisais de mieux. Je n’ai pas été capable de te rendre aussi heureuse que Grace peut le faire, n’est-ce pas ? Ou était-ce autre chose ? Je ne sais pas. Je ne sais je ne veux pas perdre de temps à me replonger dans ce passé, tandis que je te sais présente pour seulement trois semaines encore. Ainsi, ramenant vivement ma main à moi, me redressant en un sourire et une inspiration optimiste, je te laisse entendre, vive et spontanée, bien que souhaitant indéniablement échapper à ma gêner face à ce cadeau, que je garde précieusement auprès de moi, et que je ne perdrai sans doute jamais - Et si on se retrouvait, ce soir ? Tu pourrais venir avec Grace, et je te présenterai Nathaniel ?Enjouée, Ludmila n’ajouta rien à ces mots, sentant en elle son cœur battre à vivre allure, tandis qu’elle proposait cela non sans un certain espoir d’obtenir une réponse positive. Ne serait-ce pas quelque chose de positif, voir même d’agréable, que de se retrouver tous les quatre, et de stabiliser enfin leur relation, à présent amicale ? J’ai encore besoin de toi, dans ma toujours eu besoin de toi, si je ne peux te savoir mienne, J’aimerai au moins te garder, apprendre à te connaître ta nouvelle vie – Et Grace ?Peut-être finirais-je pas l’apprécier, qui sait ?Peu une chance d’être amies, s’il te cette chance, avant que tu ne repartes que je ne retourne à ma vie,Paisible.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Jeu 18 Fév - 059 Ludmila, oh, petit chat, je te regarde, t'observe, et bois ton image tout autant que les quelques paroles que tu as osé me délivrer, tout autant que tes rien à me dire sur mon futur départ ? Oh, je sais bien que tu n'essayeras pas de m'arrêter, ni de te mettre en travers de ma route. Mais seulement... Une réaction ?Ah ! Je la lis, maintenant, dans tes yeux, dans ton expression. Est-ce que cette idée te trouble déjà ? Je n'aurais voulu t'en blesser, sois-en sûre. Mais ma sincérité franche est désormais obligatoire, et jamais n'aurais-je voulu te mentir à ce sujet, même pour ton plus grand bien. La vérité était là, annonçant clairement que je n'aurai pas beaucoup de temps au pays. Je ne resterai pas beaucoup de temps,Mais n'aurai de cesse de garder en moi précieusement ces souvenirs de cette rencontre, si nous n'en venons plus à nous penses-tu de cette petite attention, que je te porte ?La grande femme fut à la fois absolument ravie, mais également grandement soulagée, au fond, de la réaction de sa conjointe quant à ce qu'il concernait la feuille, étrange, qu'elle lui avait rapporté d'Australie. Apparemment, ce geste l'avait purement et simplement touchée, même si une gêne pouvait se faire alors évidente, au fond. Oh, je sais, petit chat, que ce que j'ai ici fait, par pure attention en ta personne, pourrait paraitre déplacé, maintenant que nous ne sommes plus ensemble. Mais pour moi, c'était sans doutes quelque chose d'important, et voir que tu l'acceptes ne pourrait que me conforter sur une idée peut-être fausse mais éspérée Peut-être pourrions nous rester en contact, en lien ? Amies, peut-être ? Je ne sais pas si c'est trop demander. Je ne sais pas s'il vaut mieux te laisser m'oublier ou te contenter à nos rencontre que nous pourrions faire, en toute... que cela s'averera difficile, D'être amie avec toi, toi, que j'ai fait souffrir, qui m'a tant blessée, mais que j'aime toujours du fond du si tu le veux bien, j'aimerais essayer. Je voudrais tant ne plus te perdre, et ce, même si je m'en vais à nouveau, même si je quitte le pays. Je dois savoir que tu vas bien. Je dois savoir que je te reverrai peut-être, en rentrant, si je ne succombe à mes aventures toujours mouvementées, mettant ma vie sur le jeu du quitte ou double, un pile ou face aussi excitant qu'effrayant, au me garde bien d'ajouter que je t'aime encore, mais cela sans doutes se voit au fond de mes yeux. Sans doutes ne pourrais-je jamais me défaire de cette lueur, tant elle ne me quitte jamais lorsque je suis en ta présence. Seulement ais-je besoin de l'apprivoiser, de conserver cet état qui me permet de ne plus en souffrir, tandis que mes doigts se renferment à nouveau sur mon gobelet d'expresso caramélisé et que mes yeux ne te quittent plus désormais. Et que puis-je déchiffrer en toi ? Je vois à ces sourires, à cette émotion qui te prends alors que les remerciements seraient inutiles, que tu tiens toujours à moi, au que je songeais, de mon état, que tu m'avais idée ridicule, et je le vois alors !Tu n'es seulement plus mienne,Comme tu ne peux plus m'avoir tant qu'autrefois,Mais je sais, désormais, qu'une pensée m'allait tantôt,Et cela me suffirait presque,Si la jalousie ne faisait pas surface au fond de mon coeur, quoi que Grace et les aborigènes m'aient appris à ce sujet. Oui, je vois ce que tu oses me montrer de tes ressentis, tandis que je bois une nouvelle gorgée de mon café. Je le vois, et souris d'avantage à la phrase que tu tentes de dire mais qui se perd dans le néant, adorable. Je sais parfaitement, que tu ne peux rien dire. Tu ne peux rien dire, par respect pour toi, pour ta vie, pour moi, pour Grace peut-être également. Tu ne peux rien dire, mais cherche tout de même à me remercier, à ce que j'en vois de ton t'en fais donc pas, petit appris, à voir des regards les messages qu'ils me remercie profondément, et mon coeur en brûle, honoré, ne te demanderai plus de mots, tu sais ?Je n'ai plus besoin de cela pour comprendre. J'ai compris qu'en m'ouvrant d'avantage, je pouvais également être plus réçeptive aux autres. Et voilà que ce lien, fusionnel, refait surface, nous unissant encore, malgré les blessures et malgré le temps. Le temps. Nous n'en avons plus beaucoup, tu sais ? Et je ne veux ni voir de souffrance, ni même de tristesse, sur ton si beau visage. Souris, souris encore, et balaye la contrariété, qui fait froncer tes sourcils adorables. Sourire ?Oui, c'est cela, que je te demande silencieusement, et dont je me délecte ne m'en lasserai comme cette inspiration, optimiste ?Si tu savais comme je suis heureuse que cette journée demeure sous les positifs signes de l'enjouement, entrainant au bien-aller, entrainant à de charmantes retrouvailles, à de bienheureux rapports malgré les souvenirs persistants. Les yeux de la grande femme ne manquèrent pas de remarquer le mouvement de Ludmila qui ramenait ses mains à elle, conservant la feuille de végétal avec préciosité, indiquant à l'Illustratrice qu'elle la conserverait sans doutes avec grand soin, peut-être comme preuve de leur lien si fort, qu'il eut été amoureux ou amical. Puis, finalement, lls entrèrent à nouveau en contact avec le regard de la belle blonde, qui laissait entendre, vive et euphorique, d'une spontanéité qui surprit Dominura, une question des moins si elles se retrouvaient ce soir-là ?Avec... Grace ?Et... Nath... Nathaquoi ? Nathaniel ?La réponse ne se fit pas attendre, Dominura se redressant sur sa chaise, joignant ses mains entre elles, ravie de la proposition, ses yeux brillants d'éteincelles adorables"OUI !! Avec plaisir !"Evidemment, que j'accepte ! Comment pourrais-je manquer une pareille proposition ?!Ah mais... Attendez...Finalement, Dominura se tassa quelque peu, noyant ses lèvres dans le café qui ne descendait pas bien rapidement, étant donné sa châleur perdurante. Le soir même... Grace, justement, n'avait-elle pas laissé entendre qu'elle se libérait pour passer du temps avec elle ? Et puis... A sa demeure, tout cela... Relevant la tête, agitant les mains, visiblement terriblement gênée, la grande femme se ravisa alors, d'une voix précipitée, rougissant malgré sa peau brunie par le soleil"Ah !! Euh... Hheuuh... Non, en fait, je suis désolée, c'est impossible !"Mon dieu, comment ais-je pu oublier cela, une fraction de secondes ? Petit chat ! C'est ton regard, tes lèvres, toi, toute entière, qui me trouble !!Se mordant la lèvre inferieure, fuyant un instant le regard dans une expression qui montrait clairement qu'elle se reprennait à réfléchir, la grande femme songea à son planning de la semaine. Et si... Si elle demandait la possibilité pour le lendemain ? Sans doutes cela serait-il possible ?Se redressant alors à nouveau, joignant pour la deuxième fois ses mains entre elles, liant ses doigts dans un geste communicatif d'une adorable euphorie de recherche d'un moment adéquat, elle ajouta, ravisant ainsi son ravisement"Demain ? Demain soir, est-ce que cela serait possible ?"OooohhhhHhh, LudmilaaaaaaaahhhH ! Dis ouiii, dis oui pour demain ! Cela me ravirait tant ! Ainsi, je pourrais voir Nathaniel, et tu pourras voir Gr... Et tu pourras voir... Grace ? Ses mains retombant vers son gobelet pour une énième fois, cette fois-ci dans un élan quelque peu plus nerveux, la grande femme jeta un oeil dans un vide plannant entre le bas et le haut de son contenant Starbucks, s'en prennant à des songes étranges, quelques élucubrations non négligeables. Ludmila demandait ainsi de voir Grace ? Mais elle ne pouvait pas la supporter, et ce, depuis des lustres ! Relevant ses yeux sombres sur Ludmila, la grande femme avait perdu son sourire, comme cherchant en elle un quelconque indice qui put lui montrer, sans lui tordre le ventre ainsi que le coeur, que la belle blonde se montrerait acceuillante et chalereuse avec Grace tout autant qu'à elle même, ou au moins avec assez de respect et de sincérité, sans ondes me mords la lèvre une fois de plus, cette fois-ci mes sourcils se fronçant d'une peine de doute N'est-ce pas toi, qui la rabaissais sans même la connaitre, te moquant de moi ouvertement en soulignant le fait qu'elle était ironiquement extraordinaire ? Une gêne s'installe en moi, tandis que toutes ces choses me reviennent Désires-tu réellement te retrouver dans la même pièce qu'elle, ou ne veux-tu que la voir à mes côtés afin de te certifier qu'elle n'a rien à faire avec moi ?Peut-être ces questions sont elles Qu'elles ne le sont pas. Et puis. Comment vais-je convaincre Grace de m'accompagner ? Oh, cela, je pourrais toujours le faire, si j'avais de bonnes raisons. Mais comment lui dire qu'elle est invitée à venir à mon bras pour participer à une soirée cosy de quatre personnes autour d'un apéritif chez une femme qui ne l'appréciait pas, et même, pire, la haïssait à en devenir excécrable ?Oh, petit chat ! Si je te pardonne tout ce que tu as pu dire au sujet de ma présente conjointe, depuis la première fois que nous l'avons vue ensemble jusqu'à ce fameux jour où tu osa m'imiter en de terribles circonstances,Je ne puis m'empêcher de douter de ta sincérité quant à la rencontrerAis-je raison ?N'as-tu d'elle plus qu'une vision extrêmement négative ?J'aimerais te montrer à quel point elle est formidable... Mais jamais n'oserais-je orienter ton regard à ce sujet, craignant tellement que tu la rabaisses sans même la connaitre...Mon trouble se voitAlors je te l'avoueL'on m'a appris a être franche. Toujours... le plus possible, dans la mesure où cela ferait avancer les chosesNous avons besoin... De communication ?Ainsi, sans une once de rancoeur, je te demande, en toute simplicité, d'une crainte adorable, mes sourcils trahissant une tendre appréhension"Je suis certaine que Grace serait ravie de venir si elle savait à quel point cela me ferait plaisir de venir vous rendre visite...Mais..."Instant de silence"... Serait-elle vraiment la bienvenue ?"Je te le demande, uniquement car j'aimerais savoir ce qu'en penses ton coeur, vraiment encore l'humilier à moi, comme tu l'as fait il y a maintenant plus d'un an, alors qu'à l'époque jamais je n'aurais songé un jour partager sa vie ?Je te le demande, uniquement car connaitre ta réponse me fera du bienJe ne veux pas te l'imposerTout comme je voudrais la préserver d'une quelconque épreuve négative forcée par mes soinsAlors,S'il te plaitRéponds-moi,SincèrementAlors qu'un sourire timide mais triste vint à passer sur mon visageJe ne te demande pas de bénir mon amour pour elleMais quelques franchisesPar amour, ou ne serait-ce qu'amitié pour j'accepterai ton hommeMême si je dois en souffrirLe jalousant à en mourirSi je suis conviée à cette entrevue en compagnie de ma conjointeLes compteurs posés sur le platToute objectivité ?Dis-moi,Mon amour.♣ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Jeu 18 Fév - 228 Mon Amour. A jamais. Comment pourrais-je te dire à quel point je tiens encore à toi ? Comment pourrais-je te dire, que te savoir repartir si vite me serre le cœur et m’effraie ? Et si tu ne revenais jamais, Dominura ? Et s’il t’arrivait quelque chose, là-bas ? Je ne supporterai pas de te perdre à nouveau, tu sais. Pas comme ça. Surtout pas comme ça. Notre rupture était inévitable. Mais ta disparition me serait clairement insurmontable. Alors je t’en prie Comprends, en mes regards, en mes expressions. Comprends, que j’ai peur pour toi. Et prends bien soin de ta vie. Cherches-tu à te mettre en danger ? Je n’en sais rien, mais ose espérer que ce n’est pas cela que tu cherches. Tu me sembles tellement grandit, toi qui pourtant avait déjà ces quelques années de plus que doute étions-nous trop immatures, trop égoïstes. Je me sens mieux, aujourd’ je suis prête à faire des efforts, Pour continuer à te voir réponse de Dominura concernant l’invitation de son ex-conjointe ne se fit guère attendre, au plus grand plaisir de cette dernière qui – face à tant de spontanéité et d’enthousiasme – ne manqua pas de laisser s’échapper un léger rire amusé d’entre ses lèvres rouges, suivit d’un sourire plus doux. Evidemment, savoir que la belle française serait ravie de cette nouvelle rencontre ne pouvait que lui faire plaisir, étant elle-même très optimiste quand à cette perspective. Mais cette joie intense ne dura guère, alors que l’expression de Dominura venait à changer, son regard fuyant un instant en un trouble que Ludmila ne parvint pas à cerner cette gêne, et cette précipitation dans tes gestes, à en faire rougir tes joues, Trésor ? Penses-tu que Grace ne serait pas d’accord ? Ou regrettes-tu déjà d’avoir accepter, réalisant finalement que tu n’as pas réellement envie de passer ainsi une soirée entre nous et nos conjoints respectifs ?Heureusement – ses sourcils s’étant d’ores et déjà froncés d’une interrogation hésitante – la jolie blonde n’eut guère à attendre, que déjà Dominura reprit la parole. Impossible ? Pourquoi ? Oh, cela ne l’avançait guère. Tout autant que les gestes nerveux mais adorables de Dominura ne l’aidait en rien à comprendre ce retournement de situation inattendu. Comment pouvait-elle accepter avec tant d’euphorie, et se raviser à peine une seconde plus tard, aussi vivement ? Oh, sans doute l’illustratrice avait-elle une bonne raison, n’ayant tout d’abord pas réalisé que cela lui serait impossible de faire cela ce soir ? Ludmila parvenait finalement à le comprendre, un léger sourire en coin venant à nouveau éclairer son visage, lorsque Dominura lui proposa de reporter cette soirée au lendemain. tu savais à quelle allure mon cœur bat, tandis que je m’accroche à tes mots, à tes regards. Si tu savais comme je suis heureuse, que notre relation, nos liens, comptent toujours pour toi. Je ne te demanderai rien, ni ne jugerai ta nouvelle vie. Je veux simplement te garder un peu dans la mienne, et ne plus te faire souffrir, comme j’ai tant pu le faire par le passé, alors que j’avais tout ce dont je pouvais rêver, avec été immature, été odieuse, je t’aimais, Dominura. Je t’aimais, à en devenir totalement folle. Assez folle pour te pousser à bout, et te perdre comme je l’ai fais. J’aurai dû m’y prendre autrement, et te parler, plutôt que de me refermer dans ces excès qui nous éloignaient chaque jour un peu plus. Nous n’étions sans doute pas assez ouvertes l’une à l’autre, bien trop lâches pour communiquer avec franchise, quitte à souffrir – utilement – de certaines été bien trop lâche, mon Ange. Et je m’en excuse. Si tu savais, comme je en un adorable mordillement de sa lèvre inférieure, amusée et attendrit par les réactions diverses de son ex-conjointe, Ludmila finit par laisser entendre sa jolie voix, répondant avec enthousiasme à Dominura - D’accord ! Demain alors ! ♪Mais à nouveau, le sourire de la jolie blonde laissa place au doute, tandis qu’elle voyait son aimée se perdre quelque peu, son regard et ses mains sur son gobelet, silencieuse. A quoi pensait-elle, au juste ? Ludmila n’en savait rien, ne pouvant guère deviner ce genre de chose, tandis qu’elle ne voyait quand à elle rien de négatif à cette rencontre, si ce n’était la difficulté qu’elle aurait alors à voir Dominura loin d’elle, et si proche de Grace. Mais cela, la jeune Russe était prête à l’affronter, tout semblant être plus clair pour elle à sans doute souffrirais-je moins de vous, en l’ayant à mes côtés, n’est-ce pas ? Et je suppose qu’il en est de même pour toi. Je ne déteste pas Grace, tu sais. Je ne supportais simplement pas la fascination que tu lui portais, acharnée à t’informer à son sujet, à la rencontrer. Je ne supportais pas la brillance de tes yeux, lorsque tu la regardais. Et plus que tout, je n’ai pas supporté de te savoir t’être rapproché d’elle. Mais tout est différent à présent, et je suis prête à partir de zéro, avec cette femme. Sans doute n’aurais-je d’ailleurs jamais été si cruelle envers elle en sa présence, à l’époque. Je voulais seulement te faire réagir, toi. Peu importait Grace, au Ludmila ne manqua pas d’être quelque peu surprise, aux suivantes paroles de la belle française. Ses sourcils se haussant légèrement, ses lèvres s’entrouvrant tandis qu’elle était étonnée d’entendre ce genre de chose de la bouche de Dominura, la jeune psychologue ne manqua pas de les refermer rapidement, sentant en elle quelques étranges picotements, à la fois agréables et douloureux. Serait-elle vraiment la bienvenue ?Mon Dieu, Dominura ! Je ne sais pas si je dois être heureuse de voir que tu ne gardes pas cette appréhension pour toi, ou si je dois souffrir de t’avoir fait croire que Grace était à mes yeux quelqu’un d’insignifiant. Je ne la connais pas, et j’en suis consciente. Je ne la connais pas, et ne peux la juger. Si j’ai quelque chose à lui reprocher, cela est sans doute de t’avoir emmené si loin de moi, de te mettre ainsi en danger, en te faisant traverser les forêts et déserts d’Australie. Mais puis-je lui en vouloir, pour ton attirance pour elle, et ton infidélité ?Non. Je t’en veux, à toi. Je t’en veux, et t’en voudrai certainement toujours d’avoir osé me faire une chose pareille. Mais je suis prête à mettre cela de côté, et à tout recommencer. Seulement profiter de ta présence tant qu’il en est encore temps, et découvrir sans plus aucun apriori la femme qui partage à présent ta vie. Ainsi, esquissant un sourire calme – et toujours amoureux, bien malgré elle – à la délicieuse femme face à elle, répondant au sien – plus timide – Ludmila resta un court instant silencieuse, réalisant tout de même qu’au fond, Dominura et elle se connaissaient encore bien mal, pour oser redouter ce genre de chose l’une de l’autre. Remarquez, la crise aurait pu être possible, si la jeune Russe n’avait pas elle-même changé durant cette année, et prit le recul nécessaire vis-à-vis de leur relation, pour à présent en entretenir une bien plus saine, n’excluant absolument plus de tiers personne, comme cela avait pu être le cas son ex-conjointe au jeu de la franchise, n’ayant à vrai dire rien à y perdre, Ludmila laissa alors entendre, calme mais ferme, visiblement sincère et déterminée à bien le faire comprendre à l’illustratrice - Evidemment Dominura ! ~ Je n’ai jamais rien eu contre elle ! Et puis, je serai ravie de la connaître davantage ~Se penchant légèrement en avant, un sourire en coin malicieux se dessinant sur ses lèvres, la jolie blonde ajouta, très légèrement provocante, à sa manière - adorable - Puisque tu l’aimes. ♪Se moquait-elle ? Non, pas du tout. Mais Ludmila était ainsi, et ne pouvait s’empêcher de jouer, quelque soit les circonstances, au fond. Dominura serait sans doute assez sage pour ne rien voir en cela quoi que ce soit de négatif, puisqu’il n’y en avait aucune raison. Cela n’était qu’un constat, et une vérité Puisque Dominura était amoureuse de cette femme, cela donnait une très bonne raison à la jolie blonde de vouloir la connaître. Raison suffisante, la jolie blonde passa une seconde ses dents sur sa lèvre inférieure, dévorant Dominura du regard, puis s’en détourna afin de fouiller dans son sac, afin d’en sortir une petite carte de visite – kitsch - blanche et bleue ciel – accordée aux yeux de Nathaniel – sur laquelle étaient indiqués l’adresse de ce dernier, ainsi que son numéro de téléphone. La tendant alors vers Dominura, Ludmila laissa entendre par la même occasion, retrouvant plus de calme et de douceur, mais aussi cette euphorie qu’elle avait à l’idée de ce rendez-vous dès le lendemain - 19h chez Nath, ça ira ?Oh, il sera d’accord, ne t’en fais donc pas pour ça. Et s’il ne l’est pas ? Je n’aurai qu’à user de mes charmes pour le faire craquer, ça n’est pas un problème. Et puis, cela sera bien plus convivial chez lui que chez moi, mon présent conjoint ayant un appartement énorme et absolument parfait Disposition des pièces en fonction de la lumière du soleil, selon l’heure. Eclairage parfait à tout instant. Décoration sobre et classe. Pièces énormes et parfaitement bien rangées, propres – femme de ménage oblige. Et puis, elle ne pouvait pas s’inviter chez Dominura, n’est-ce pas ? D’autant plus que l’appartement de Nathaniel était un terrain relativement neutre, qui ne rappellerait ainsi aucun souvenir à l’une comme à l’ sourire, es belle, et ne cesse de me le pourrai te le dire encore, mais à quoi bon ?Cela ne ferait que nous troubler, n’est-ce pas ?Je ne te ferai plus jamais de mal, j’accueillerai Grace, comme une tu tiens à elle, je ne ferai rien qui pourrait te et acceptes, s’il te demain. J’ai tellement hâte. <3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Jeu 18 Fév - 2143 Je sais, je sens, je vois, que tu es surprise d'entendre ces paroles de ma bouche. Cela parait-il insencé, venant de moi ? Oh, non. Mais peut-être que sur le coup, ma franchise et mon esprit direct, te troublent t-ils. Ais-je raison, ais-je tord, de te laisser entendre cela ainsi ? J'imagine que cela est le mieux à faire. Tant que je ne te blesses pas, je ne vois pas ce que je risque. Non, je ne crains rien, tandis que je demeure excessivement correcte, aussi respectueuse que possible, l'amour se lisant pourtant toujours au fond de mes yeux vert doute fut-il le ressenti principal de la grande femme lorsqu'elle vit le léger sourire calme de Ludmila. Cette dernière avait-elle compris le sens, la raison de cette question quelque peu spéciale ? Sans doutes, oui. Et peut-être en avait-elle été touchée, retournée, ou simplement interloquée ?Notre relation est désormais plus saine. Plus saine ? Malgré cet amour qui demeure, alors que nous sommes séparées, toutes deux à présent avec une personne que l'on aime terriblement ? Je ne sais pas si cette situation est plus pure qu'auparavant. Mais qu'importe, je n'y pense pas, alors que mes mots ont fendu l'air, l'ambiance se tamisant d'un voeu de réponse, tandis que j'attends encore patiemment, un léger sourire trouble sur les lèvres, les mains refermées à nouveau sur le gobelet plus tiède de mon caramel cette voix, ornée d'une franchise certaine et sans n'ai jamais rien eu contre puis je serai ravie de la connaitre davantage....Ludmila ?Les yeux brillants d'une nouvelle lueur de remerciement et de reconnaissance à ces mots, Dominura ne tarda pourant pas de laisser échapper un rire amusé et heureux à la fois, entendant les paroles ajoutées de sa si belle et charmante, si regrettée conjointe. Puisqu'elle l'aimait ?Oh, oui, comme je l' je vois bien, cette fois, qu'il n'est plus question de moqueries, venant de ta part, mais simplement d'une malice me laissant deviner cette sorte d'étrange sacrifice que tu fais peut-être à ton âme, à me dire cela. N'est-ce pas une des premières fois, petite Ludmila, au fond, que tu n'as pas ce que tu désires ? Que tu vois la personne que tu convoites dans les bras d'une autre ? Et pourtant, tu es sage, malgré les maladresses de tes gestes sensuels qui t'échappent encore, conscients ou de regards, intense frisson de la grande femme au mordillement des lèvres de son ex-conjointe Tu es adorable, et si désirable ! J'espère au moins que ce Nathaniel prends bien soin de toi, mérite tes attentions, ton corps, ton nom, qui furent miens ce qui semble maintenant pour moi pas plus long qu'un instant, légèrement les sourcils en voyant Ludmila farfouiller dans son sac, la grande femme profita de cette charmante vision pour se délecter de la belle blonde, cette attitude si esthetique qu'elle se prendrait joie de dessiner encore. Oh, esthetiquement, bien entendu. Cela n'était qu'un regard esthetique. Oui, oui. C'est cela... Exactement cela. Finallement, la belle blonde se redressa, tendant une espèce de carte à l'Illustratrice, y ajoutant quelques chez Nath ?Machinalement, Dominura répondit, d'un sourire, prennant la carte entre deux doigts et la ramenant vers elle"Parfait, je te confirme ça ce soir !"Par message, sur ton téléphone portable, de toute évidence. Sais-tu que je l'ai donc récupéré ? Après tant de temps, sans en avoir touché une bribe. Maintenant, il ne me restera plus qu'à convaincre Grace, et te confirmer de notre présence à toutes deux. En esperant, bien entendu, que cela ne gêne pas le dénommé Nath. Tu as l'air d'avoir prit la décision en solitaire, jolie fleur <3Toujours aussi euphorique, la grande femme se réjouissait déjà de cette soirée qui s'annonçait à la fois des plus cocasses et des plus positives, cessant de songer au parti que pourrait prendre Ludmila devant Grace. Quant à elle, evidemment, elle ne certifiait sans doutes pas son éternel sourire face à Nathanael, prise d'une puissante jalousie à son égard, son coeur battant toujours à tout rompre, chaque fois qu'elle songeait que cet homme qu'elle n'avait encore jamais rencontré avait pu passer ses doigts sur la peau de sa conjointe, et lui donner assez d'amour, assez de plaisir, pour demeurer avec elle et construire quelques jamais eu ces projets avec moi, Ludmila ?Notre relation n'était pas ton rêve, ton importe, maintenant, si tu l'as trouvé. Enfin ne peux que m'en ravir, et laisser mon coeur en pleurer que jamais Grace ne le sache, elle, que j'aime tant, malgré nos différences de caractères non-négligeables, nos divergences de manière de pensée, d'agir, de montrer ou cacher ses sais qu'elle n'en paraitrait pas aussi affectée que je pourrais l'être à une pareille entente, une pareille nouvelle,Mais n'en souffrirait pas Ludmila !Tu as vu cette femme à la télévision, puis en conférence, d'ores et je jubile tellement de te la faire voir, comme "en vrai" ! Loin des conférences, des dangers, des troubles, proche de la sincérité, de sa belle personne, de son amour pour malgré mes blessures, malgré mes doutes vis à vis de toi, il me tarde tout de même étrangement de te la présenter, Ou de te la ma façonAvec mes yeuxEt mon bonheurDemain,19h, Chez serons là,Petite fleurEt que dieu nous garde !Chacune de nos nouvelles viesHeureuses, épanouiesVivantes. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Jeu 18 Fév - 2254 Presque un an et demi après sa séparation – on ne peut plus douloureuse – avec la belle française, Ludmila avait donc eu le bonheur de la retrouver enfin, jubilant de voir que tout n’était pas forcément perdu entre elles, amicalement parlant. Oh, sans doute aurait-elle continué à souffrir de leur déchirement, si Dominura et elle n’avait pas déjà pu se parler il y a huit mois de cela. Sans doute serait-elle toujours seule et malheureuse, à rechercher en d’autres ce qu’elle ne pourrait jamais plus avoir de son aimée. Fort heureusement – et grâce à Jeanne, que Ludmila ne manquait pas d’appeler régulièrement afin d’échanger quelques nouvelles – la liaison avait pu se faire entre New York et l’Australie, permettant à ces deux femmes de se mettre au clair, et ainsi de mieux se retrouver à si de rien était ? Non, pas tout à fait. Nous ne pouvons pas oublier ce que nous avons pu nous dire, nous faire, n’est-ce pas ? Je n’oublie pas, mais parviens à vivre avec, et à profiter de ta présence, bien que cela soit tout aussi difficile à vivre, compte tenu de cet amour que je ne peux m’empêcher de ressentir encore, si intensément. Pardonne-moi, de ne pas pouvoir t’oublier. Je voudrai ne pas être jalouse de Grace. Je voudrai te pardonner, mais mon cœur – s’il est pourtant à présent entre de bonnes mains – saigne et saignera encore par ta faute, pour un certain temps sans doute. Mais cela importait peu, tandis que Ludmila quittait le Starbucks, on ne peut plus souriante et enthousiaste. La perspective d’une soirée passée avec Dominura – et leurs conjoints – ne pouvait que la ravir, et à peine fut-elle sortie qu’elle se dirigea vers le lieu de travail de Nathaniel, l’y retrouvant, à l’agréable surprise de ce dernier. Doit-on préciser que ces retrouvailles se firent à double-tour dans le bureau de ce dernier, bien dissimulé de tout regard curieux, et tout ce que cela impliquait ? Oh, Ludmila ne changeait pas. Et cela n’était pas pour déplaire ce jeune homme, qui profitait sans honte des charmes physiques de sa compagne sur son lieu de travail. Finalement, une fois le calme revenu – quoi que restant d’une euphorie extraordinaire – Ludmila parla à Nathaniel de sa rencontre furtive avec Dominura – qu’il connaissait pour en avoir déjà parlé avec la jeune Russe, lorsqu’elle était encore si mal qu’elle ne pouvait s’empêcher de regarder des photos datant de leur relation, ainsi que d’en parler à cet homme qui avait su l’écouter, et peut-être même la lui faire quelque peu oublier. Portant une entière confiance à son aimée – ou étant relativement naïf de nature – le jeune comptable ne trouva absolument pas la situation dérangeante, semblant même en être ravi, contre toute fond, ne se méfiait-il pas au moins un peu de cette femme que sa conjointe semblait avoir tant aimé ? Sans doute, oui. Mais Nathaniel restait charmant et attentif, cédant à la proposition de Ludmila sans même lui montrer ne serait-ce qu’une once de réticence. Ainsi, la jolie blonde continua en lui avouant qu’elle avait déjà dit à Dominura de venir directement chez lui, et ainsi de suite. Un baiser sur les lèvres adorables de ce charmant blond, et la jeune Russe parvint à lui faire décrocher un sourire, quoiqu’accompagné de quelques paroles faussement réprobatrices quand à l’initiative de la jeune femme. - Tu es vraiment sans gêne, Mila-Chou !Oui, sans gêne. A inviter mon ex et sa nouvelle conjointe chez toi, sans même t’en avoir parlé auparavant ? Je le suis, mais au fond, cela te plait, n’est-ce pas ? Tu aimes tant me faire plaisir. Et rien ne me ferait plus plaisir, que de te présenter celle que j’ai aimé – que j’aime, encore. Mon Dieu – Tu ne sauras jamais ça. Je t’aime tellement, toi aussi. Comment pourrais-je me passer de toi ? Et Elle ? Je ne dois pas penser à cela, n’est-ce pas ? Tu es à moi, et Dominura est heureuse avec Grace. Point.~A peine sortie du travail, on ne peut plus enjouée – au grand étonnement de ses collègues, qui avait pu la voir épuisée et décomposée pendant de nombreux mois, puis plus calme ensuite, mais jamais si heureuse – Ludmila monta dans un taxi et se rendit à l’appartement de son conjoint. Un taxi, car Nathaniel habitait quelque peu à l’écart du centre-ville, près de l’océan. Evidemment, il avait une vue absolument impressionnante, de sa chambre et de son salon, de cette manière. Malgré tout, Ludmila ne pensait pas encore véritablement à vivre officiellement avec lui, passant pourtant bien des nuits en ces lieux absolument parfaits. Etait-ce par crainte d’aller trop vite, ou tout simplement parce qu’elle n’en avait pas encore réellement envie ? Oh, Nathaniel, lui, semblait fou d’enthousiasme à cette idée. Tout comme au fait d’avoir des enfants, puis une maison de campagne, et tout ce qui s’en suivait pour faire d’eux un couple Américain Je suis lààà !ClacClacClacPosant ses affaires dans le placard à l’entrée, gardant néanmoins ses chaussures, Ludmila s’avança jusqu’à la cuisine, où elle ne tarda pas à trouver son aimé en pleine préparation, un tablier de chef cuisinier sur lui, tâché de sauce et de … chocolat ? Un léger sourire en coin se dessinant sur ses lèvres en se rendant finalement compte de tout le travail qu’avait pu fournir son conjoint afin d’offrir un apéritif on ne peut plus varié et délicieux à Dominura et Grace, Ludmila se rapprocha calmement de lui, l’arrachant un instant à ses préparation pour lui offrir quelques baisers de remerciement et d’amour, le trouvant tellement mignon, à se donner ainsi pour elle et ses invités. Finalement, Nathaniel lui ordonna gentiment de quitter la cuisine pour aller se préparer, l’heure d’arrivée des deux femmes venues d’Australie arrivant à grands douche rapide, quelques retouches de maquillage, un peu de parfum à la cerise, et la jolie blonde enfila une robe jaune des plus adorables, mettant parfaitement ses formes en valeur, tout en avançant d’une nouvelle façon sa bonne humeur du jour. Porter une couleur si vive ne lui était évidemment guère recommandée au travail, et ce même si – au fond – elle ne s’en gênait guère habituellement. ClacClacJe suis prête !Retournant à la cuisine, Ludmila pu alors voir avec une certaine stupéfaction que Nathaniel n’y était déjà plus, les plateaux et alcools étant disposés sur la table, en attente d’être portés au salon. Il y avait là tant de choses à goûter, que si elle ne l’avait pas vu faire, la jeune femme aurait pu facilement croire que son conjoint avait triché en appelant un traiteur. Finalement, le jeune homme en question ne tarda pas à revenir à la cuisine, vêtu quand à lui d’une chemise et d’un pantalon noir, très classes, sans trop être sophistiqués non plus. Ludmila ne pouvait que l’en trouver attirant, appréciant beaucoup toutes ces attentions. Mhm. <3HopHopAidant Nathaniel à tout porter sur la table basse – immense et entourées de canapés de cuir blanc magnifiques – Ludmila et lui finirent alors par s’installer sur l’un de ces confortables sofas, profitant de quelques instants d’intimité avant l’arrivé de Dominura et Grace pour se raconter amoureusement et attentivement leur journée, tout en s’embrassant et se caressant par la même occasion, non sans faire monter un certain désir en eux – ce qui était très certainement une très mauvaise idée. - Arrêêêtes, elles vont arriver !Et ce léger rire, aussi adorable qu’exaspérant, vu de l’extérieur. Oh, Ludmila était heureuse, certes. Mais ne finissait-elle pas par en devenir quelques peu ridicule sur les bords ? Evidemment, elle ne s’en rendait pas compte, continuant à jouer à ce jeu et à s’imaginer être la femme la plus comblée au si au fond, Dominura restait gravée en si sans doute aurait-elle préféré être dans ses bras,Plutôt que dans ceux de ce charmant riait, et l’enlaçait, prêt néanmoins à se lever afin d’aller ouvrir à ses suivrait sans doute, bien impatiente de revoir si Grace serait là. Même si elle n’était plus hâte de te voir,Mon <3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Ven 19 Fév - 030 Dominura, sortant du Starbucks après la fin de son intense et mouvementée conversation avec Ludmila, continua donc sa descente de la grande rue de NewYork, le baume au coeur. Qu'est-ce qui pouvait être mieux que cette journée ? Alors qu'elle avait tout prit avec optimisme, depuis son lever, tout semblait aller pour le mieux. Tout d'abord en ce qui concernait Grace, et sa promesse de passer la soirée avec elle, l'invitant à sa demeure, puis sa rencontre aussi charmante qu'innatendue avec son ancienne conjointe ! Evidemment, cela aurait pu paraitre comme une épreuve, à première vue. Mais en fait, tout s'était parfaitement bien déroulé, et l'Illustratrice finit par laisser partir la belle russe, avec la satisfaction secrête que cette dernière ait apprécié et gardé son souvenir d'Australie, récit silencieux de voyages dangereux et tout aussi passionnants. Sans aucun doutes le coeur de la grande femme avait été mouvementé, brusqué, troublé, étreiné, lors de cette entrevue, tout simplement à cause de ces sentiments, pas encore éteints, qui prennaient parfois en proie l'esprit de la dessinatrice. Ainsi s'était-elle laissée à penser qu'elle aimait toujours la jolie blonde, bien que cela ne soit plus en accord avec ses ne pouvait pas y ne pouvait plus se laisser le droit d'y leur séparation en ce jour n'avait été que positive, strictement positive, et sur la promesse de se revoir bientôt En effet, Grace et Dominura avaient toutes deux étés invitées au grand appartement de Nathaniel, le Ken grandeur nature de Ludmila, sous les petits soins de cette dernière d'en avertir l'artiste. Evidemment, l'invitation avait été acceptée, puis remise en question, et enfin réacceptée. Voilà maintenant que Dominura ne pensait plus qu'aux diverses façons de convaincre Grace de s'allier à elle pour cette petite soirée tout, un peu de calme et de repos ne lui feraient pas de mal un jour de plus, n'est-ce pas ?J'aimerais tant. Oh, oui, que je m'en fais une joie !Tu ne peux pas me refuser cela, Amour.~"Je me libère entièrement ce soir pour toi, et tu oses encore me demander force de présence demain ?""S'il te plaiiiit~ Juste cette fois" Affalée adorablement sur sa conjointe, Dominura la suppliait maintenant de son regard de demande spéciale, ayant déjà fait sa demande à Grace, celle-ci refusant avec le plus grand naturel du monde, comme si l'idée même de se rendre à un quelconque apéritif était une idée totalement absurde, en soi. De toute évidence, le dénudement d'interêt et de motivation de son aimée pour une telle activité ne plut pas réellement à une Dominura trop enthousiaste pour abandonner la partie. Elle finissait par connaitre le fonctionnement de la scientifique, et jamais n'aurait-elle satisfaction si elle laissait les choses aller ainsi. Sans doutes, sans réactions, se retrouverait-elle à devoir aller chez Ludmila seule et penaude, si elle ne refusait pas l'invitation à son tour. Les yeux alors relevés sur le visage froncé d'exaspération et de remontrances d'une Grace plutôt réticente, Dominura laissa voir un sourire, dévoilant ses dents derrière ses lèvres maquillées et entrouvertes de cette expression charmante, appuyant ses propos S'il te plaiiiit, s'il te plaiiit !"Tu en demandes trop Dominura, tu sais à quel point je suis...""Mais je ne voulais pas proposer ce soir, sachant que nous étions seules et tranquilles <3C'est pour ça que je voudrais que tu prennes aussi ton repos demain soir"Laissant ses doigts passer dans les magnifiques cheveux roux de cette femme qu'elle aimait tant, la grande femme dût user de ses charmes, de ses paroles, justifications et adorables procédés démoniaques et calculés pour enfin extirper un sourire de Grace, ainsi que son acceptation des termes d'un contrat en faveur de l'Illustratrice. Ainsi, elle viendrait, souhaitant, au fond, connaitre cette Ludmila dont Dominura lui avait bien parlé, en Australie, avouant quelques larmes et douloureux chagrins sans pourtant entrer dans les détails, de peur que son ainée ne lui en veuilles pour bien des y a des choses que je te tais, Grace, malgré tout mon amour pour toi. Mais cela est pour ton bien, uniquement. Jamais je ne te mentirais pour te cacher des choses de la vérité, sans que cela n'aie une importance tu n'as pas besoin de savoir que Ludmila est encore dans mon coeur. Tu n'as pas... à souffrir de moi, tant je t'aime, tant je veux un bonheur que tu ne montres pourtant qu'en de rares occasions, tout comme ta plus terrible Dominura eut donc satisfaction, laissant voir sa joie en un "Merciiii" significatif, se jetant au cou de Grace et innondant ses lèvres de baisers, tendres, euphoriques et amoureux Je veux tant te présenter à Ludmila ! Oh, elle ne connais que ton nom des journaux, des conférences ou de croisades. Mais je voudrais te présenter comme ma conjointe, mon aimée, celle avec qui je vis, celle qui a un coeur, pour moi, malgré toute la dureté professionnelle que les médias donnent à ton visage, de faits pourtant si merci, merci !J'ai déjà hâte, de même que je redoute quelque peu la je vois, à ton sourire sur moi, que nous serons pourtant sereines, mettant toute ta bonne volonté au service de mon brillantsAttirance certaineCe soirTu es à moi ~Déjà le lendemain était arrivé, et l'heure du rendez-vous avec Ludmila et Nathaniel d'autant plus. Sept heures moins de quard, et Grace avait rejoint une Domiura encore en préparation dans son appartement."Bonsoir Dominura~" "Oh ! Entres !"La robe à moitié enfilée, l'Illustratrice avait pourtant prit la peine d'aller ouvrir à celle qui l'accompagnerait ce soir, laissant un doux et bref baiser passer sur ses lèvres déjà sobrement maquillées, non sans laisser glisser un instant sa main sur sa joue pâle, la gratifiant d'un sourire"Tu es magnifique Grace..."Un arrêt, sur la scientifique, qui avait fait, pour Dominura, le plus grand effort du monde passer quelques vêtements d'un ordre féminin d'excellence, se traduisant par une charmante robe sobre d'un gris-rosé sombre, sans bretelles mais d'une brassière de tissus à un bras, charmante. Un cou dévoilé, sur lequel tombaient les ondulations rousses de ces cheveux que l'Illustratrice aimait tant, et un maquillage, simple mais efficace, accentué par quelques bijoux, dont des boucles d'oreilles très classes, qu'une femme comme Grace Sidnëather n'avait pas réellement l'habitude de porter, préférant sans aucun doutes les habits pratiques et les blouses de son laboratoire à ces robes aussi jolies qu'infonctionnelles."J'ai bientôt fini ! J'en ai pour une minute !"Nouveau baiser, rapide, adorable. Euphorie et tension à la fois, la grande femme ne tarda pas à rejoindre la salle de bains, finissant son maquillage, terminant d'enfiler sa robe, tout en remettant ses bijoux en place. Parfait ? Parfait. Tout était prêt. Une touche de Galliano, un compliment de Grace qui ne manqua pas de faire rougir la grande femme, tendrement, et toutes deux étaient parties, non sans un dernier contact avant de s'en élancer vers l'appartement de Nathaniel, à l'adresse indiquée par la carte diablement kitsh que Ludmila lui avait laissé. D'ailleurs, ladite carte ne manqua pas de tirer quelques mots des deux femmes, penchées dessus à l'arrière du taxi."Mon dieu mais qu'est-ce que c'est que ça ?""Une carte de visite, apparemment... Il y a son nom, son adresse...""Ahhhaahaaaahh mais quelle horreur ! Qu'est-ce que c'est que ce bleu !""Et cette présentation ! Qu'est-ce que c'est kitsh !""Hahhaahaaa"Kitsh. Oui. C'était le mot. Mais les rires furent bientôt plus lointains, Dominura rangeant la carte dans son sac alors qu'elles arrivaient toutes deux au dit appartement. Visiblement, c'était un endroit plus que luxueux, plus que coûteux, mais les deux femmes ne s'en formalisèrent pas le moins du monde, diablement habituées à ce genre de milieux, quoique Grace en ait plus de mal que la belle française, jugeant le superficiel des Hommes excécrablement exacerbés par ce genre d'immensités. Ledit Nathaniel avait-il d'ailleurs quelque chose à compenser ? 'DClacClacClacClacEt mes talons, autant que ceux exceptionnels mais charmants de Grace, nous portent bientôt au seuil de l' l'on sonne ?Sans doutes est-ce la meilleure chose à regard, entre dernier sourire, un rire imanquable, étouffé, tension étrange de l' baiser, irraisonnable,Et un appui, sur la sonnette d'entrée, de la part de Grace, tandis que Dominura resserrait contre elle le bouquet de fleurs magnifiques qu'elle avait acheté l'après midi même et apporté à l'occasion, afin de remercier d'avance ses hôtes pour l'apéritif, soulignement d'une invitation plus que bien sommes làNous sommes prêtesD'une certaine hâte, tout de mêmeLe sourire aux lèvresEt le mien s'éclaireAlors que la porte s'ouvre sur nousNotre proximité semble évidente, même si nous ne touchons un motCommunSpontanéD'ordre égal, un enjouement respectueux et poli à souhaitNos voix s'accordant à merveille en ce qui nous rassemble en cette fin de journée Oui,Bon soir à vousBon soir à nousDélicieuse soirée en perspective Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Ven 19 Fév - 136 Brûlant d’impatience quand à l’arrivée de son ex-conjointe – faisant quelque peu abstraction de Grace malgré elle – Ludmila était quelque peu distraites aux baisers de Nathaniel, ne songeant alors qu’à une chose totalement superficiel L’état de son rouge-à-lèvre. Mhm. Sans doute lui faudrait-il passer par la salle-de-bain, lorsque la sonnette annoncerait l’arrivée des deux femmes, afin de ne pas se montrer sans son habituel rouge cerise aux lèvres. Pourtant, elle ne pouvait nier que les caresses et baisers de son conjoint étaient agréables, en profitant habituellement au maximum. Mais cette fois ? Cette fois, Dominura était sur le point d’arriver, et cela changeait tout en son attention vis-à-vis du beau ~ ♫Se relevant d’un bond, quittant littéralement les bras de son aimé sur le coup, Ludmila senti son cœur se mettre à battre à une vitesse folle, son ventre ce nouant d’un léger stress à l’idée de se retrouver soudainement entre couples, alors que ses sentiments pour Dominura étaient encore flagrants, démesurés compte tenu de l’ancienneté déjà de leur séparation. Adressant un large sourire enjoué à Nathaniel – qui ne manqua pas de rire, amusé par la réaction de la jeune Russe – Ludmila passa alors ses dents sur sa lèvre inférieure, demandant au jeune homme d’aller ouvrir pendant qu’elle passait – donc – à la salle de se pressait jusqu’à la pièce en question, attrapant rapidement son tube de rouge à lèvres afin de réparer les dégâts causés par les délicieux baisers de son amant. En effet – et sans doute cela n’avait-il pas été une très bonne idée – la jeune Russe avait choisi un rouge d’une couleur identique à l’habitude, mais qui n’était pas fait pour durer, comme celui qu’elle utilisait auparavant, et ce jusqu’à ce qu’une rupture de stock se face dans ses tiroirs. Oh, sans doute irait-elle rapidement en acheter, mais peu importait – Elle pouvait bien faire sans, quelques jours touche de parfum cerise à nouveau, et la jeune Russe se regarda dans le miroir, constatant la couleur rosée de ses joues, probablement due à l’adrénaline de cette nouvelle rencontre. Et cette joie, de revoir enfin Dominura. Mais aussi cette appréhension, à la voir en compagnie de cette femme, avec qui elle l’avait trompé il y a plus d’un an de cela. Evidemment, Ludmila n’avait aucune intention de revenir là-dessus, souhaitant rester en bon termes avec son ex-conjointe, quelques soient leurs relations passées. Ainsi passerait-elle par-dessus ce détail, tentant d’accueillir Grace comme s’il s’agissait d’une personne relativement neutre, faisant simplement le bonheur de l’illustratrice – ce qui était une chose merveilleuse, après tout.~Pendant ce temps, Nathaniel, se tenant bien droit, la démarche assurée, se dirigeait jusqu’à la porte d’entrée de son appartement, ne tardant donc pas à en ouvrir la porte. Ainsi pu-t-il faire face à ces deux charmantes femmes qui venaient se joindre à Ludmila et lui, leur adressant un sourire chaleureux, de ses dents parfaites, son parfum masculin mais envoutant - pour toute femme y étant sensible – se mêlant à ceux de ces Bonsoir Mesdames. <3Voix décalant de devant la porte, la gardant ouverte d’une main et laissant l’autre indiquer la direction de l’entrée de son appartement, comme une invitation à entrer en une très légère révérence polie, le jeune homme ajouta, tout sourire, avant de refermer la porte derrière Dominura et Grace, leur laissant le temps d’entrer néanmoins - Nathaniel ~ Ravie de vous pause, puis le jeune homme – tout aussi charmeur que sa conjointe, visiblement – laissa son regard briller, ses lèvres esquissant un léger sourire en coin assuré, tandis qu’il ajoutait, à l’adresse des deux femmes, toujours, ne négligeant ni l’une ni l’autre de ses attentions - Vous êtes charmantes, c’est un plaisir de vous recevoir chez nous ce soir ~N’en faisait-il pas trop ? Oh, non. Nathaniel était ainsi, tout simplement. Le pire était sans doute qu’il était sincère, et que – hormis Ludmila – bon nombre de personnes le pensaient hypocrites, à agir ainsi. Sans doute n’était-ce qu’une question d’éducation, au fond. Lui avait été élevé par des parents riches et striques, mais tout aussi aimants et surprotecteurs. Et le résultat était là, n’est-ce pas ? Un vrai petit prince, digne des comptes de Chez nous ?! Neil. ! … On en a déjà parlé, tu exagères !Ludmila arrivait, là, derrière le charmant blond, rayonnante d’un sourire qui valait sans doute celui de son amant. Passant furtivement sa main le long du bras de ce dernier afin d’appuyer ses paroles, fronçant légèrement les sourcils à l’idée que Nathaniel puisse encore espérer l’avoir en présentant ce logement comme étant déjà le leur, Ludmila ne pu néanmoins que poser son regard sur Dominura, dès l’instant où elle pénétra dans l’entrée de l’appartement à son Bonsoir ! <3Un furtif regard à Grace – sans méfiance et tout de même calme et accueillant, malgré les émotions qu’il lui était impossibles d’éviter vis-à-vis d’elle – puis la jeune Russe se dirigea vers son ex-conjointe, baissant très légèrement son regard en un expression que Dominura pourrait sans doute reconnaitre d’elle Tu es sublime. Comment lui dire autrement, que de ces yeux brillants, posés dans ceux de la belle brune ? Et cette alchimie, entre elles, qui ne semblait pas vouloir leur laisser de répit. Mais malgré cela, Ludmila resta sage, se contenta de passer l’une de ses mains contre le bras de son ex-conjointe et de lui offrir une simple – mais significative – bise sur la joue, avant de finalement se tourner vers Grace, plus sourire, calme quoi que sans doute quelque peu forcé, au fond. Mais cela, personne ne pouvait réellement s’en rendre compte, n’est-ce pas ? Dominura, peut-être. Mais au fond, quelle importance ? Ludmila ferait l’effort de s’intéresser à cette femme, quelle qu’en soit sa relation avec la femme qu’elle aimait toujours à en mourir. Finalement, aucun son ne pu réellement sortir d’entre ses lèvres, qui vinrent alors se pincer en un sourire entre gêne et amusement, Ludmila ne sachant trop comment réagir. Revoir cette femme ne semblait pour l’instant pas si difficile à vivre Il n’y avait plus qu’à attendre la suite, n’est-ce pas ? Et fort heureusement pour elle, la jeune Russe fût une nouvelle fois sauvée par la prévenance de son conjoint, qui l’attira alors à lui en passant ses mains sur ses hanches, la faisant doucement reculer avant de déposer un tendre baiser sur son front, puis de laisser entendre avec bonne humeur et convivialité - Entrez ~ Tout est déjà prêt au salon ! <3Ainsi le jeune homme guida-t-il ces trois femmes jusqu’aux canapés de son salon, leur offrant à chacune – ainsi qu’à lui-même – une coupe de champagne pour commencer. Les gâteaux apéritifs faits maisons étaient là, prêt à être dégustés, et Ludmila ne pouvait s’empêcher de regarder Dominura, lui adressant quelques sourires adorable, malgré le bras que Nathaniel avait passé autours de ses épaules, engageant alors la conversation sur quelques mots sensés comblés le silence, au risque que ce dernier ne vienne plomber l’ambiance - Aaah ! Cela me fait tellement plaisir, Dominura ! Ludmila m’a tellement parlé de vous, c’est toujours une joie de rencontrer les amies de ma Mila-Chou adorée ! <3<3<3Fronçant légèrement les sourcils, adressant un regard faussement réprobateur mais purement amusé – et aveugle d’amour – à son compagnon, Ludmila fit mine de le repousser légèrement, n’assumant tout de même pas totalement que Nathaniel avoue ainsi qu’elle-même lui ait tant parlé de Dominura, depuis leur savait-il, au juste ?Seulement les grandes lignes, savait que les deux femmes avaient été ensembles pendant plus d’un an,Qu’elles avaient été très proches, mais que tout avait été fini d’un jour à l’ ne lui ai pas dis, les épreuves, les ne lui ai pas dis, mes absences, mon ne lui ai pas dis ton infidélité, et ta il sait tout l’amour que j’avais pour toi,Le croyant à présent dépassé,Et remplacé, par celui que je lui ne sait pas,Qu’il se trompe. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Ven 19 Fév - 305 Quelle ne fut pas la deçeption de la grande femme, au fond -qui l'en garda bien pour elle, de toute évidence- lorsque la porte s'ouvrit non pas sur Ludmila, son ex-conjointe, mais sur celui qui vraisemblablement était son petit ami. Oh, au font, cet homme semblait des plus convenables et des meilleures éducations. Droit, sourire large et parfait, joyeux dosage de parfum et de bonne humeur, châleur humaine aussi sincère qu'étrangement hypocrite, bref, il avait tout du parfait petit prince, et, au fond, Dominura ne manqua pas d'avoir un rire à la pensée que pouvait avoir Grace à ce moment-là Mon dieu, mais où suis-je donc tombée. Bonsoir laissa donc son regard passer sur le visage de cet homme qui lui faisait face et dont elle ne croyait voir qu'un masque étrange de son parfait rôle de maitre de maison et homme à tout faire. Où Ludmila avait-elle donc déniché un pareil oiseau ? Dans un conte de fées, peut-être ? Elle comprennait mieux ses regards pleins de brillances et d'amour Sans doutes se faisait-elle une parfaite idéalisation de ce personnage parfait sous toutes les coutures. Oh, evidemment, l'Illustratrice se jura bien de partir sans à-prioris. Du côté de Grace, cela était déjà fait, cette dernière bien habituée à rencontrer absolument tous les types de genres humains dans ses études anthropologiques. Après tout, cet homme n'était sans doutes aussi tiré sur lui-même que pour l'occasion, la politesse et le respect obligeant. Mais quoiqu'il eut l'air naturel et sincère dans ses propos, les deux jeunes femmes ne purent s'empêcher de ressentir une certaine gêne face à un tel trait de caractère, se demandant à chaque seconde si elles ne manqueraient pas de tomber dans un de ces romans à l'eau de rose servis sur un plateau recouvert de pétales, agrémenté d'une liqueur tendre à la violette. Pourtant, aucun trouble ne se montra, ni en Grace, ni en Dominura. Au contraire, les deux jeunes femmes, apprêtées au grand monde et aux coutumes non-oubliées d'une certaine élégance receuillie de nombreuses associations à ce millieu, répondirent chacune posément, agrémentant leurs paroles d'un sourire, entrant bien entendu à l'inviation du jeune homme."Quelle joie, Nathaniel ! Je suis Dominura.""Grace, enchantée."Clac, porte refermée, les deux jeunes femmes s'étaient engouffrées dans la fosse aux lions, ou plutôt une fosse plus que moderne, plus que chic, plus que luxueuse, plus que grande, plus qu'inadéquate à la châleur cosy d'un bon rassemblement naturel. Dominura, evidemment, ne manqua pas, en politesse respectée, de jeter un oeil autour d'elle et de complimenter le lieu où elles se trouvaient alors, non sans sentir Grace quelque peu se détourner de ce genre de convenances, toutefois également correcte sous toutes les coutures, dans l'allure tout comme dans les gestes et Gracie, laisses-nous donc une chance de connaitre ce lieu, cet homme, celle qui a été pour moi mon premier véritable donc encore un instant, alors que je crains pourtant, tout autant que toi, que l'ambiance ne puis être détendue dans de telles conditions. Répondant posément aux compliments de Nathaniel, le couple féminin finit par se laisser guider dans le hall d'entrée, non sans que Dominura ne note un certain mot qui lui fit quelque gêne au fond du coeur Chez... nous ? Oh, Ludmila. Que racontes t-il donc ? Vous n'êtes ensemble que depuis si peu de temps... Huit mois ? Et nous, qui ne nous étions décidées que... Chut. Non. Je ne dois pas rapporter cela à ce que nous avons vécu. Cela est ridicule, n'est-ce pas ? Si cela est ton bonheur, ton chemin...Mais l'apparition soudaine de Ludmila fit taire toutes ces élucubrations, Dominura revenant à une autre forme de réalité, clignant des yeux un instant avant de se rendre compte que son ex-conjointe venait de les rejoindre. Tu cela ne semble pourtant pas te déranger, petite fleur, alors que tu arrives avec ce grand sourire qui équivaudrait presque à celui de ton homme de cire ou de plastique. Un pas, vers Grace, et ma main se lie dans la sienne, tandis que je ressens soudainement en moi une châleur qui me rassure, qui me calme Son assurance, sa douce et polie neutralité positive me pousse à croire en nous, en la possiblité de faire de cette soirée quelque chose de bien. Mais mes yeux se posent sur cette femme qui eut été un jour ma conjointe, et mon sourire se fait en guise de réponse, un bonsoir silencieux alors que j'entends celui plus audible de ma compagne"Bonsoir~"Clair, Grace, merci. Merci, de tant me redonner confiance et courage, alors que je redoute tout de même, au fond de moi, les regards de Ludmila sur toi. Brefs, mais acceuillants, je ne pourrai lui en demander plus, mais je ne sais si je dois m'en satisfaire. Oh, il n'y a rien de négatif, n'est-ce pas ? Elle ne fais simplement... Pas attention à toi tout autant que de mon côté je ferai attention à toi, pour le nombre de personnes en ce monde. Je prendrai soin de toi, ce soir, et ne permettrai pas que tu te sentes mal à l'aise, toi qui, de ta main contre la mienne, me redonne toute ma force, tout mon optimisme et ma douce euphorieDominura, toujours en compagnie de Grace et de ses hôtes dans ce hall d'entrée, ne put que laisser son regard suivre tous les mouvements de Ludmila, qui s'approchait ainsi d'elle, baissant cependant son regard en une expression qu'elle devina bien. Serais-tu en train de me complimenter, silencieusement, comme bien des fois lorsque nous étions ensemble ? Oh, petit chat ! Par pitié, ne joues pas de ces regards, alors que je sens cette main se détacher de la mienne lorsque tu m'approches pour me baiser la joue. Amicale tendresse rendue, je souris à nouveau, tente de retrouver une parfaite sereinité, jetant un regard à Nathaniel, toujours c'est toi, l'homme qu'elle aime ? Soit. Soit, s'il le faut. Et je te souris, à toi aussi, plus chaleureuse, maintenant que je sais. Oh, vous êtes adorables, tous les deux. Adorables, mais non sans trop en jouer, comme ces espèces de couples Américains modèles des années du côté de Grace et Ludmila, un simple échange se fit, échange de regards, de sourires vagues et quelque peu forcés, échange de dis vouloir faire des efforts vis à vis d'elle, petite qu'en est-il, au fond ?Que penses-tu d'elle, alors que tu la vois, là, sublime à mes yeux, quoi que tu en dises ? J'aimerais savoir. J'aimerais savoir, si tu la considères à présent comme une personne de valeur. Peut-être pas ? Je ne dois pas ne dois pas te pourtant, quelque chose en moi m'arrête, tandis que le doute une personne qui ne montrera rien de ses malaises, devant vous, devant aurons nous à parler de cette soirée, ensuite ?Mais jamais Grace ne laissera entendre qu'elle aura été mal reçue, ou aura senti qu'elle eut été la malvenue dans cette demeure, quoiqu'invitée, peut-être contre un certain gré d' à l'aube où celle-ci, remarquant que Ludmila était en réalité la personne même à laquelle elle avait pu, des mois et des mois auparavant, demander du feu pour allumer une cigarette à sa conférence -Sans doutes essentiellement dans le fait où elle eut accompagné Dominura, au fond- se décidait de placer une ou deux paroles, son esprit dût bien vite retourner à la réalité Déjà, l'homme de la maison ramenait l'hôtesse vers lui, la prennant par les hanches et ne manquant pas un tendre baiser qui laissa la grande femme absolument sans voix Voilà qu'il nous met mal à l'aise, puis pavane ses attentions mielleuses devant nous avant même de nous mettre à l'aise ?Finalement, ses bonnes manières, quoiqu'il eut été d'apparence parfaite pour qui que ce soit, étaient peut-être un tantinet à revoir~ Le monde des princes et leur petite bulle avait quelque peu du mal, parfois, à communiquer avec le monde coupée dans ses pensées, la scientifique ne fit que laisser son regard s'échapper vers Dominura, toujours parée de son bouquet de fleurs, gardant le silence mais n'en pensant pas !Tout est prêt au salon !Bien, bien, bien. Très bien, tout invitation semblant leur délier les jambes, le quatuor finit ainsi par atteindre l'immense pièce où étaient disposés l'apéritif tout comme les grands et confortables canapés. Ainsi, tout le monde fut rapidement assis, et une coupe de champagne servie. Dominura, soucieuse du bien-être de sa conjointe, lui jeta un regard doux et interrogateur, ce à quoi Grace se contenta de sourire, posément, avant de croiser élégamment les jambes et porter son attention sur le couple d'hôtes La scientifique allait pour le mieux, et venait de le signifier. Aucun problèmes, beaucoup d'efforts. Efforts qui, evidemment, ne manquèrent pas de plaire à l'Illustratrice, qui savait pertinemment que si cela n'avait pas été pour elle, jamais la dame Sidnëather n'aurait porté de pareilles robes étriquées et participé à un apéritif surtendu dans lequel l'on servait le champagne tout comme l'on souriait par convenances. Pour elle, sans doutes tout cela sonnait-il terriblement faux, comme une énorme plaisanterie Ludmila n'avait jamais eu le désir de la rencontrer, tout comme Nathaniel. Sans doutes aurait-elle bien pu se passer de venir, quitte à essayer de passer Dominura sous silence dans son esprit pour cette soirée là, daignant lui autoriser de s'y rendre seule, quoiqu'en craignant tout de même secrêtement quelques les regards de Ludmila ne manquèrent pas de faire sourire à son tour la grande femme, tout autant que la troubler davantage. Y répondant sans soucis, son regard avait pourtant un étrange mal à voir le bras masculin de Nathaniel autour de l'épaule de celle qui avait été sa conjointe. Oh, de son côté, Grace et elle-même n'osaient pas réellement afficher leur liaison autour de cette table, jugeant cela comme irrespectueux vis à vis des hôtes qui ne se gênaient pourtant pas. Mon coeur se serre, mon ventre se retourne, mais je souris tout de même, et écoute ses propos, attentive et un plaisir !Oh, comme c'est gentil, j'en souris davantage, soulignant vos parlé de moi ? Oh, je n'y crois pas tellement, au fond. Votre sourire, jeune homme, ne fait-il pas en sorte que vos paroles semblent d'ores et déjà toutes faites, toutes préparées pour l'occasion ? Vous ne savez pas. Vous ne savez rien, de ce qui nous as déchirées, troublées, est impossibleQu'elle vous ait "tellement" parlé de moi. Mais je joue le jeu, et me penchant légèrement en avant, réponds, sous le regard de Grace qui ne semble pas réellement prendre en compte le ton sur lequel je laisse entendre ces mots"La joie est partagée, Nathaniel, je suis ravie de voir dans quel environnement Ludmila a pu évoluer en votre compagnie ces derniers mois"Sourire, evidemment, alors qu'en moi je songe Mais quelle horreur. Quel endroit complètement anesthésié de la vraie vie du monde. Qu'est-ce que cela, qui scintille et qui brille ? Qui ruisselle le luxe et l'argent ? Le sourire de l'hypocrisie posté sur les faciès de tous les objets de cet appartement surdimensionné ? Et puis ce nom. Ce nom, qu'il te donne, Ludmila !! Je n'ose pas regarder Grace, mais devine, non sans en rire interieurement, sa réaction devant tant de... niaiserie Ludmila, dans quel sourire tu viens de tomber là ? Aveuglée d'amour. Tu n'as jamais pendu à mes mots comme tu le fais aux siens. Est-ce son air charmeur ? Ses atouts masculins, ou cette façon de se mettre en avant comme le parfait homme, le Ken que n'importe quelle petite fille aurait toujours voulu avoir pour ressembler à n'importe laquelle de leurs idôles aux seins comme des obus, qu'elles fassent les courses, se la jouent vétérinaire sans diplômes, ou promènent le chien au parc ? Je ne sais pas si je te retrouves, là, ou bien demeure face à une image de sourire est pourtant le tienAlors pourquoi me semble t-il si faux, si lointain ?Je voix bel et bien une châleur en vousMais cette châleur est factice,Alors qu'elle me fait peine, tout autant que peur Es-tu seulement consciente de ce que tu es en train de vivre ?Finalement, la grande femme sourit davantage, se penchant vers Ludmila en lui tendant le gros bouquet qu'elle et Grace avaient prit la peine d'emporter en guise de remerciement. Châleur de voix, insistance du regard, elle laissa alors entendre, charmante"Oh, nous vous avons apporté un petit quelque chose"Quinte de toux discrète et étouffée de la part de Grace, dont les yeux brillaient derrière les lunettes passées à l'occasion, tandis qu'elle laissait ses yeux sombres posés positivement sur les deux conjoints. Quinte de toux, que Dominura put entendre comme un signe, comprennant, fusionnelle, exactement ce que la scientifique aura voulu souligner de ce maigre son Nous vous avons apporté quelque chose... afin de terminer le stereotype de votre couple, permettant d'agrémenter votre belle maison de jolies fleurs afin de gratifier vos fiancailles ?Oh, la critique n'est pas mienne. Je me navre simplement de tant de niaiserie, à en couper le les verres de champagne furent pris, levés, et portés aux lèvres, alors que Dominura avait prit l'aise de se rapprocher de Grace, lui reprennant la main, quelque peu nerveuse, afin de se rassurer et trouver à nouveau son calme à Ludmila Tu es magnifique, petit et votre esthetique s'allie à merveille. Mais es-tu réellement heureuse, ou tout cela n'est-il qu'artefact ?La caresse du pouce de Grace sur ma main m'apaiseAlors que je la regarde un instant Dieu comme je l' redressant pourtant, croisant les jambes à son tour, Dominura s'installa un peu plus confortablement, sans perdre ni de sa politesse ni de son élégance, dans le canapé, attrappant à nouveau sa coupe de champagne. Retrouvant son sourire, elle demanda alors, haussant les sourcils pour redonner un peu de rythme et de vivacité à tout cela"Je suppose que vous avez le loisir de vous voir souvent, comme il se doit ? Vous avez des projets d'avenir, proche ou lointain ?"Nous, nous en en avons, et je sens cette excitation certaine, à ce sujet, de Grace, ses doigts se faisant d'un raide euphorique à son entrelacement de la nous avons des projets, celui de repartir, de vivre encore, à vous ? Je le devine presque à votre sourire, brave NathanielTellement adorableAvec la plus adorable des femmes, des enfantsLe conte de fées est pour toi commencéAlors que tu crois que je vis le pire des cauchemards, avec cette femme qui met ma vie en dangerMais alors que je te regardeMe délecte de toi, de mes yeux sombres, attirante et indéniablement toujours attiréeJe me rends compteBel et bien compteQue celle qui vit le plus, de nous deux,Peut-être est-ce conte n'est plus de mêmeLes petites filles n'auraient pas rêvé le mienMais les cartes ont été mises en jeu depuis longtempsJ'ai choisi ma reineFait tomber la tourEt aux cavaliers j'en crirai la folieLe roi doit mourir ce soirLes pièces sont entre toutes les mains.♣ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Ven 19 Fév - 1650 Ses yeux passant sur son conjoint, brillant d’une lueur tout aussi amoureuse qu’exagérée, Ludmila pinça très légèrement ses lèvres au mot de ce dernier – donc – sentant tout à coup une certaine nervosité la parcourir. Nathaniel laissait donc entendre que Ludmila lui avait beaucoup parlé de la belle française ? Oh, c’était le cas – Mais sans doute ne serait-il pas si ravie de la rencontrer, s’il savait tout de ses sentiments pour elle, de ce qu’il avait pu se passer entre elle, il y a de longs mois de cela. Sans doute ne serait-il pas si confiant, n’est-ce pas ? Peut-être même pourrait-il en être jaloux, tant la jeune Russe restait encore bel et bien folle de cette que différenciait donc son amour pour Dominura, de celui de Nathaniel ? Sans doute était-il plus pure, plus sincère. Sans doute était-il plus profond, tandis que cet amour exagéré pouvait n’être qu’un leurre, une manière de se persuader que tout allait bien dans sa vie, et qu’elle n’était pas seule. Etrangement, cette idée suffisait à rassurer Ludmila. Elle qui pourtant n’avait – avant Dominura – jamais voulu se lier à quiconque, s’était retrouvée incapable de survire seule face à tout ce qu’elle traversait alors. Nathaniel avait été le premier à parvenir à la faire sourire, et à réellement prendre soin d’elle, s’y intéresser – et ce, pas seulement pour son corps. Il n’avait fallu que ces attentions sincères, et la jolie blonde s’était retrouvée ici, dans cet appartement luxueux qui ne lui ressemblait pas, au penses-tu, Dominura, tandis que tu lui réponds si poliment ? Que penses-tu réellement de tout cela ? Je sais, que tu n’aimais guère me voir me mettre à porter des vêtements trop chers pour être corrects, jouir de soirées trop bourgeoises que j’ai toujours prétendu ne pas réellement apprécier, avec toi. Est-ce que j’aime tout cela ? Pas vraiment. Mais ces richesses me permettent d’oublier celle que j’étais, de ne plus y penser. Ne plus songer à ma vie, avec toi. A la simplicité de notre amour, pourtant si intense. Tu sais, je ne serai pas là, si je ne t’avais pas aimé. Je serai probablement encore à Londres, dans ce cabinet à l’hôpital, à coucher chaque soir en des bras différents – et m’en contentant sans honte ni regrets. Son regard sombre se posant à nouveau sur Dominura, la jolie blonde sentie une légère vague de chaleur la traverser alors, faisant se dessiner un adorable sourire tendre sur ses lèvres peintes de rouge. Mais tout cela s’effaça bientôt, la jeune Russe se figeant quelque peu face au bouquet que lui tendait Dominura avec chaleur, son regard passant un instant sur Grace – relativement neutre – qui s’était alors mise à tousser quelque peu. Finalement, ne s’en souciant pas plus que cela, accordant néanmoins un très fin sourire hésitant à la scientifique, Ludmila prit le bouquet dans sa main, remerciant son ex-conjointe de quelques mots, gênés Tu n’aurais pas dû, Trésor. Oh, j’avoue que cela est très gentil de votre part mais … Ca n’est pas moi, n’est-ce pas ? Et je crains ton jugement, tandis que je sens déjà en tes regards et en ta façon d’être, que l’ambiance n’est pas si détendue que je l’aurai souhaité pour nous tous. Ainsi, repoussant doucement le bras de son conjoint afin de se lever, Ludmila – en bonne femme au foyer, à son plus grand malheur – se leva afin d’aller placer le bouquer dans un vase, qu’elle laissa sur le rebord de la cheminée – éteinte, étant donnée la saison, la jeune femme revint à sa place, non sans pâlir légèrement à la vue du lien nouveau entre Grace et Dominura. Ralentissant légèrement sur le coup, son regard se figeant alors sur les mains liées de ces deux femmes, Ludmila hésita un instant à faire demi-tour, ne s’étant pas réellement rendu compte jusqu’à présent de l’effet que ce genre de chose pourrait lui m’assoie, et Nathaniel vient caler son bras derrière mon dos, autours de ma taille. Je le regarde un instant, mais mes pensés ne vont pas du tout vers lui. Je le regarde, sans qu’il ne puisse comprendre pourquoi mon sourire n’est plus, à présent. Puis mes yeux s’échappent et viennent se poser à nouveau sur toi – mon Amour … - qui nous pose alors ces questions, auxquelles je n’ose pas songer, au fond. Pouvons-nous nous voir souvent ? Pas vraiment plus que nous le pouvions, tu sais. Mais Nathaniel ne semble pas se plaindre de mes absences, de mes retards, étant lui-même bien occupé à son travail. Je sais, que tout n’est pas si parfait que cela semblait l’être – Mais je me sens heureuse, n’est-ce pas le principal ? Vous avez des projets d'avenir, proche ou lointain ? »Son regard se perdant une seconde sur les jambes croisées de Dominura – non sans ressentir toujours pour elle une attirance démesurée – Ludmila en vint à croiser les siennes, ses mains venant se lier entre elles sur ses genoux, tandis qu’elle répondait, instantanément avec son conjoint, mais tout deux étant visiblement en totale contradiction sur le sujet - Pas vraiment Oui, bien sûr !Se retournant vivement l’un vers l’autre, sourcils haussés d’une surprise qui finalement n’en était pas une, Ludmila laissa échapper un léger rire amusé face à la moue de son aimé, sachant bien qu’ils n’étaient guère en accord que ce sujet pour l’instant. Evidemment, Nathaniel lui aussi était bien au courant des réticences de Ludmila quand à l’engagement, mais ne pouvait s’empêcher de se faire ses propres plans, espérant toujours que sa belle finirait par changer d’avis, venir vivre avec lui, et lui faire des se redressant quelque peu, se tournant à nouveau vers Dominura et Grace, laissa alors entendre, entre exaspération et amusement amoureux, toujours dans son monde, sans réellement s’en rendre compte - … Oui, bon … Mais pas maintenant. ~Visiblement, ce sujet était quelque peu délicat, et Ludmila n’avait guère envie de s’y attarder. D’autant plus que les mains liées de Dominura et sa présente conjointe attiraient à nouveau son regard, tandis qu’elle portait sa coupe de champagne à ses lèvres, en buvant quelques gorgées inconsciemment afin de se donner du courage. Du courage, pour ne pas se mettre à regretter plus encore cette femme qu’elle avait en face d’elle. Du courage, pour ne pas souffrir de la voir avec cette autre femme, tandis qu’elle-même se refusait à se stabiliser concrètement avec cet homme, malgré son attachement pour dire, tandis que le beau Nathaniel restait quelque peu anesthésié par le nouveau refus de Ludmila de leur prévoir un quelconque avenir vis-à-vis d’autrui ? Mhm. Au fond, la jeune femme pouvait songer à tout cela, mais n’avait aucune envie d’en parler à Dominura, qu’elle pensait incapable de comprendre tout cela, étant donné la femme qu’elle avait été en sa compagnie. Ainsi la jolie blonde finit-elle par se tourner vers Grace, décidant de changer de sujet tout en faisant les efforts promis à la belle française concernant sa nouvelle aimée, lui tendant alors un plateau de gâteaux apéritifs en une attention relativement sincère, un sourire calme aux lèvres - Et qu’est-ce que vous mangez, en Australie ?Question qui lui était venue par hasard, tandis qu’elle s’y intéressait réellement, mais cherchait tout de même désespérément à engager la conversation de manière à ne mettre personne ici mal à l’aise. Le plateau fut ensuite présenté à Dominura, avant de passer par Nathaniel et d’être reposé sur la table, Ludmila ne se sentant pas capable d’avaler quoi que ce soit pour l’instant. Et mes yeux regardent ton aimée, non sans en chercher les traits qui ont pu te plaire. Est-ce sa maturité, qui fait notre plus grande différence ? Grace a l’air sage. Elle te rassure et te comble, n’est-ce pas ? Je pourrai l’apprécier, ne serait-ce que pour cela, tu sais. Mais mon cœur crève encore d’une jalousie incontrôlable, et si je suis capable d’être agréable avec elle, je suis intérieurement déchirée, à te savoir amoureuse d’ pas trop vieille, Dominura ?! Oh, je pourrai m’en montrer odieuse à nouveau, tant je voudrai que tu sois encore mienne. Mais cela ne sera pas le cas, évidemment. Ludmila devait garder une certaine distance, et songer à elle, à Nathaniel. Je te regarde à nouveau, Mais peux-tu voir, le doute ?Cette situation est étrange, n’est-ce pas ?Et mon regard complice te le fait comprendre, Tandis que mes lèvres s’étendent en un léger sourire en idée était-ce, que de nous retrouver tous les quatre !Peut-être aurions-nous dû faire ça autrement, ailleurs ?Je ne sais pas même de quoi nous pourrions discuter, si ce n’est de vous, de l’Australie. Je ne veux pas parler de moi. Je voudrai seulement que tu ne me juges pas. Que tu ne juges pas mon homme, et ces apparences qu’il présent, possiblement superficielles à tes yeux. Pourtant, il n’est pas si faux. Il est seulement ainsi, adorable, parfait. Et je fais au mieux pour être à la hauteur, quoi que mon caractère lui échappe parfois – Nous ne veux pas de maison au bord de l’ ne veux pas d’enfants, blonds et aussi parfaits que leur ne veux pas de chien, ni de chalet à la voudrai seulement pouvoir le préserver,Et avancer encore de son amour, de ses voudrai avancer, et ne plus t’aimer. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mar 23 Fév - 2040 Oh, Dominura n'avait pas la prétention de pouvoir juger les choix de son ex-conjointe, même en de telles conditions. Non, son mode de vie complètement nouveau, exigeant d'elle une parfaite maitrise de son corps comme de son esprit la poussait à chercher le bien en toute chose, ici donc d'éviter de se dire que tout cela paraissait entièrement superficiel et n'aurait sans doutes aucun réel débouché positif sur Ludmila. Comment cette dernière avait-elle pu se laisser avoir par un homme pareil ? Peut-être pour les richesses, le luxe et une attention polie et surjouée, quoi qu'elle en dise. Et à cela, si Dominura pouvait bien s'en commenter les moindres faits, elle n'avait strictement rien à en dire, et Grace respectait également cet état d'esprit, ne laissant rien entendre non plus de ses pensées de son peu importait Ludmila paraissait un tant soit peu heureuse devant elles, c'était qu'il ne devait pas y avoir de réel problème. Et s'il n'y avait aucun problème, alors Dominura estimmait fort bien qu'elle n'aurait pas à s'en faire pour son ex-conjointe. Après tout, sans doutes cette dernière savait-elle parfaitement ce qu'elle faisait en compagnie de Nathaniel, et sa parole, tout comme ses sentimentsn n'avaient pas à être remis en question par qui que ce soit d'autre qu'elle toujours la magnifique Ludmila tout en tenant sa coupe de champagne dans la main, Dominura se fit un instant la remarque nouvelle de son sourire. Elle, qui lui avait demandé de recommencer à sourire comme avant, ne pouvait qu'en être pleinement satisfaite. La charmante blonde était des plus jolies, là, avec son rouge à lèvres, celles-ci étirées dans une expression de bonheur serein et euphorique, tout aussi tendu qu'adorable cependant. Non sans une certaine boule au ventre, un serrement uniquement justifiable par une quelconque jalousie demeurant encore, la grande femme ne quitta pas son ancienne aimée des yeux, lui souriant à son tour tout en attendant une réponse à sa des projets communs ?Eux, qui disaient déjà, sous les paroles de Nathaniel lui-même, qu'ils partageaient cet appartement comme un chez-eux évident ?Oh, à la réponse du jeune homme, les pensées du couple étaient sans aucun doutes rivées sur un fondement parfait de l'American Way of Life, tout comme le pensait bien Domi et s'en étouffait Grace, interieurement, terriblement amusée par la façon dont étaient dites les choses, avec tant de bien sûr !Mais ces mots furent vite contredits par la voix de Ludmila elle-même, les laissant sonner en une terriblement négativité sur le sujet. Pas vraiment non, que voulait dire ce manège ? A cette contrentente, aussi exaspérante qu'amusante pour les deux tourteraux qui faisaient face aux deux jeunes femmes, Dominura haussa les sourcils, les yeux interrogatifs, alors que Grace se retenait un étouffement de rire, ses pomettes frémissant seulement un instant, ses yeux brillants scruttant toujours ses hôtes. De toute evidence, la situation ne pouvait qu'être que comique, en ces instants. Voir Ludmila, tout comme son amant Nathaniel, se tourner si vivement l'un vers l'autre, échangeant une moue comme un rire amusé, ne pouvait qu'être adorable, alors que deux paires d'yeux, aussi sceptiques qu'amusés, demeuraient rivés vers chose n'échappa cependant pas à la grande femme. Son ex-conjointe semblait un tantinet plus nerveuse depuis cette question. Et ce, d'autant plus lorsque ses paroles nouvelles furent soulignés par une coupe de champagne tirée d'une Ludmila, cette fin de coupe si rapide, si élancée ?Et ces mots ?Ne veux-tu pas parler de tes projets ?Pourquoi donc ?Est-ce seulement parce que tu n'as pas envie de partager cela avec moi ?Ou bien... Parce que tu préfèrerais me dispenser des détails de ta vie sentimentale ? Comme l'autre fois, au Starbucks, alors que nous devions nous raconter nos vies quotidiennes ?Ohhh, ne suis-je pas digne de confiance ? Ou bien...Pas petit chat. Pas ce refus ne peux que nous tendre davantage, dans cette soirée si étrange, alors que je reprends, une fois de plus, la main de Grace dans la mienne, me rassurant au passage. Vous n'avez donc pas de projets à nous tendre. Ni même un retour à cette question ? Le fait est certainement que nos nouvelles ne vous interessent pas plus que cela. Au fond, peu importe sans doutes, je n'aimerais pas t'imposer les récits de ma vie en compagnie de mon nouvel amour. Crois-tu réellement que je ne suis allée vers Grace que pour te remplacer ?TicTacTicTacLe sourire de ma conjointe ne disparait pas, alors que son air demeure attentif et interrogatif, parfaitement en adéquation avec le lieu où nous sommes et l'environnement dans lequel tu nous as fourrées, peut-être dans une certaine inconscience de tes actes. Merci, Grace, de ton soutien, même s'il ne parait pas direct en tant que tel. Mais sous ton modèle, je garde mon sourire malgré ma présente frustration, et remplonge une fois de plus mes lèvres dans mon champagne, tout en gardant mes yeux dans ceux de cette si charmante blonde qui fut un jour à moi et moi était aussi cocasse qu'oppressant, alors que les paroles semblaient ne pouvoir l'attention quelque peu superficielle et souriante de Grace fut bieentôt remise en question par une nouvelle action de la part de Ludmila, parfaite sous toutes les coutures, qui paraissait finalement lui accorder un peu de ses regards et de son temps, en tant qu'hôte sans repproches, la tirant de ses pensées -qui n'avaient pas manqué de redériver vers des données scientifiques de son laboratoire si lointain- en lui tendant le plateau de gâteaux apéritifs. Ainsi de retour au monde aussi réel qu'iréel en apparence, elle eut un nouveau sourire attentif, lui précisant qu'elle écouterait tant et bien la question qu'elle avait alors l'intention de lui qui ne tarda effectivement pas à venir sur ses lèvres rouges, Ludmila laissant bientôt entendre son ton mangeait-elle, en australie ?Haussant les sourcils, légèrement, comme signe de reflexion mais aussi en guise de début de réponse calme, la grande femme ne manqua pas de tendre la main vers les gâteaux apéritif, prennant la peine d'en porter un à sa bouche avant de répondre, très calmement, mais d'une voix positive et passionnée, adorable "Eh bien... dans un environnement aussi naturel et typique que nous cotoyions, il nous faut nous adapter et manger un peu de tout ce que nous pouvions... En vérité, cela dépendait des jours"Un regard à Dominura, haussement de sourcils et sourire, auquel l'Illustratrice répondit par un léger rire, et elle continua, reportant son regard sur Ludmila et son conjoint, tout en gardant la main de la dessinatrice dans la sienne "Des baies, des fruits, lorsque nous étions dans la jungle, ou plus fréquemment, les animaux croisés dans le désert... Dont le préféré de Dominura...""Ahhhaaahhh du serpent !!"Se penchant en avant, son verre de champagne à la main, la grande femme ajoutait, adorable"Oui, j'ai dû manger du serpent, et tout un tas de créatures comme ça ! Au début, je croyais que je ne m'en remettrais jamais, tout comme je ne pourrais jamais m'y faire !"Un léger rire, alors que Grace ajoutait, d'un ton amusé, visant sans doutes, dans sa bonne humeur, à détendre l'ambiance en des caractères parfaitement naturels"Vous auriez vu sa tête lorsque les autochtones ont essayé de la convaincre de goûter !"Rires, à nouveau, tandis que la belle rousse passait ses lèvres maquillées dans sa coupe, en buvant une gorgée sous les yeux brillants de Dominura, indéniablement amoureuse, avant que ses pupilles sombres ne passent sur Ludmila, dont elle ne pouvait -quoi qu'elle essayât bien d'en dire le contraire- se passer de la vue, si charmante et attirante. Mais alors que l'athmosphère devenait un tant soit peu plus bonenfant, les deux jeunes femmes se détendant absolument, même dans un environnement pareil, aussi anesthésié qu'impersonnel, un énorme animal fondit vers la petite communauté, ne manquant pas d'en tirer quelques surprises, Dominura ouvrant de grands yeux tout en mettant sa coupe en sécurité, jurant de son naturel"Oh seigneur !!" Et Grace..."HYAAAAAHHhH !!"Sursautant violemment, remontant les jambes contre elle, contre le canapé, son teint ayant viré au blanc surpâle, à la vue de l'énorme labrador de la maison, qui n'avait pas manqué de fondre sur elles, d'euphorie et de vivacité, jappant avec énergie, ne manquant pas au passage de faire tomber le verre de champagne de Nathaniel au sol, celui-ci se brisant en mille morceaux, en un fracas surprennant, sous les yeux des hôtesSurprise, énergie,Peur certaine, alors que le chien demeurait,Dominura se rapprochant d'une Grace hors d'elle, complètement effrayée,Un évènement cocasse pour cette femme si forteQui avait bravé maints dangersPlantes venimeuses, insectes, araignées et animaux mortelsAdorable tournure de naturalité Pour cette femme vraieOh, cette femme que j'aime,Alors que la situation plus que cocasse s'interpose dans notre soirée si calme !MouvementNotre mouvementAlors que nous vivonsEncoreSans nous retournerOui,Vivons encore !La suprise n'est que le reflet de nos existencesVouées aux rebondissementsTout comme aux retrouvailles. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mar 23 Fév - 2044 En vérité, Ludmila ne se préoccupait guère de ce que Dominura et Grace pouvaient bien manger en Australie. Du moins, pas en ces circonstances, tandis qu’elle peinait à garder son calme, cet air posé qu’elle parvenait habituellement à préserver en toute situation. Il semblait pourtant que cette fois-ci, la jeune Russe restait troublée et étrangement tendue, et ce de plus en plus au fur et à mesure que les minutes s’écoulaient. S’était-elle rendu compte de la situation dans laquelle elle s’était mise, en proposant cette soirée à Dominura ? Absolument pas. Sans doute s’était-elle simplement laissé emporter par son euphorie, à revoir ainsi la belle française, par hasard. Et à présent, elle se rendait compte de ce que tout cela représentait pour voir avec cette femme me fait mal, quoi que j’en vos mains liées, votre complicité, tandis que je n’assume pas totalement mon propre couple, encore bien trop attachée à toi pour que tout cela puisse sonner juste. Oh, je tiens à Nathaniel. Je l’aime, oui. Mais pas autant que toi, n’est-ce pas ? Et pas autant que toi, tu aimes Grace. C’est étrange. Comme si mon couple avait moins d’importance que le tiens. Comme s’il ne valait rien, comparé à tout ce que vous pouvez vivre, toutes les Ludmilla restait attentive à Grace, lui adressant un léger sourire de façade, tandis que cette dernière répondait adorablement à sa question. Et ce regard, à Dominura, qui ne manqua pas de la faire rire. La jolie blonde le remarqua, et ne pu s’empêcher d’en avoir un pincement au cœur, malgré elle. Ce pincement, qui ne pu que s’intensifier – en plus de la surprise – lorsque la grande femme prit la ? Haussant légèrement les sourcils, non sans grimacer quelque peu à l’idée de manger ce genre d’animal, Ludmila se laissa néanmoins aller à un léger rire face à l’enthousiasme de son ex-conjointe, bien que trouvant tout cela bien peu attirant. Manger du serpent ? Oh, sans doute ne pourrait-elle jamais goûter ce genre d’aliment, à New York. Mais cela ne la dérangeait absolument pas, visiblement. Tout comme Nathaniel, qui semblait alors rester perplexe, voir dégoûté par ce que venait de dire la jeune française face à Ludmilla parvint à se détendre quelque peu, son regard brillant – d’un amour non dissimulé mais pouvant passer pour de l’amitié complice – en direction de Dominura, dont Grace parlait à présent non sans en rire, de la réaction quand à cette même idée. Ainsi, la belle française s’était montrée réticente ? Evidemment. Qui ne l’aurait pas été, dans sa situation ? Et Ludmilla la comprenait, ne sachant guère elle-même combien de temps il lui aurait fallu avant d’accepter de manger ce genre de chose. Elle qui mangeait déjà si peu de viande commune, trouvait tout aussi étrange de vouloir manger du serpent que du rat, ou encore du pigeon ! Du chat ? Cela s’en rapprochait, en effet. Boarf ~Ne la regarde pas comme la regarde pas, comme tu me son ventre se nouer tandis que Dominura passait son regard de Grace à elle-même, ayant très certainement remarqué la lueur amoureuse qui y était passée, la jolie blonde ne pu s’empêcher de détourner son regard, se blottissant quelque peu contre Nathaniel avant de se redresser d’un bond, l’énorme labrador de se dernier ayant réussi à ouvrir la porte du bureau et se précipitant à présent vers leurs deux superbes s’enchaîna alors très rapidement, Ludmilla voyant tout d’abord la coupe tomber à terre, avant que Dominura ne jure et que Grace se mette à crier – de peur ? Se levant sur le coup, Ludmilla se dirigea alors vers le chien en question, l’attrapant au collier avant de l’attirer – non sans une certaine colère – jusqu’au bureau où il était sensé se trouver encore. ClacClacNathaniel regardait Dominura, probablement aussi pâle que Grace à ce moment avant que Ludmilla ne soit parvenue à tirer de plus d’un mètre son chien surexcité, jappant toujours d’une euphorie incompréhensible, le jeune homme laissant entendre, cette fois-ci bien moins chaleureuse que précédemment - Pourriez-vous s’il vous plait madame éviter de blasphémer dans cet appartement !Oh, cela n’était pas une question, mais plutôt un ordre, tandis que le charmant homme sentait le rouge lui monter légèrement aux joues, l’une de ses mains venant se refermer sur la petite croix en or autours de son cou, tandis que l’autre faisait précipitamment mais avec perfection un signe de croix, sans doute pour excuser cette femme qui avait oser injurier Dieu dans sa propre figeant net à ces mots, Ludmilla – tout en retenant le chien pour qu’il ne s’approche surtout pas de Grace – se tourna finalement vers Nathaniel, ses lèvres s’entrouvrant d’une certaine peux-tu oser laisser entendre cela ainsi, pour un simple mot de travers ?! Fronçant légèrement les sourcils sur le coup, nan sans être terriblement mal à l’aise, Ludmilla prit alors la défense de Dominura à sa manière, laissant entendre à son compagnon en une certaine fermeté, quoi que sans colère - Bobby était sensé rester au bureau Nath. ! Je t’avais dis de bien l’enfermer !Laissant échapper un léger soupir d’exaspération, n’aimant pas plus les chiens que lorsqu’elle était encore avec Dominura, la jeune Russe tira alors sur le collier de l’animal – couinant quelque peu, visiblement peu ravi de devoir déjà quitter l’assemblé – l’attirant rapidement jusqu’au bureau en question, avant d’en refermer la porte – à clé, cette fois-ci. ClacClacClacLa jolie blonde se baissa, n’osant absolument plus regarder Dominura et Grace en face, ramassant – non sans risque de se couper – les morceaux de verre qui traînaient aux pieds de son conjoint. Ce dernier sembla quand à lui se remettre de ses émotions, retrouvant ses couleurs et son sourire colgate face aux deux jeunes femmes, laissant alors entendre de cette voix plastifiée qui ne manqua pas d’agacer quelque peu Ludmilla - Oh – Oui, excusez-moi mesdames, tout cela est ma faute. <3Hypocrite, ou sincèrement désolée de s’être ainsi emporté ? Sans doute la deuxième option, bien qu’en apparence, la première semble être de mise. Et si Ludmilla savait que Nathaniel regrettait de s’être emporté à cause de son fanatisme religieux, elle savait tout autant que Dominura ne comprendrait pas réellement cette réaction. Et puis … Comment verrait-elle tout cela, au fond ? Ludmilla n’avait jamais été catholique pour un sous, et voilà qu’elle se retrouvait accompagné d’un grand pratiquant, visiblement à cheval sur ce genre de principes ?ClacClacClacLa jeune femme s’était redressée, nerveuse, sentant son cœur battre plus fort qu’elle ne l’aurait voulu, tandis qu’elle n’osait pas plus poser les yeux sur Dominura et Grace. Grace, qui avait eu peur de ce gros chien, aussi forte soit-elle. Grace, qui avait été rejointe par sa conjointe, rassurante. Dominura, qui venait de se faire réprimander comme une enfant, par celui qu’elle aimait malgré tout. Dominura, que Ludmilla continuait à aimer, et redoutait très certainement le jugement, au un mot, sentant les larmes lui monter aux yeux d’une nervosité décelable, la jeune femme se dirigea alors – morceaux de verre en main – jusqu’à la cuisine de l’appartement du jeune homme, y ouvrant rapidement la poubelle, avant de se tourner vers l’évier et de s’y laver les mains. TacTacUn torchon, et ces dernières furent séchées, comme si de rien était. Pas de coupure, fort heureusement pour elle. Mais toujours ce doute, au fond d’elle-même Qu’est-ce que je fais là ? Je l’aime. Oui, mais ne sommes-nous pas déjà trop différents ? Je l’entends, au loin, proposer de remplir à nouveau les coupes de champagnes presque vides, proposer des gâteaux apéritifs, comme je l’ai fais. Cela ne me ressemble pas, n’est-ce pas ?Oh, je sais bien, que je ne suis pas le genre de femme,Capable de se marier à ce genre d’ faire des à la messe tous les jours, et réparer mes qui sont si nombreux, que cela serait me croit me croit sauvée de mon ancienne vie,De mon attirance pour les mon attirance,De mon amour,Pour toi… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Ven 26 Fév - 2339 Oh, de toute évidence, Grace et Dominura, les deux invitées du charmant couple qui habitait cet immense appartement, ressentaient bel et bien la tension de Ludmila, qui semblait alors de plus en plus palpable, que ce soit dans l'air ou sur son magnifique visage de poupée quelque peu troublée par les évènements et l'athmosphère. Comment pouvaient-elles la mettre à l'aise, alors que tout semblait déjà partir sur une si étrange pente ? Le trouble, les instants de malaise s'installaient entre tous les convives assis autour de cette table basse, là, l'alcool à la main. Mais tout s'enchaina plus vite encore lorsque l'énormissime labrador de Nathaniel fit son entrée en trombe dans le salon. Grace n'avait pas tardé à ramener ses jambes à elle, non sans en laisser entendre un cri déchirant, qui ne manqua pas d'allerter Dominura, qui, de son côté, avait lâché un juron qu'elle ne considérait pour sa part absolument pas blasphématoire. Cependant, ceci n'était pas de l'avis de Nathaniel, le maitre de maison, à qui l'on pouvait associer un soudain égal pâlissement -tout comme son invitée- se mouvant face à l'Illustratrice et laissant entendre, d'une voix bien plus sèche, terrible, alors que Ludmila tentait tant bien que mal de prendre le gros chien au collier afin qu'il cesse de japper et partager son euphorie avec une Grace vacillante, à deux doigts de tomber dans les pommes ;Pourriez-vousS'il vous plait madameEviter de BlasphemerDans cet appartement~Instant de silence, uniquement rompu par les aboiements incessants d'un labrador surexcité et bien trop enjoué pour la situation. Alors que Ludmila tenait fermement le collier de l'animal, un échange de regards se fit entre la grande illustratrice et l'homme des lieux. Lui, très pâle, semblait hors de lui sur un point des plus religieux, et, face à lui, les joues de Dominura semblaient passer au rouge feu, le rouge d'une colère étrange qu'elle semblait vouloir contenir par tous les moyens pendant que Grace replaçait ses jambes en dehors du canapé, sachant le chien maitrisé par les mains de la belle blonde, à qui elle offrit un regard reconnaissant et plein de gratitude Merci beaucoup~Joues brûlantes, oui, d'une française comme blessée dans son avez-vous pu, Nathaniel, me parler de la sorte pour une erreur de vocabulaire qui n'a jamais troublé personne avant vous ?!Ne-m'appellez-pas-madame. Cela sonne tellement faux, de votre bouche ! Blasphemer ?! Mais qu'avez-vous dans la tête, jeune homme ?!Mais je ne dirai ne dirai rien, par respect pour toi Ludmila, mais n'arrives pas à laisser passer quelques excuses que ce soit d'entre mes dents resserrées. Je sens pourtant la main de Grace se refermer contre ma cuisse, là, juste au dessus de mon genou, comme si elle cherchait à me calmer, à me pousser vers le chemin d'une sociabilité exacerbée Il faut que je demande pardon, n'est-ce pas, pour vous convenir, Nathaniel ?Eh bien... Soit ! Ou bien non !Je ne vous conviendrai devait donc rester au bureau ? Enfermé ? Le visage de Dominura se figea un instant, ses yeux cédant alors à l'emprise de ceux du fanatique pour finir sur ceux de son ex-conjointe Ludmila ? Est-ce que tu serais en train de prendre ma défense ? Haussant les sourcils, comme troublée par ce qui venait de se passer, la grande femme suivit du regard les pas de la charmante blonde, qui s'éclipsait alors jusqu'au dit bureau, afin d'y enfermer le gros chien, peut-être autant pour elle-même que pour le bienêtre de ses invitées, notamment de Grace, qui avait petit à petit reprit des couleurs, à la vue de Bobby entrainé la belle russe revint bien vite -Au plus grand bonheur des jeunes femmes qui avaient quelque peu du mal à demeurer silencieuses aux côtés de Nathaniel- au salon, sans oser cependant croiser ses invitées du regard. Relevant les yeux vers son ex-conjointe, Dominura pinça un instant les lèvres, analysant chacun de ses mouvements, sans pour autant l'en juger. Au fond, elle n'avait rien à repprocher à la magnifique blonde, mais ne comprennait toujours pas que cette jeune femme, qu'elle connaissait finalement plus qu'elle ne le croyait elle-même, soit en couple avec un tel homme. Un homme, qui, sans même la connaitre, osait lui parler de la sorte, lui faisant presque comprendre qu'elle était tout sauf invitée, tandis qu'il reprennait bien vite ses airs plastifiés, ses sourires colgate, à laisser entendre quelques mots sonnant bien faux aux oreilles des convives pendant que Ludmila s'attraitait à ramasser les morceaux de besoin d'aide, petit chat ?Veux-tu que je te donne un coup de main ? Toi, qui me semble si tendue, plus encore que ma présente conjointe ou moi-même ?Mais alors que je te regardes, déjà te lèves-tu, sans laisser glisser tes yeux sur Grace seulement maintient notre bonne figure, se contentant de sourire à Nathaniel, comme pour m'excuser, simplement d'une bonne conduite exemplaire, sans pour autant paraitre fausse, moqueuse ou déplacée. Laissant alors sa main glisser contre celle de la scientifique, Dominura lui laissa comprendre du regard qu'elle devrait s'absenter pour quelques minutes, sans doutes le temps d'aller proposer ses services à Ludmila, désormais partie vers la cuisine, d'où on entendait encore le bruit d'une poubelle qui s'ouvre pour laisser quelques morceaux de verre cassé s'y entrechoquer. Grace, les yeux brillants, silencieuse, haussa simplement les sourcils, avant de repporter le regard sur Nathaniel, d'un sourire calme, à qui elle laissa entendre, alors que Dominura se levait à son tour, donc "Mais je vous en prie, il n'y a pas de mal. Alors comme cela, vous avez une culture religieuse approfondie ?"Sachant Grace maitriser parfaitement son côté de la situation et prévoyant tout ce qui pouvait être bon ou mauvais pour l'évolution de la soirée, l'Illustratrice décida alors de rejoindre son ex-conjointe à la cuisine, sans réellement prendre garde aux propos de celle qu'elle aimait. Après tout, si elle pouvait parler de religion pour changer un peu l'état d'esprit de Nathaniel en lui laissant entendre qu'elle était interessée par de telles conversations, cela arrangerait sans doutes tout le monde, dédramatisant alors avec soin et tact la situation, passant les pêchés de Dominura sous silence, à son plus grand une fois de ferais-je, sans toi ?Sans doutes n'aurais-je pas pu maitriser ma colère, et lui aurait souhaité de bien vite aller aux côtés de son si grand ennemi le diable, qu'il paye aux enfers pour avoir aggressé une jeune femme dont il n'avait qu'à peine la connaissance. C'aurait été, à ses yeux, une unique violence gratuite, parfaitement irrespectueuse, mais sans doutes mon caractère impulsif n'aurait-il pas pu se retenir, en de telles tu savais, Grace...Et dire que cet homme vit avec Ludmila, ma si chère Ludmila !Dis-moi que tu comprends seulement mes je vois bien à ton regard que tu ne comprends pas plus que moi son état d'esprit parfaitement consommé, malgré ta toute grande et si honorable jusqu'à quand, Gracie, pourras-tu tenir tête à un tel étrange personnage, cette facette du bon catholique exacerbé ?Je te promet de ne pas mettre trop de tempsJe ne veux ni te laisser derrière moi, ni te tout... C'est à cause de moi que tu te retrouves dans cette situation,Même si je sais parfaitement que tu ne m'en veux pas et que tu ne m'en voudras guère plus donc Grace au salon, entendant au loin de maitre de maison proposer hypocritement des gâteaux apéritifs -non sans en lever les yeux au ciel, une fois hors de vue- la dessinatrice française se rendit donc bien vite à la cuisine, laissant ses beaux talons claquer le sol de l'immense appartement, trouvant instinctivement le chemin le plus court qui la mènerait à Ludmila. Evidemment, ses sens ne la trompèrent pas, et c'est quelques secondes après son départ du salon qu'elle se retrouva sous l'embrasure de la porte, son regard la portant vers la charmante russe qui venait visiblement tout juste de se laver les mains et se les sécher au torchon. Un silence, Un haussement de sourcils,Des mains jointes, frottées quelque peu nerveusement, comme hésitantesPuis un léger sourire,Alors qu'une voix, douce, légère, se faisait entendre, composée de multiples accents qui s'accordaient finalement à merveille sous un ton harmonieux"Tout va bien Ludmila ?Est-ce que je peux faire quelque chose pour t'aider~ ?"Un sourire, plus franc, accompagné d'une brillance attentive -un tantinet amoureuse, malgré ses efforts pour le cacher également- et la grande femme fit quelques pas de plus dans la cuisine, comme certifiant que Grace, tout autant que Nathaniel, demeurait au salon et s'occupait de rétablir plus ou moins la situation. Sourire prennant, fascinant, rassurant, pour une femme que la jeune russe pouvait croire -avec raison- si bien connaitre tout en ne semblant que l' du fond de ce regard vert sombre, tandis que Dominura ne cherchait qu'une chose détendre son ancienne t'en fais pas, petit ne te juges pas, et viens t'en tu l'aimesCet homme,Je n'en dirai rien qui pourra te ne souhaite à présent te voir que pour ton bonheurEt ne voudrais pour rien au monde être la cause de tes doutesAlors perds donc cette tension,Nous sommes prêtes pour faire des effortsL'orage pourrait entre tous gronderQue nous serions que plus sereines s'il le fallaitCar pour amour pour toiJe ne désire qu'une chosePasser ces momentsAgréablesDerniers moments peut-êtreAvant notre départMon départMalgré toiSi proche~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Sam 27 Fév - 1436 Le chien de Nathaniel étant de retour à sa place initiale dans l’appartement, un certain calme tendu s’était ainsi de nouveau installé entre ces deux couples, seulement coupé par les voix des hôtes, visiblement plus nerveux que leurs invitées elles-mêmes. L’un pour l’aspect soi-disant blasphématoire de l’exclamation de Dominura, l’autre pour cette situation pour le moins gênante. Ainsi cette dernière s’était-elle rapidement éclipsée à la cuisine, laissant ainsi son cher et tendre compagnon – malgré tout – s’occuper de Dominura et quelques instants plus tard, il se trouva alors que Dominura avait à son tour quitté le salon, sous le regard toujours quelque peu réprobateur de ce jeune homme. Oh, il avait eu beau retrouver une attitude des plus correctes, Nathaniel n’oubliait pourtant pas les propos de la belle française à l’égard de celui qu’il considérait comme tout puissant en ce monde, ne manquant pas de constater et de se souvenir que la jeune femme n’avait pas pris la peine de s’excuser, n’en étant que plus indigne de son femme que ma Ludmilla-chérie a fréquenté cette Dieu m’en soit témoin Je ne la laisserai plus jamais rester en sa compagnie. Alors comme cela, vous avez une culture religieuse approfondie ? »Son attention revenant avec plus de sympathie sur la scientifique – qu’il croyait sans doute être plus apte à communiquer avec lui, Nathaniel laissa alors un sourire parfait se dessiner sur ses lèvres parfaites, profitant de l’absence de la conjointe de cette jolie rousse pour laisser entendre, non sans une confiance en lui et en ses propos quelque peu exacerbante - En effet, oui ~ Et j’ose espérer que Dominura et vous pourrez vous rendre compte rapidement qu’être catholique pratiquant, c’est s’assurer la vie éternelle !Légère pause, et le jeune homme reprit, on ne peut plus sérieux, mais aussi très sincère quand à ses espoirs pour ces deux femmes - Dieu vous pardonnera ce pêché, Grace. Ce pêché ? Le plus gros. Le plus important, aux yeux de Nathaniel, qui offrait alors à Grace un regard plus profond, insistant. Evidement, ce fervent chrétien parlait de la relation qu’entretenait Dominura et Grace, et dont lui avait évidemment parlé Ludmilla, seulement sans doute afin de lui éviter toute mauvaise surprise. Ainsi, songeant – bien que faisant au mieux pour l’oublier – à la propre liaison de sa conjointe avec la elle française, le jeune homme enchaîna rapidement, ne laissant guère le temps à Grace de répondre quoi que ce soit - Vous savez, Ludmilla a pu guérir de ce … mal. Vous devriez faire comme elle, je vous assure ! J’ai un très bon prêtre à vous conseiller ~ Il sera ravi d’entendre vos confessions, et de vous aidez à vous en sortir, comme il l’a fait avec tant de bonté et d’efficacité pour Mila. Persuadé de la véracité de ses propos, l’homme se redressa élégamment, repoussant d’un doigt une mèche de ses cheveux blonds de devant son de la soi-disant guérison de sa conjointe – qui, soit dit en passant, n’était pas véritablement telle qu’il l’imaginait – Nathaniel continuait ainsi à vendre le pouvoir du christianisme, ne manquant pas de présenter à Grace les risques qu’elle prenait à rester en couple avec une femme, ainsi que les possibilités qui s’offriraient à elle dans l’au-delà si elle était capable de se guérir de son doute était-il loin de se douter que Ludmilla n’avait jamais vraiment fait le deuil de la sienne, n’est-ce pas ? En effet, de son côté, la jeune Russe ne croyait absolument pas en Dieu, et n’avait été voir ce fameux prêtre que pour rassurer et faire plaisir à son conjoint. Que lui avait-elle dit ? Pas ce que ce dernier pensait, en tout cas. La jeune femme n’avait jamais eu honte de son attirance pour les femmes, et n’étaient pas prête à s’y résigner, quoi qu’en pense l’homme qu’elle aimait. Ainsi faisait-elle semblant de s’être repentie, ne parlant plus du tout de cela avec Nathaniel, si ce n’était lorsqu’elle parlait de Dominura – au passé, Dominura était encore bien loin de faire partie de son passé, et cela, Ludmilla en était de plus en plus consciente. Un instant seule dans la cuisine, la jeune femme tentait tant bien que mal de retrouver une respiration normale après ce léger emportement, fermant une seconde les yeux afin de ne pas laisser ces quelques larmes de nervosité s’échapper de ses yeux. Hors de question. Cela serait stupide, n’est-ce pas ? Tout va bien. Nathaniel est seulement un peu sur ses gardes. Mais tout va son cœur s’emballer au bruit des talons claquant de sol de l’appartement sous la démarche reconnaissable de Dominura, Ludmilla se redressa légèrement, rouvrant les yeux sur le coup. Pourquoi viens-tu ?Pourquoi ne restes-tu pas au salon, avec Grace ?Pourquoi viens-tu me torturer, ici, alors que nous serons seules ?Un regard, et Ludmilla ne pu s’empêcher de laisser un adorable sourire se dessiner sur ses lèvres, sentant son ventre et son cœur se réchauffer sous la voix et l’attention de son ex-compagne. Comment résister, ou ne pas simplement se sentir plus heureuse, plus vivante, face à une femme telle qu’elle ? Et ces mains, qui se frottaient nerveusement. Et ce haussement de sourcils. Et ces mots, qui ne manquèrent pas de toucher la belle blonde, au peux toujours compter sur toi, n’est-ce pas ?Je sais bien, que nous ne devons plus être si sais, que je devrais plutôt m’éloigner de toi, plutôt que de tenter le me haïrait sans doute, s’il savait quelles sont encore mes pensées à ton n’arrive pas à m’en détacher, je ne veux pas te perdre, et serait avant tout une amie à présent, n’est-ce pas ?Grace semble être quelqu’un de bien. Vous avez l’air heureuses. Et si j’en souffre de jalousie, je suis tout de même plus sereine, sincèrement. Et puis, cela me pose une limite, n’est-ce pas ?Adressant donc un léger sourire à la belle française, Ludmilla ne manqua pas de remarquer cette lueur amoureuse dans ses yeux, connaissant bien assez Dominura pour cela. Seulement cette fois, la jeune femme hésita quand à celle qui avait engendré cette lueur Elle, ou Grace ? Comment savoir, au fond ? Peut-être Dominura jubilait-elle seulement de son bonheur avec la scientifique ? Non. Non, la jeune Russe savait bien, au fond, que son ex-conjointe ne serait pas assez mauvaise pour se satisfaire d’une relation visiblement plus saine que celle qu’elle-même pouvait avoir avec la jeune femme laissa entendre, souriante, faisant un effort visible pour se détendre en laissant échapper un léger soupir amusé, entre le rire nerveux et l’amusement sincère qu’elle voyait en la situation - Ca va, ne t’en fais pas. <3Est-ce que tu peux faire quelque chose pour m’aider ?Oh – Tu sais bien, ce que je voudrai, n’est-ce pas ?ClacUn pas en avant, puis Ludmilla s’arrêta, hésitante. Fuyant un instant le regard de la belle brune, la jeune femme y reposa finalement le sien avec une nouvelle lueur insistante, ses lèvres s’entrouvrant légèrement, tandis que son sourire s’était quelque peu effacé. Les mots ne semblaient pas vouloir sortir de sa bouche, un instant, et pourtant, la jeune Russe parvint finalement à laisser entendre, visiblement désolée pour le comportement de son conjoint - Nathaniel n’est pas toujours comme ça, tu sourire en coin, tandis que la jeune Russe songeait aux bons côtés de son nouvel amour, avant de finalement ajouter, non sans un léger amusement moqueur, complice vis-à-vis de Dominura - Il faut juste éviter de parler religion avec lui, c’est un peu obsessionnel ! Levant les yeux au ciel, Ludmilla laissa alors échapper un léger rire, passant une main sur son visage – de haut en bas – comme pour nettoyer toute cette tension qu’elle pouvait avoir en elle. Se détendre, simplement, en la présence de cette femme qu’elle aimait tant. Et sans doute cela avait-il fonctionner, puisque le visage de la jeune Russe sembla peu à peu plus calme, ses sourires se faisant plus rapprochant doucement de l’illustratrice, Ludmilla passa finalement ses bras autours de son cou, se blottissant quelque peu contre elle avant de lui laissant entendre doucement, gardant sagement ses mains dans le haut du dos de la jeune femme - … Finalement, seul un léger souffle vint s’échapper d’entre les lèvres de la jeune femme, qui semblait réellement lutter pour ne pas se rapprocher davantage de Dominura. Une lutte intérieure, qu’elle parvenait néanmoins à gérer, profitant simplement de la délicieuse odeur de la jeune femme pour se détendre, ne manquant pas de le lui faire comprendre en inspirant – non sans une certaine exagération amusée, suivit d’un rire adorable – contre le cou de la jeune femme en question. Et ces quelques mots, complices et amusés, mais non moins sincères et porteurs d’un message déjà bien trop clair – Je t’aime encore - Mhmh. Je n’avais besoin que de ça. <3Mordillant légèrement sa lèvre inférieure, la jeune femme ferma les yeux, resserrant très légèrement son étreinte avant de reculer très doucement son visage contre celui de Dominura, en une tendre et légère caresse à la surface de leurs joues. Caresse imprévisible, que Ludmilla elle-même n’avait pas prémédité, ni encore moins pu contrôler. Ainsi se redressa-t-elle doucement, son visage faisant à présent face à celui de Dominura, en une tension …Qu’est-ce que je suis en train de faire ?Pourquoi mes bras, autours de ton cou ?Pourquoi cette tendresse, innocente, ou significative ?Je ne sais plus, tu simplement besoin de ton regard – happé par le miens, attentif – de te sentir un peu contre moi, avec respecte Grace,Votre relation,Et ta nouvelle respecte et accepterai tout protège-moi ?… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Sam 27 Fév - 1631 Oh, en quittant le salon de Nathaniel, la grande femme qu'était Dominura ignora bien le regard réprobateur que ce dernier lui accordait. Evidemment, elle avait bien appris à passer outre ce genre d'interventions, comme celles où l'on lui laissait entendre qu'elle n'était pas la bienvenue pour une simple faute de vocabulaire. Quelques pas dans le salon, puis elle s'était eclipsée jusqu'à la cuisine, laissant donc derrière elle une conjointe au faciès chargé de condescendance, occupée alors à porter attention au maitre de maison.~Grace, donc, faisait face au jeune homme, charmant en apparence mais indéniablement borné jusqu'au plus profond de son coeur. Haussant légèrement les sourcils à sa propre question, tandis qu'elle reposait sa coupe de champagne sur la table basse afin d'avoir le mouvement de ses mains au point le plus libre, la scientifique laissa ses yeux sonder le visage -tout comme le comportement- de son interlocuteur, qui lui répondait alors, d'une voix qui trahissait sans peine ni hésitation son étrange confiance en lui, accompagnée et soulignée par sa foi et son amour pour 'Dieu' En effet, était donc plus qu'attaché à sa religion, n'est-ce pas ?Fervent catholique, si elle avait bien compris ses encore ?Déjà avait-il ouvert la bouche que ses paroles se deversaient alors au propos du couple de la grande femme avec la belle française qui avait quitté la pièce quelques minutes auparavant Osait-il réellement dire qu'il esperait que Dominura et elle-même se rendent vite compte que la religion catholique leur promettrait... une vie éternelle ? Quelque peu interloquée par des propos tels que ceux-ci, le visage interdit, la grande femme ne montra pourtant pas immédiatement sa surprise face au jeune homme qui semblait alors absolument transporté par ce qu'il laissait entendre, entrouvrant simplement ses lèvres aux teintes rouges-rosées Ah... oui ? Une vie éternelle. Vraiment ? Et... Vous y croyez ?Laissant un sourire attentif -presque compatissant devant un tel état- passer sur son visage, la grande femme haussa à nouveau les sourcils, recroisant les jambes à l'occasion, permettant à Nathaniel de continuer à parler de lui et ses convictions. Celui-ci ne tarda pas à les lui faire entendre, là, dans un serieux des plus convaincants, en quelques mots seulement. Dieu vous pardonnera ce pêché, l'entente de cette phrase, la scientifique sentit son visage se figer, bien malgré elle, voulant à la base ne rien laisser paraitre de ses sentiments devant Nathaniel. Mais là, c'en était trop. Qu'est-ce qui lui permettait d'annoncer de telles paroles ainsi, devant elle, clamant haut et fort qu'elle s'engageait, elle, dans ce qu'il appelait, fidèle à son Eglise illusionniste, dans le pêché ? Finalement, comme pour garder une bonne figure, elle tenta de sourire à nouveau, quitte à s'élancer dans une affirmation des faits du maitre de maison, mais ses lèvres tremblèrent, à s'élargir et rétrécir sous les élans expressionnistes de son visage troublé par les propos emplis de foi de Nathaniel. Cet homme était complètement fêlé. "Ha...Aha."Oui, oui, sans doutes avez-vous raison, votre Dieu ne pardonnerait sans doutes pas mes êtes complètement à l'Ouest- Comment pouvez-vous vous perdre dans ces éspèces de croyances qui au fond se mènent contre vous, contre votre vie, votre vraie vie ?Vous vous perdez, vous rendez aveugle. Comment pouvez-vous m'annoncer de telles choses, à moi, sans doutes la personne la plus terre à terre, d'entre nous, ici ?Savez-vous a qui vous avez affaire, Nathaniel ?Je suis Grace Sidnëather ! La scientifique ! Celle qui cherche, celle qui analyse, qui découvre, la réaliste !Je ne crois pas plus à votre Dieu qu'aux contes de NathanielVotre vie ne peut pas être éternellement guidée par vos croyances éperdues en maintes réellement au pêché ?Pensez-vous seulement que Ludmila se soit repentie comme vous l'espérez ?Je souris encore, alors que vous osez continuer sur votre lancée, sous mes yeux brillants d'une attention étrange, d'une compassion quant à votre propre mal, celui là même dans lequel vous vous êtes enfermé, ou dans lequel votre famille vous aura poussée, croyant peut-être que ce type de culture pourrait vous rendre une belle vie, voire après la mort, dans votre moi, je vis. Je vis ma vie, et connais le véritable Paradis a donc été guérie de ce ne sais pas si je dois avoir pitié de vous ou bien vous sourire encore en croyant vos propos, juste pour votre bien ou pour vous conforter dans vos efforts vains afin de suivre vos étranges convictions religieuses. Mais... êtes-vous en train de m'assurer que j'ai besoin d'un prêtre, moi aussi ? Je me retiens de ne pas rire, alors que mon sourire s'élargit, selon mes expressions quelque peu hésitantes sur le sujet. Alors je vois que nous ne sommes pas tellement de votre goût, Dominura et yeux de Grace passèrent sur le visage de Nathaniel, qui s'occupait à présent de dégager une mèche de ses blonds cheveux du devant de son visage, tout en se redressant. Redressée élégamment de son côté, la scientifique, qui ne manquait pas d'esperer secrêtement le retour de Ludmila ainsi que de sa conjointe, reprit sa coupe de champagne, y trempa à nouveau les lèvres, avant de laisser entendre, d'une voix neutre, quelque peu gênée mais à la fois diablement affirmative"Oh, Nathaniel. Nous n'avons pas les mêmes horizons ni les mêmes points de vue sur le monde qui nous vous assure que je n'ai nullement besoin d'un prêtre."Et de toutes façons, je ne suis pas question est réglée, jeune Ludmila, Dominura, revenez au salon, avant que je ne laisse mon esprit terre à terre rabaisser vos élevations d'âme.~Dominura, de son côté, était arrivée aux côtés de Ludmila, lui proposant par la même occasion de ses services, afin de l'aider à se détendre, ou quoi que ce soit du genre, qui pouvait leur promettre de passer une bonne fin de soirée. Arriverait-elle seulement à dire quoi que ce soit de rassurant, à l'égard de son ex-conjointe ? Oh, si elle en doutait, elle n'en laissait rien paraitre, venant plutôt de son plein gré. Je ne sais pas si mes mots te touchent, mais ton regard sur moi me evidemment, tu peux toujours compter sur moi. Si tu en as besoin, je serai toujours là pour sais bien que tu as refait ta vie, tout comme je me suis engagée à reconstruire la mienne, de mon cela ne trouble en rien notre possible amitié, n'est-ce pas ?Alors je te retrouve, et te souris, te propose mes attentions, c'est fait pour ça, n'est-ce pas ?Nous avons désormais nos cela n'empêche en rien, pas vrai ?Je sais, que tu fais des efforts pour te détendre. Tu le montres, de ton sourire, de ton charmant rire -qui me prends toujours au ventre, au coeur- et je t'en suis reconnaissante. Alors, je te souris en retour, sincèrement, chaleureusement. Ca va ? Tu en es certaine ? Ohh, Ludmila, tu es absolument adorable. Comment ne pas craquer, devant un tel sourire, une telle beauté, toi, si charmante ? Je te laisse m'approcher, de ce pas que je devine hésitant. Je te laisse approcher, mais ne te quitte pas des yeux, tandis que je vois les tiens fuir un instant, tandis que je comprends que tu n'arrives pas à assembler tes mots afin de mes les laisser n'est pas toujours comme ça, tu étrangement, par les propos de Ludmila qui prennait la défense du jeune homme tout comme elle a pu le faire elle-même à la défense de Grace il y avait des mois de cela, via le téléphone, Dominura haussa les sourcils, avant de laisser entendre un rire, d'abord posé, puis plus franc, plus amusé, sortant du coeur, alors que son sourire s' Ludmilaaaa !! Tu es adorable !Et tu l'aimes, n'est-ce pas ?"OhH, Ludmila, l'on croirait m'entendre !"Adorables la belle russe ajouta que la religion était quelque peu obsessionnelle chez son nouvel amour. Dominura, amusée, répondit alors, enthousiasme, étrangement soudainement détendue"J'ai cru le remarquer, oui !"Peu importe ce qu'il pense de moi, au n'est pas lui, que je n'y a que toi, que je n'aimerais pas nouveau rire, et elle laissa, non sans une certaine surprise, Ludmila venir à elle et l'enlacer, y répondant avec une nouvelle bonne humeur, qui venait à peine de renaitre, sans doutes grace à la belle blonde. Serais-tu, petit chat, en train de te rassurer de mon odeur, comme tu l'as si souvent fait lorsque nous étions encore ensemble ? Je ferme les yeux, un instant, souriant tendrement, calmement, tandis que je profite, pour me rassurer moi-même d'une étrange torture, de ta présence auprès de moi, contre moment, bref mais essentiel, passa la charmante russe se détacha de son étreinte, desserrant les bras et reculant son visage du cou de l'illustratrice, non sans laisser glisser sa joue contre la sienne, la frôlant d'un instant sensuel et brûlant. Nous sommes à présent face à face, et j'ouvre sur toi mes yeux avons-nous pu passer à côté de tant de choses, ensemble ?Je ne regrette plus mes choix, si je ne te fais plus je désires être encore là pour toi, quoi qu'il que nous pourrons garder nos liens ?Dans quelques semaines je ne serai plus tu as besoin de moi, je serai pourtant toujours présente, si tu le souhaite, au fond de la présence physique ne sera peut-être plus pour toi importante, maintenant que tu as redécouvert un bonheur je te protègerai, de par delà les océansSi tu penses encore à moi. Peut-être pourrais-je toujour t'aider ? Présente, dans ton coeur, tout comme tu le seras dans le ne t'abandonnerai plus, ne t'abandonnerai plus, et respecterai toujours tes choix,Comme ce que je te le fais comprendre, à t'enlacer encore un instant auprès de ? Je ne la ressens pas. Peut-être juste une tendre torture, au fond du ventre, alors que je te mon sourire, sincère, profond, intense, passe par dessus tout, pour t'offrir ces élans sereins qui me tiennent à coeur Ne t'en fais pas, je n'oserai jamais mettre en doute tes choix au point de te faire du mal, tu peux me faire confiance, croire en seulement encore quelque chose en commun, dans nos vies ?Si tu en as besoin, je serai là pour ne sommes plus du même monde, mais je pourrai faire des efforts. Ne m'imposes seulement pas ton mode de vie, les pensées de celui qui se rêve déjà mari et père. S'il te plait, fais moi l'honneur de compter pour toi, et je répondrai à tes attentes, quelles qu'elles soient. Tout cela, sans doutes,Car je t'aime encore, du plus profond de mon gré ?Pour mon ses mains sur le visage de Ludmila, l'encadrant en laissant passer ses doigts sur ses joues pâles, Dominura sourit davantage, chalereuse et rassurante, tandis qu'elle laissait entendre, à nouveau, son harmonieuse voix en quelques paroles "Tu n'as pas à t'en vouloir pour quoi que ce soit, petit chat"Les évènements sont ce qu'ils sontJe n'en veux pas à celui que tu je te souris encore, t'en sourire, et je garde mes yeux sur toi."Si tu as besoin de quoi que ce soit d'autre, je suis là."Et, soudainement, elle passa à nouveau ses bras autour des épaules de son ancienne conjointe, l'attirant contre elle et la maintenant en une étreinte rassurante, positive, avant de se reculer, tout sourire, comme euphorique, presque sur-émue de retrouver son aimée, malgré les étranges serai te le la grande femme se détacha définitivement de Ludmila, laissant simplement glisser ses doigts contre son bras. En suivant, un baiser, bref et vif, sur sa joue, ses lèvres fines claquant adorablement en un contact enjoué et amical, plein d'optimisme. Et un regard, alors qu'elle tournait les talons Allez, viens ! Je sais que Grace est toujours au salonEt qu'elle a besoin de moi, également. Je ne veux pas la laisser dans cette situation, aussi bien sois-je en ta sourire, euphorique, enjoué, amoureux, les yeux brillants, Et la grande femme laissa entendre"Je suis ravie d'être là !"Un sourire, montrant ses dents blanches et parfaites, et Ludmila put voir sa charmante ex-conjointe, la belle française, tourner les talons et disparaitre du palier de la porte en un clinquement de perles et de breloques encore attachées à ses tresses persistantes. Grace, Gracie, me voilà de retour !Ne restes donc pas ici seule, alors que je vois ton regard reconnaissant et amoureux se poser sur moi tandis que je te rejoins et me rassis à tes côtés, suivant ton regard qui me demande de ne pas t'embrasser devant la belle française laissa ses yeux se poser sur le fervent catholique, sans rancunes ni négativité, au contraire. Souriant faiblement, désireuse de rétablir quelque peu la situation à son égard, elle lui adressa alors la parole, calme et plus douce"Veuillez m'excuser~ Vous êtes adorables de nous avoir conviées à cet apéritif"SourireRenforcé par la présence de Grace, charmante et ces instantsLe soirée se déroulera sans doutes plus calmementSans d'autres tensions ?Je l'espereNos coeurs sont encore fragilesJe ne veux pas te laisserJe ne veux pas partirSans avoir pu te dire encore une foisA quel point je tiens à toiA quel point j'ai été heureuseDe te revoir,Ma Ludmila,Petit chat.<3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Dim 28 Fév - 1955 Tandis que Nathaniel prenait peine à tenter de convaincre Grace de revenir sur le droit chemin – en insinuant sans doute qu’elle devait quitter Dominura au plus vite – n’écoutant guère les diverses contestations de cette dernière, Ludmilla quand à elle ne pouvait s’empêcher de chercher à défendre son conjoint face à Dominura. N’était-il pas toujours comme ça ? En effet. Nathaniel pouvait être des plus adorables, s’il ne savait pas les personnes en face de lui défier ce qu’il pensait être la suprématie de la vie La religion. Evidemment, le charmant blond savait bien – lorsqu’il avait accepté de convier ces deux jeunes femmes chez lui – que ces dernières étaient non seulement non-croyantes, mais aussi en un couple qui défiait selon lui la nature des choses. Ainsi avait-il du mal à s’y faire, malgré tous les efforts qu’il pouvait faire pour se comporter comme si de rien croirait t’entendre ? Oh – Oui, avec Grace, n’est-ce pas ? Je me souviens, l’avoir entendu te crier dessus, au téléphone. Je me souviens ta peine, et comprenait – au fond – qu’elle avait sans doute de bonnes raisons d’être en colère. Mais la colère suffisait-elle à justifier cet emportement ? Peu importait, puisque tu ne lui en voulais pas, et la défendait, l’excusant de cette attitude envers moi. Je t’ai fais confiance, et suis passée outre cela. En ferais-tu de même pour mon présent conjoint ?Etrangement, Ludmilla se sentie tout à coup bien mieux, ressentant la bonne humeur et l’enthousiasme de Dominura avec soulagement, l’ambiance se faisant tout à coup bien moins lourde qu’elle n’avait pu l’être au salon. Etait-ce la présence de leurs conjoints respectifs, qui la troublait tant ? Ludmilla n’en savait trop rien, n’ayant à vrai dire pour l’instant absolument rien à reprocher à Grace. Mais … Nathaniel ? Il semblait étrangement trop parfait, et ce plus encore qu’à l’habitude, pour finalement se montrer odieux à l’égard de leurs invitées ? Je l’aime, l’aime, même si ses croyances me rendent folles. J’aimerai qu’il comprenne, que tout cela est stupide. J’aimerai qu’il parvienne à s’en détacher, à croire plus en la vraie vie qu’en Dieu. Cette vie que j’ai pu vivre, et que je vis encore, malgré ces limites qu’il m’impose. Peut-être en avais-je seulement besoin ? Peut-être pourrais-je me faire à cette nouvelle vie, emménager dans une grande et belle maison au bord de la mer, et avoir des enfants blonds et tout aussi parfaits que tout le reste ? Je ne sais pas – ce que je veux. Se ressourçant un instant de l’odeur et de la chaleur de la belle française, Ludmilla se retrouva alors à nouveau face à elle, esquissant un sourire en coin adorable et attentif à Dominura. Tu es belle, Trésor. Tu es tellement tu as l’air si heureuse, que je ne peux qu’en avoir le cœur d’être venue me rejoindre. Je suis prête à y retourner – plus détendue, tu les mains de son ex-conjointe venir se poser délicatement sur ses joues, Ludmilla sentie son ventre se nouer quelque peu d’une délicieuse torture, son regard se faisant plus intense encore en celui de la belle brune. Sentir ses doigts contre sa peau était toujours si agréable – et pourtant, tellement douloureux, en ces circonstances. Esquissant néanmoins un léger sourire – quoi qu’en un fond indéniablement triste, de part la résistance dont devait faire preuve Ludmilla pour ne pas craquer et se rapprocher plus encore de la belle française. Comme l’appel de ses lèvres, là, si belles, si attirantes. Mhm. <3Finalement, Dominura laissa entendre à nouveau sa si jolie voix, en quelques mots qui ne manquèrent pas de faire sourire plus chaleureusement la belle blonde. Je n’ai pas à m’en vouloir ? Je sais. Ou bien, non ? Je crains que tout cela soit ma faute, au fond Si je n’avais pas été si tendue dès le départ, sans doute tout aurait pu paraître bien plus naturel, bien plus conviviale ? Nathaniel est quelqu’un de bien, tu verras. Si tu as besoin de quoi que ce soit d'autre, je suis là. »Et cette étreinte, à nouveau. Fermant les yeux, passant ses mains dans le dos de son aimée tout en y appuyant doucement – et sensuellement, malgré elle – le bout de ses doigts, Ludmilla ne pu s’empêcher de sourire, réellement heureuse de pouvoir encore compter que Dominura, entretenir quelques liens d’amitié avec elle, malgré tout ce qui avait déjà pu se passer entre elle par le Dominura … Ne me l’avais-tu pas déjà promis, avant que tu ne disparaisses en Australie ? Oh, je sais que nous nous détestions, pour tout ce que nous avons pu nous faire. Je sais, que je ne voulais plus entendre parler de toi. Mais je me suis sentie si seule – abandonnée – lorsque tu es partie avec Grace. Tu es partie, sans nous laisser la moindre chance de nous retrouver, de nous expliquer, peut-être ? Mais au fond, je sais bien que nous ne l’aurions pas fait, n’est-ce pas ? Nous serions restées éloignées l’une de l’autre, et n’aurions jamais pu être là aujourd’hui, souviens-tu, de ce jour où tu m’as promis, de ne plus jamais laisser personne me faire du mal ? Je venais de me céder à ton agresseur, pour que jamais il ne te touche. Avais-tu compris cela ainsi ? Je ne sais pas, mais ai retenu tes mots. Pourtant, tu as sans doute été celle qui m’a faite le plus souffrir depuis ce moment. J’ai souffert de trop t’aimer, de ton incompréhension, de notre manque de communication. J’ai réellement souffert de tout cela, de notre relation. Et pourtant, je la regrette encore, au plus profond de voudrai pouvoir recommencer à zéro, retrouver la confiance que j’avais en toi, et qui me semble à présent si floue. Penses-tu que je puisse te croire, lorsque tu me dis que tu seras là pour moi ?Je ne te crois pas, si ces mots me touchent, je ne peux m’empêcher de croire que tu ne dis cela sans réellement le mesurer. Car tu ne seras plus là, dans quelques semaines. Et te savoir penser à moi ne suffira pas à me rassurer, à me faire avancer. Je veux de cette amitié, mais ne parviens pas à y croire. Ma confiance en toi – mon Dieu, je ne me rendais pas compte – est terriblement diminuée, depuis le jour de notre séparation. Tu m’as trompé, m’a frappé. Et je devrais songer que cela ne se reproduira jamais ? Ce genre de trahison, tu sais. Ce genre d’horreurs, qui m’ont tant blessé. Je ne veux pas souffrir encore de toi. Et pourtant, j’aime tant te sentir contre moi, tes doigts, glissant sur mon bras, et tes si jolies lèvres, déposer ce baiser sur ma joue. Je souris, et ne montre en rien mes doutes quand à ta sincérité. Car je sais, que tu es sincère. Mais je ne suis pas sûre, que tout cela ait exactement le même sens pour toi, que pour Ludmilla laissa-t-elle ses bras revenir à elle, adressant un adorable sourire à son ex-conjointe, passant le bout de ses doigts sur son poignet en un mouvement bref mais significatif, tandis que cette dernière disait être ravie d’être là. Oh, et la jeune Russe était tout à fait ravie, elle aussi, de pouvoir passer ces moments avec son ex-conjointe. Même si sans doute aurait-elle préféré que cela se passe en de meilleures conditions ! Autre part que chez Nathaniel ? Sans doute, oui. ClacClacClacIl fallait retourner au salon, à présent. Et Ludmilla suivit Dominura sans un mot, gardant seulement un léger sourire, tandis que son regard ne pouvait s’empêcher de passer sur les formes de la belle française avec envie, tant qu’elles n’étaient pas visibles de Nathaniel et Grace. Finalement, toutes deux retournèrent s’asseoir auprès de leur conjoint respectif, Ludmilla sentant une vague de chaleur enthousiaste la traverser tandis que son regard se posait sur un Nathaniel souriant et visiblement d’une meilleure humeur que lorsqu’elle avait quitté le salon. Passant son bras autours du ventre de se dernier, Ludmilla ne tarda pas à déposer un tendre et amoureux baiser sur sa joue pâle, avant de reposer son regard sur Dominura, qui venait alors de s’excuser. Lui adressant un sourire complice et reconnaissant, la jeune Russe se redressa par la suite, se tournant vers Grace en un sourire plus sincère que tout ceux qu’elle avait pu lui offrir depuis le début de la soirée. De toute évidence, ce petit interlude avec Dominura à la cuisine n’avait pu que lui faire du bien, Ludmilla étant tout à coup plus rayonnante, visiblement plus détendue et prête à accepter la situation telle qu’elle de sourires, ni de compliments forcés, n’est-ce pas ? Et ma main prend celle de mon homme, mon pouce caressant sa peau en une douceur féminine adorable, avant que je ne me retourne vers lui, l’embrassant à nouveau sur la joue, quoi que plus vivement, avant de lui adresser un regard tendre et finalement sa coupe de champagne entre ses doigts, Ludmilla eut alors le plaisir de voir que les conversations reprenaient plus calmement, en une ambiance plus conviviale entre les deux couples, chacun étant visiblement très lié – à leur manière. Les gâteaux apéritifs filaient à une vitesse folle, tout comme le champagne s’écoulait rapidement des bouteilles que Nathaniel avait sorti de sa cave, spécialement pour l’occasion.~- Ohouiiii ! Je me souviiiens !Nathaniel s’était levé, tandis que Ludmilla restait en compagnie de ses invitées, bien plus naturelle et détendue qu’en début de soirée. La conversation passait à présent sur quelques souvenirs communs entre Dominura et elle, toutes deux s’enthousiasmant à raconter quelques petites anecdotes à Grace – et Nathaniel, avant qu’il ne parte - Ludmilla s’amusant réellement. Finalement, plus le temps passait, et plus la scientifique lui semblait être quelqu’un d’intéressant, bien qu’elle ne pouvait s’empêcher – a sa manière – d’appuyer quelques faits qui pouvaient lui montrer à quel point Dominura et elle avait pu être proches, à l’époque. Et … Comme elles l’étaient toujours ? En effet, sans doute les regards que la jeune Russe posait sur l’illustratrice n’étaient-ils pas si innocents. Pourtant, la jeune femme ne faisait rien de plus, gardant cette bonne humeur et participant avec plaisir à cette ambiance bon Tadaaa ! Cookies fait maison – Garantis sans serpent ! ’DLéger rire - amusé et amoureux - de la part de Ludmilla, qui se tournait alors vers son conjoint, visiblement on ne peut plus fier du plateau qu’il ramenait alors au salon, le présentant tout d’abord à Dominura et Grace, avant d’en proposer à Ludmilla et de prendre un cookie pour lui-même. La plateau fût ensuite posé sur la table, Ludmilla goûtant à ce dessert avant de laisser entendre, admirative des talents de cuisinier de son aimé, lui offrant un baiser enjoué et fou amoureux - Mhmm ! Ils sont délicieux mon Amouur ! Tout chauds ~ Miam ! <3Un léger rire à nouveau, et le jeune homme la remercia, avant de se tourner une nouvelle fois vers leurs invitées, leur adressant un sourire enthousiaste, avant de laisser entendre, parvenant visiblement à mettre de côté pour l’instant l’orientation sexuelle de ces deux charmantes femmes - Je faisais ces cookies lorsque j’étais scout ! Nous devions les vendre, mais mes compagnons passaient leur temps à tout manger avant que nous n’ayons le temps de les présenter ! Ah Ah ! Les enfants en raffolent !Le jeune homme était visiblement ravi de raconter cette petite anecdote de sa vie, ne manquant pas d’adresser un regard significatif à Ludmilla, comme sous-entendant que – s’ils en avaient – leurs propres enfants seraient eux aussi très heureux, d’avoir de tels cookies. Finalement, Ludmilla lui adressant un sourire craquant, son regard brillant d’amour et de fascination, le jeune homme prit davantage confiance, et – dans l’optique de partager à davantage son travail en cuisine – laissa alors entendre, enthousiaste - Vous pourrez en ramener, il en reste encore trois plats comme celui-ci !Un sourire, et une question, enjouée - Vous avez des enfants ? …Ludmilla senti son cœur faire un léger blocage à ces mots, ses lèvres se pinçant une seconde, avant qu’elle ne lance un regard furtif à Nathaniel Je t’ai dis, que son fils était mort. Finalement, la jolie blonde laissa ses yeux se poser sur Dominura et Grace, son sourire se faisant plus hésitant, tandis qu’elle ne savait guère si ce sujet était à éviter, ou si son ex-conjointe était à présent plus sereine vis-à-vis de son défunt te te suis heureuse, que tu sois suis heureuse, de connaître enfin un peu plus celle que tu suis heureuse pour vous, pour pour moi. <3 Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Dim 28 Fév - 2135 A vrai dire, Dominura n'était guère au courant des elucubrations particulières de Nathaniel vis à vis de son couple et plus encore au sujet de sa conjointe. Ainsi ne prit-elle pas la peine d'intervenir au salon, laissant sans mal Grace rétablir la situation, voire s'excuser pour elle le temps qu'elle ailles chercher Ludmila et la rassure quelque peu, ne serait-ce que pour son les courts moments partagés entre la belle blonde et la charmante française furent quelque peu courts mais non moins ressourçants pour l'une comme pour l'autre. Oh, qu'importait, en cet instants, si Ludmila n'avait plus grande confiance en l'illustratrice et ses propos, tant qu'ils faisaient leurs effets. Après tout, n'étaient-elles pas vouées à être séparées ? De toutes façons, la charmante russe était à présent en compagnie d'un homme parfait, merveilleux, sans défauts, et surtout sans doutes extrêmement digne de la plus grande confiance au monde. Ainsi la trentenaire ne prit pas réellement en compte le fait que Ludmila puisse être contrariée par ses propos à l'en n'en pas croire, mais se contenta, souriante et euphorique en apparence, de se satisfaire de la bonne humeur et de la reconnaissance de cette es rassurée, détendue ?Tant si tu n'as pas confiance en moi, il n'y a pas de n'aurons plus à vivre ensemble, je te laisse à Nathaniel, s'il le toutes façons, je ne resterai pas. Que tu aies confiance en moi ou non n'y changera rien, que tu veuilles de moi ou non n'aura d'ailleurs pas plus d'importance. Dans trois semaines, je serai repartie en Australie. J'y serai repartie, et tu n'auras plus à craindre que je t'abandonne, ainsi. Tout ira pour le mieux, et tu seras vouée à continuer ta vie comme tu l'entends, de ton charmant amour me crois m'importe, désormais, si tu préfères suivre tes pensées plutôt que mes paroles pourtant plus que sincères.~ Les conjoints furent rapidement rejoints, pour le plus grand bonheur de Grace à qui Dominura avait diablement manqué. Evidemment, la compagnie de Nathaniel ne lui avait pas foncièrement déplue, mais ne partageant pas tout à fait les mêmes types de pensées, ni les mêmes buts dans la vie, le malaise avait fini par se réimposer entre eux, ne lui permettant pas tout à fait de garder sa bonne figure le temps de toute la conversation. Dieu merci, les deux jeunes femmes avaient fait leur retour dans le salon, et Dominura s'était rassise à ses côtés, partageant à nouveau le plaisir de la les mots de l'illustratrice avaient refait surface, la grande femme s'éparpillant en quelques excuses qui semblèrent plaire à Ludmila, en surface. Qu'en pensait donc Nathaniel ? Oh, au fond, qu'importait. Elle l'avait dit, et c'était le plus important. Ses efforts n'avaient pas étés tout à fait vains. De son côté, Grace était relativement satisfaite des efforts de sa conjointe, tout autant que surprise du regard qu'elle put capter de Ludmila, qui lui offrit alors un sourire plus sincère et plus calme que tous ceux qu'elle avait pu lui laisser voir depuis le début de la soirée. Sourire auquel elle lui répondit de même, evidemment, charmante, polie, se détendait de minute en mnute, et la conversation reprit de plus belle, dans une athmonsphère plus bonenfant. Oui, les mots passaient sur les lèvres, non sans que Dominura et la scientifique Sidnëather ne remarquent le rayonnement renaissant de Ludmila, tout autant que la niaiserie brillant autour de son couple avec le charmant homme qui lui tenait compagnie. Regards tendres, amoureux, caresses sur la main ou du bord des yeux, ce Ken et sa jolie poupée d'amante ne semblaient que pouvoir s'avaler de leurs expressions, buvant les paroles l'un de l'autre, tout autant que se délectant de leurs visages respectifs. En gros, aussi amusant que désolant spéctacle, tout autant que celui de leurs baisers amoureux et passionnés, là, entre quelques oui,Charmants,Tout a fait autant que les regards de Grace sur eux,Associés à quelques airs sceptiques,Et sourires posés.~ Nathaniel s'absenta quelques instants -certainement à la cuisine- et les conversations allèrent bon train entre les trois jeunes femmes, dont les tensions s'étaient complètement évanouies, sous les petites anecdotes de Dominura et Ludmila, pour lesquelles les rires entrecoupaient les propos. Finalement, l'homme de maison fit son retour fracassant, absolument adorable, un plateau de cookies faits de sa main dans les bras. Apparemment bien fier de ses oeuvres, il laissa entendre sa voix en quelques paroles qui ne manquèrent pas de faire s'exclamer de rire Dominura tout autant que sans serpents ?Ooooh, Nathaniel ! La voix de Dominura profita de cet instant pour s'élancée, amusée, entre un éclat de rire "Encore heureux ! Qu'en auriez-vous fait ? Des pépites ??"Hmmmh, des pépites de serpent !Ahhaah ! Et les conversations allaient, d'une bonne humeur transcendante. Les cookies furent prits, goûtés, et Grace ne manqua pas de laisser entendre, d'une voix enthousiaste"Vraiment délicieux !"Alors que Dominura se contentait, d'une bonne humeur évidente, de laisser entendre un son de contentement délicieux Il est vrai que ces cookies sont très bons !En revanche, un silence tout aussi amusé que consterné se fit de mise, aux propos de Ludmila vis à vis de son conjoint. Les regards de Dominura et Grace se croisèrent, un haussement de sourcils significatif également mais qu'eeeeeeest-ce que c'est que ça ? Mon dieu, mais cela pue le monde des petits poneys ! Olàlàlàlàlàààà... Et cela ne va pas non plus en s'arrangeant. Se retenant d'en rire, par respect sans doutes, alors que Ludmila serait prête à avaler le moindre des mots de son conjoint aux yeux des deux jeunes femmes qui étaient ses hôtes, ces dernières croisèrent leurs jambes, attentives à la suite de la conversation, si tant est qu'il y en ait une en enchainement direct avec ces propos de la vie de Nathaniel,A laquelle les deux femmes sourirent, voyant parfaitement le jeune homme petit, dans les circonstances décrites, à faire des cookies pour son assemblée de scouts catholiques pratiquants à l' de partage de Cookies, à laquelle Dominura répondit positivement, soulignant que ce serait avec joie qu'elle participerait à ce partage fort la suite ne fut pas aussi ravissante. Nathaniel, croyant sans doutes bien faire, posa une question d'emblée paraissant des plus banales mais ne l'étant pas exactement pour tout le monde. Aux propos, demandant si elles avaient des enfants -sans doutes chacune de leur côté, donc- Dominura, tout comme Grace, perdirent aussitôt leurs sourires, sans pouvoir réellement cacher que ce n'était pas réellement un terrain à aborder avec tant de enfants ?Les deux réactions ne furent pas exactement les de son côté, bienheureuse d'avoir pu tout de même faire le deuil de son fils grace à son voyage en Australie et ses choix de nouvelle vie loin de son passé douloureux, jeta un regard bref à Ludmila, non sans remarquer que cette dernière lui souriait alors, inexplicablement. Pourquoi ce sourire, Ludmila ? Pourquoi ce regard sur moi, aux allures positives, comme complètement en dehors de ce que tu devrais me laisser voir en ces instants ?Se raclant un instant la gorge, la grande femme fuya alors les yeux de sa conjointe pour passer les siens sur Nathaniel, et lui laissa finalement voir un sourire, calme, posé, répondant d'une toute classe, tout en refermant ses doigts sur la main de Grace, le coeur battant quoiqu'elle veuille bien en dire "J'eus un fils. Il est décédé il y a 8 ans maintenant."Et son sourire se fit plus mélancolique, sans tension cependant. Vous ne m'avez pas posé la bonne question, mais je ne vous en veux pas. J'ai fait mon deuil, et n'ai rien à vous cependant, fut moins à l'aise. Et si elle avait gardé jusqu'à présent un faciès de calme et de bonne humeur pour garder ses politesses et ses bons états d'esprit, sembla bien plus troublée à la question du jeune homme, son coeur se tordant tout autant que son ventre, alors qu'elle fuyait du regard, le posant en biais, ni sur Dominura, ni sur Ludmila, et encore moins sur le jeune homme, peut-être le temps de rassembler ses question n'était en effet pas la comprennant bien le malaise de sa conjointe, pinça les lèvres, et attrappa -sans doutes trop violemment pour être naturelle- sa coupe de champagne, la finissant d'une traite, y noyant ses soudains doutes et malêtres. La scientifique releva finalement les yeux, accordant un nouveau regard à l'homme de maison. Un sourire, puis un autre, comme hésitant, s'accentuant et se rétrécissant au rythme de sa respiration tout autant que son état d'esprit quelque peu troublé, puis elle tenta de répondre"..."Non, elle ne put rien laisser entendre, les yeux brillants, le sourire persistant, sans réel bonheur mais non sans une intense nervosité dans son expression incertaine. Un souffle, deux, puis les mots virent à propos, ses mains se liant entre elles en un frottement irrégulier à tendances rassurantes pour elle-même"J'ai également un fils..."Puis, après un rire, léger mais réel, fuyant, elle ajouta"... Mais je ne suis plus pour lui sa mère"Finalement, son sourire redevint plus franc, doux, comme une recherche de changement de sujet. Oh, qu'est-ce que cela pouvait leur importer, au fond ? Il y avait beaucoup de raisons pour lesquelles son fils ne verrait plus en elle une mère. Etait-ce son travail ? Quelque chose comme cela ? Pas exactement. Non, si son fils ne la considérait plus comme sa mère, c'était, tout comme Nathaniel, à cause de son orientation son fils l'avait reniée de son ce trouble était persistant, fils de 21 ansPerduPour des choixChoix de vieChoix d' vous ? Vos enfants ?Vous en aurez peut-être,Le désir se lit dans vos yeux, jeune dieu merci, Dominura vint à la charge, adressant à Grace un repos certain, prennant à nouveau sa main dans la sienne, retrouvant faiblement un sourire cherchant à détendre l'athmosphère"Et vous Nathaniel, qu'en est-il de vous ?"Pas avant le marriage, j'imagine ?Ah, ahNous vous souhaitons bien du bonheur,Nous, hérétiquesSans nos fils, nos deux fils, Morts pour nous et nos âmesPuissiez-vous assez vous lier pour trouver le bonheur d'un enfant gardé à que le malaise ne vous égare enfantsA l'insousciance des jolies perfectionSe lisant dans vos viesSans la terne douleur De nos extravagances. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Lun 1 Mar - 1742 La soirée se faisait donc bien plus détendue qu’à ses débuts, Nathaniel et Ludmilla parvenant finalement – chacun d’une manière différente – à se faire à la situation, et à optimiser les choses. Ainsi, le jeune homme oubliait la dérive de ces femmes vis-à-vis du christianisme, et la jeune Russe cessait de sans arrêt faire attention aux mains liées de ces dernières, à leur amour certain, qui ne faisait que la faire brûler de jalousie. Au contraire, Ludmilla semblait à présent plus sereine, profitant de son propre conjoint et ne cachant rien de son amour pour lui. Se rendait-elle compte de ce que pouvait en penser leurs deux invitées ? Oui, sans doute. Mais au fond, cela importait peu. Qu’elle semble niaise et aveugle à leurs yeux ? Je sais, que ça n’est pas le l’aime, et il m’ mal, que de le mettre en avant pour l’autre ?Sans doute mieux valait-il que tout soit ainsi, au fond. Au moins, Nathaniel savait l’amour de sa conjointe, et vice versa, n’est-ce pas ? Sur ce, l’ambiance avait été des plus conviviales, et ce jusqu’à ce que le jeune homme pose finalement une question qui lança un léger froid dans la pièce. Avaient-elles des enfants ? Concernant Grace, Ludmilla n’en avait pas la moindre idée, et en était au fond bien curieuse. Mais … Dominura ? Oh – Je te souris, car ne sait pas réellement comment réagir. Je te souris, comme un encouragement, ou un doute de ma part Comment ressens-tu la mort de ton enfant, après ces deux années de dépaysement en Australie ?Je n’ai jamais su te faire te sentir mieux, vis-à-vis de sais, que je n’ai pas été à la hauteur – et pire encore, je t’ai enfoncé, en insinuant, rageuse, que tu avais pu le tuer, comme tu le redoutais tant à l’époque. Mais je ne le pensais pas, tu sais ? J’aurai dû être plus compréhensive, plus calme. Moi qui suis pourtant capable d’aider bien des clients à faire leur deuil, n’ai pas su prendre soin de la femme que j’ que Grace a réussi, elle ?Le regard de Dominura fuyant le sien, le sourire de la jeune Russe s’effaça rapidement, elle-même détournant les yeux, non sans sentir son ventre se nouer d’une étrange culpabilité, ou peut-être était-ce de la gêne ? Ce sentiment se renforça sans doute, à la réponse de la belle brune, à laquelle Nathaniel quand à lui pinça légèrement les lèvres, s’excusant poliment et doucement pour sa curiosité et la peine qu’avait dû avoir Dominura à perdre son fils. De son côté, Ludmilla était tout à fait incapable de regarder à nouveau son ex-conjointe, buvant une gorgée de champagne en pinçant légèrement ses lèvres sur le verre de la coupe, son regard scrutant un point au sol de la pièce pendant quelques ne fut que lorsque Dominura attrapa sa coupe de champagne avec vivacité que Ludmilla leva les yeux sur elle, haussant légèrement les sourcils avec interrogation en la voyant boire le liquide pétillant d’une traite. Pinçant ses lèvres entre elles, reposant sa propre coupe, la jeune femme laissa alors son regard passer sur Grace, non sans sentir une étrange bouffée de chaleur en ressentant son mal-être. Pourquoi semblait-elle si lointaine, troublée, tout à coup ? Et ces sourires, dont Ludmilla devinait l’hésitation à répondre ? La jeune Russe fronça légèrement les sourcils, adaptant sans doute cette fois-ci bien plus une attitude normale vis-à-vis de Grace, qu’elle n’avait pu en avoir au tour de réponse de son ex-conjointe. Sans doute était-ce parce que la réponse lui était cette fois-ci inconnue ? Quoi qu’il en soit, Ludmilla restait interrogative, perplexe quand à la soudaine attitude de Grace, bien loin de son calme serein habituel. J’ai également un fils … »Ah oui ? Mais pourquoi cette incertitude nerveuse, que je puis lire dans vos yeux, Grace ? Dans vos sourires, et les frottements de vos mains ? Se redressant légèrement à ces mots, Ludmilla resserra doucement sa main dans celle de Nathaniel, ce dernier gardant un très léger sourire jusqu’à présent, non sans être lui aussi bien curieux d’entendre la suite. Finalement, quelques mots sortirent à nouveau de la bouche de la scientifique, qui laissait alors entendre qu’elle n’était plus pour lui sa mère. Ah oui ?! Comment ça ? … De son côté, Nathaniel ne pu s’empêcher de garder un léger sourire en coin, non sans rire intérieurement de ce qu’il déduisait lui-même de ces paroles. De toute évidence, s’il avait été à la place du fils de Grace, sans doute l’aurait-il lui-même renié, pour ce qu’elle faisait à l’encontre de Dieu. Ces pêchés, bien trop grands à ses yeux pour être pardonnables. En tant que connaissance ? Pourquoi pas. Mais en tant que mère ? Jamais. …Ludmilla quand à elle restait très perplexe, son regard à présent fixé et on ne peut plus interrogatif posé sur Grace, sans tout de fois semble impoli. De simples questionnements, tandis qu’elle ne comprenait guère comment quelqu’un pouvait renier une femme comme elle en tant que mère. Qu’avait-elle bien pu lui faire ? Elle qui semblait pourtant si sage, droite et juste ? Elle qui avait une vie des plus respectables, de part son travail et … tout le reste ? Grace ne semblait rien avoir à se reprocher, et pourtant, déjà Dominura prenait-elle la parole pour lui permettre de fuir ce pour la scientifique, Ludmilla fût tout aussi rapide que son ex-conjointe, ses lèvres s’entrouvrant rapidement, tandis qu’une interrogation vive, spontanée et sans aucune négativité venait s’en échapper, sur la voix de la belle française - … Pourquoi ?Pourquoi, n’êtes-vous plus pour lui sa mère, Grace ? Oh – Cette question se pose en moi si naturellement, que je ne peux m’empêcher de vous la poser, malgré votre gêne quand à ce sujet. Suis-je trop curieuse ? Oui – Sans doute. Et mon regard se tourne vivement sur la femme que j’aime – encore – tandis que ses mots à l’égard de Nathaniel me coupent dans mon dernier, par ailleurs, passa alors son regard de Dominura à Ludmilla, puis inversement, esquissant un léger sourire troublé, ne sachant guère q’il devait répondre à l’illustratrice, où laisser Grace répondre à Ludmilla. Finalement, il préféra ne rien dire, étant d’ailleurs bien trop lent à la détente, puisque sa conjointe se reprenait, confuse, en quelques mots adressés à Grace, après un furtif regard à Dominura – donc - Oh-euh ! Je ~ Excusez-moi Grace …Rougissant légèrement, la jeune femme pinça à nouveau ses lèvres entre elle - gênée d’avoir été si impulsivement curieuse – avant de reposer à nouveau son regard sur Dominura, s’excusant à nouveau, cette fois-ci de par ses yeux seulement, les réservant à son ex-conjointe Est-ce que c’est grave ? Puis, plus discrètement, la jeune femme exerça une légère pression sur la main de son conjoint afin de l’inciter à répondre à Dominura, et ainsi l’aider à changer le sujet de conversation. De son autre main, la jeune femme reprit sa coupe, ayant décidemment bien besoin d’alcool pour se calmer – quoi qu’en ayant déjà bien trop dans le sang pour avoir les idées Nathaniel reprit, reprenant un sourire de façade – quoi que non moins sincère – laissant entendre ce qui lui brûlait les lèvres depuis le début de la soirée - Et bien, nous n’avons pas encore d’enfants, mais cela ne saurait tarder !Une légère pause, et il laissa entendre, rayonnant - Ludmilla a d’ailleurs arrêté de prendre la pilule, récemment. Et lorsqu’elle sera enfin enceinte, nous nous marierons ! – N’est-ce pas ma chérie ? Se tournant donc vers Ludmilla, le jeune homme ne tarda pas à l’embrasser tendrement sur les lèvres, tandis que cette dernière ne pu s’empêcher de rosir davantage, une bouffée de chaleur désagréable venant s’emparer d’elle, alors qu’elle ne s’attendait pas à ce que son conjoint laisse entendre tout cela. Lui adressant néanmoins un léger sourire, la jeune femme ne répondit que d’un simple hochement de tête positif, accompagné d’un léger rire nerveux qui ne pouvait que sonner faux, pour quiconque sachant ne serait-ce qu’un peu les comprendre. Evidemment, Nathaniel n’y voyait que du feu, bien trop euphorique à l’idée de voir sa conjointe tomber qu’en était-il de la réalité ?Mmh. En effet, tout comme elle n’avait jamais été se confesser – et encore moins se repentir – pour sa bisexualité, Ludmilla n’avait pas réellement arrêté de prendre la pilule, continuant à la prendre en cachette de son conjoint, ne se sentant pas encore prête à avoir des enfants, et n’osant pas lui avouer. Evidemment, elle qui n’en avait jamais voulu, devait faire un effort énorme pour ne serait-ce qu’imaginer en avoir. Mais en voulait-elle, avec lui ? La jolie blonde n’en savait rien. Et finalement, son regard vint se poser sur Dominura, avant qu’elle n’esquisse un léger sourire en coin des plus significatifs Petite confidence complice, n’a pas à le n’en sommes pas vraiment là, tu … Chut ~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mar 2 Mar - 158 En répondant à la question de Nataniel, la scientifique ne fit pas réellement attention à ce qui pouvait vraiment se passer autour d'elle dans la pièce, jusqu'à ce qu'elle sente la main de Dominura dans la sienne, ses doigts se liant aux siens dans un élan rassurant, et qu'elle se rende compte du regard de Ludmila sur elle. Ainsi, revenant peu à peu à une coordination de ses pensées quant à la réalité, elle put voir les expressions à la fois curieuses, perplexes et interrogatives au fond de ses yeux brillants. Etrangement, cette image ne put que la faire sourire quelque peu, même si elle se doutait bien, au fond, que Ludmila n'en aurait pas grand chose à faire de connaitre les profondeurs de cette douloureuse réellement, de connaitre les détails de la vie d'une scientifique comme elle ?Après tout, elle n'était connue et appréciée qu'en particulier pour son travail, et peu de gens se penchaient sur ce qui pouvait se passer derrière, dans ses esprits, ou son ces faits, un léger sourire, sans sentiments, perla sur les lèvres maquillées de la grande femme, sourire offert à Ludmila, directement, comme pour lui certifier que la question n'était pas grave mais qu'il eut été préférable de ne pas s'éterniser sur le sujet. Cependant, cette expression de visage s'effaça aussitôt qu'elle eut posé ses yeux sombres sur Nathaniel, le fervent défenseur de sa cause tout comme de son appartement. Cet homme ne serait-il pas en train de sourire ? Ne serait-ce pas... Un sourire en coin qui perlait au coin de ses lèvres ecoeurantes qui ne laissaient rien entendre d'autre que d'hypocrites paroles à ses invitées, lorsqu'elles ne se perdaient pas en prières ou pardons à dieu ? Soudainement, sans prévenir, les pomettes de la grande femme se mirent à frémir, tandis qu'elle serrait les dents, presque prête à se redresser, se lever, et directement s'élancer vers Nathaniel et lui offrir le geste le plus humiliant au monde, celui de la baffe d'une femme, frappe divine tout autant que puissante de sens et de profondeur. Heureusement pour l'homme de maison tout comme pour le faciès agréable de la grande scientifique, Dominura avait laissé entendre ses mots justement à ce moment là, tout en retenant les élans de la belle russe en refermant la main sur son bras, comme devinant sa soudaine perte de conscience vis à vis du était-il de Nathaniel, donc ?Ses paroles se mélèrent à celles de Ludmila, sans dout d'abord quelle ne s'en rende vraiment compte. Elan coupé, par la même occasion, avant que les regards des deux anciennes amantes ne se croisent, Dominura esquissant un léger sourire quelque peu quoi pourrait bien se tourner la conversation, maintenant ?Je ne veux pas que nous parlions de s'il te plait. S'il te plait, s'il te plait...Etrangement, et pour le plus grand bonheur de l'illustratrice, Ludmila, qui avait tout d'abord demandé de plus amples informations à l'ethnologue se ravisa presque aussitôt, après un léger instant de silence, finissant par s'excuser auprès d'elle, sans doutes de sa curiosité, peut-être pour le fait en Excusez-moi Grace...Quelques mots, un rougissement Adorable ?Grace ne put qu'en être détendue, sachant à partir de cet instant que le sujet serait clos, ou du moins sur une pente certifiant qu'il ne serait plus remis sur le plateau. Ainsi se permit-elle un sourire, plus calme, à Ludmila, lui assurant d'une voix posée, recroisant les jambes avec une douceur extrêmement bien déclarée "Il n'y a pas de mal Ludmila, je vous en prie"Sourire assurant, curiosité était adorableMême si votre conjoint ne me plait plus guèreJe sais bien, aux dires de Dominura, que vous n'êtes pas mauvaiseVous n'aviez pas l'intention de m'en blesserAlors je ne fais que vous sourire, apaisée. Je sais que nous n'en parlerons son côté, Dominura croisa le regard de la belle blonde, à nouveau, remarquant non sans une joie interieure qu'elle ne souriait plus tant, mais se préoccupait plutôt de l'état des choses, s'hésitant à une question du regard Est-ce que cela est grave ? Assurant à son tour une expression apaisante du fond de ses yeux sombres, Dominura ne lui laissa comprendre qu'une chose Oui, pour elle, mais ne t'en fais donc pas, elle est un regard à la coupe de la charmante russe. Encore une de vidée ? Prends garde, petit chat. Il se pourrait que tes pensées finissent par se troubler. Et dieu sait si le ciel s'assombrit, au dehors, ne risquant pas d'améliorer ton état, si les prévisions météorologiques s'avèrent n'ai pas osé t'en soir, il y aura de l' chaudes et loin de se calmer,Exterieur tout aussi oppressant que nos liens ce doucement à l'entente de la voix de Nathaniel, Dominura ne tarda pas à laisser ses yeux se river sur lui, entrouvrant les lèvres, s'attendant tout en ne s'y attendant pas à la réponse qu'il partagea avec tous autour de la table Cela ne saurait le choc, niant sans doutes la réalité de ce que cet homme osait leur laisser entendre tandis qu'il avait a peine six mois derrière lui aen compagnie d'une femme autrefois libre et jeune dans sa tête à présent oppressée dans un carcan des plus sombres, Dominura laissa un sourire étrange trembler sur ses lèvres, dévoilant nerveusement ses dents parfaites N-Non... Nathaniel, je ne vous crois pas. Cela est les paroles s'enchainèrent, tandis que le catholique semblait fermement croire à ce qu'il disait, affirmant aux oreilles de Dominura un cauchemard sans avait cessé de prendre la piluleDès qu'elle serait enceinteIls se marieraientAhHaHaHahhaHaahaaaahhhaaahH... Non !!Laissant devant ses yeux ébahis le jeune homme se pencher vers sa future femme pour l'embrasser tendrement, Dominura se crut un instant sur le point de vomir, devant tant d'amour mielleux et terriblement niais, associé à ces promesses de familles qui semblaient plus que lointaines, lorsque l'on regardait Ludmila. C-Comment était-ce possible ? Se rendait-elle seulement compte de ce qu'elle était en train d'avancer ?Et, alors que Grace, pour combler le manque de réaction positive de Ludmila, haussait les sourcils, elle laissa entendre quelques mots, d'une voix comblée"Oh, déjà bien des projets en effet"Quelle originalité, également. Ironie certaine, au fond du fallait bien cela, pour passer sous silence le manque d'enthousiasme de la part de l'illustratrice, qui aurait pourtant bien laissé entendre, d'une amertume masquée d'hypocrisie rosée, qu'elle aurait été absolument raaaaavie de dessiner les faire-part de naissance ainsi que les invitations au mariage, moyennant quelques sourires et marques d'amitié de la part des deux tourteraux apparemment déjà bien partis vers leur monde de sucre et de finalement, les mots ne virent pas, sans doutes grace au nouveau regard que lui porta son ex-conjointe. Un rire nerveux ? Un acquiescemment incertain et plutôt imparfait ? Dominura, à cette entente, ne put s'empêcher de hausser légèrement les sourcils, pinçant les lèvres, les yeux pétillants Ludmila ? Ne me dis pas que tu lui laisses croire à de telles fabulations, tandis que tu m'accordes le droit de croire que tu ne fais pas partie des évènements qu'il ose étaler devant nous ?Que puis-je croire,Alors que tout semble s'agencer pour le meilleur comme pour le pire, entre nous ?Quelle soirée étrangeQuels regards bizarrements je laisse mes yeux sombres se poser sur ma n'ai rien à ajouter, n'est-ce pas ?Il ne faut pas que j'entrouvre les un sourire passe sur mon visage, comme répondant à Nathaniel comme à toi, petit chat Ah, t-très bien. Vous aurez donc des enfants ? J'en suis mot, de toute évidence, ne put sortir des lèvres de la grande un léger sourire de gêne, Dominura tenta bien de trouver ses mots, mais Grace fut plus rapide, d'un sourire, demandant où se trouvaient les toilettes. Evidemment, Nathaniel s'empressa de lui répondre, et, le remerciant gracieusement, elle s'eclipsa donc, sans doutes plus pour trouver quelque peu le repos et la solitude que pour réellement soulager son corps de quelques besoins. Après avoir suivi son aimée du regard, Dominura repporta ses yeux vert sombre sur Ludmila, mais alors qu'elle passait ses pensées en revue afin de lui laisser entendre quelques mots~KRAWH-BROOOOOOOOOWMMMMMhH~ !!Puissant coup de tonnerre,D'un coup,Sans sursautant sur le coup, lança immédiatement un regard à Ludmila, les yeux équarquillés Je te te t'ai basEn FranceEt tous ses souvenirs me reviennentTandis que toiIls te guettentAu tournant de ces éclairs Effrayants à tes yeuxCédant à l'effroi au lieu d'amour. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Mar 2 Mar - 1917 Aux paroles de Nathaniel, Ludmilla n’avait pu que redouter la réaction de Dominura. Au fond, elle savait bien ce que cette dernière pouvait penser de tout cela, la connaissant sans doute bien mieux que son présent conjoint lui-même. Comment pouvait-elle prendre ces annonces, tandis que son engagement vis-à-vis d’elle par le passé semblait s’être fait bien plus difficilement, et en plus de temps ? Sans doute ceci était-il seulement dû au fait qu’à l’époque, la jeune Russe ne connaissait pas encore le bonheur d’une vie à deux, y préférant sa liberté et son autonomie vis-à-vis de tout ce qui l’entourait. Evidemment, la force de son amour pour Dominura avait fini par la faire naturellement céder à une relation relativement stable, jusqu’à ce qu’elle y prenne finalement goût. Et maintenant ? Nathaniel était là, et lui promettait de l’être toujours. Pourquoi ne pas concrétiser tout cela ?Non. Je ne suis pas prête. Pourtant, tout le monde autours de moi semble absolument ravi, comme s’il s’agissait de la meilleure chose qu’il puisse m’arriver. Suis-je influençable au point de les croire, tandis que mon cœur ne me demande que de fuir cette situation, allant jusqu’à m’en faire mentir, nier certaines choses, à l’égard de l’homme que j’aime ? Je ne lui dis pas tout, pour ne pas le blesser. Je ne lui dis pas ce qu’il ne voudrait pas entendre, par peur de le perdre – Et de tout perdre, à mots, de la part de Grace, tandis que Ludmilla continuait à regarder son ex-conjointe, lui faisant donc part du fait qu’elle n’était guère sur la même longueur d’onde que Nathaniel sur ce sujet-ci. Que faire d’autre, tandis que son ventre se nouait d’une nouvelle appréhension, comme si – en quelque sorte – elle avait encore des comptes à rendre à la belle française concernant sa vie amoureuse. De toute évidence – mais inconsciemment – Ludmilla avait encore besoin de montrer à cette dernière qu’elle n’était pas aussi lié à cet homme qu’elle n’en avait l’air, et qu’il était encore hors de question pour elle de prendre le moindre risque de tomber enceinte pour l’instant. Comme pour lui laisser une sorte … d’ouverture ? Oh, et ce, même si la jeune femme n’avait pas plus d’intention à ce sujet qu’en début de des projets, oui, Grace. Des projets, que Ludmilla n’étaient pas prête à accomplir, malgré l’enthousiasme de son adorable conjoint. Car il l’était, tandis que ces belles perspectives le rendaient plus beaux, rayonnant d’un bonheur pur et sincère, réellement fou amoureux de la jeune Russe, et dévouée à son propre la jolie blonde ne pu que fuir Dominura du regard, incapable de supporter cette nouvelle tension en elle une seconde de plus. Pourquoi en venait-elle à culpabiliser, pour ces projets qui n’étaient pas même les siens ? Oh, peut-être parce qu’elle mentait consciemment à cet homme qui y croyait pourtant dur comme fer ? Ou était-ce seulement vis-à-vis de la belle française, qui restait pour elle la femme de sa vie, quoi qu’il s’y passe par la suite ? Je n’ai toujours voulu que toi, malgré moi. Mais les choses en sont autrement à présent, et je dois m’en contenter, sans plus même ressentir ce que je ressens pourtant à présent, n’est-ce pas ?J’ai voudrai ne pas vous avoir voudrai ne pas t’avoir vu avec surtout, que tu ne m’ais pas vu avec que j’aime, mais qui n’est sans doute pas à ton Grace quitta à son tour le salon pour se rendre aux toilettes, sous les indications avisées du maître de maison, retrouvant politesse et joie de vivre. Contrairement à Ludmilla, Nathaniel ne songeait absolument plus à ce qu’avait pu répondre leurs invitées à propos de leurs fils, y préférant sans doute son bonheur. La jeune Russe quant à elle se demandait toujours si ce sujet n’avait pas finalement été la part de gêne en trop entre eux, l’ambiance se trouvant être bien moins détendue à présent. Ou peut-être était-ce elle ?Ou encore, l’ambiance qui régnait au dehors, lui promettant quelques terreurs sans qu’elle ne s’y attende ? Car Ludmilla ne s’y attendait pas, n’ayant absolument pas pris la peine de regarder la météo, puisqu’il n’était pas prévu qu’ils sortent ce soir. Ainsi, terminant une nouvelle coupe de champagne – non sans se rendre compte qu’elle exagérait quelque peu – pour le coup – la jeune femme ne pu qu’être on ne peut plus surprise lorsque qu’un coup de tonnerre vint retentir au dessus de l’ !!Sursautant plus violemment encore que son ex-conjointe, la jeune Russe sentie son monde s’effondrer, comme cela lui arrivait à chaque orage, donc. Son cœur s’emballa bien rapidement, battant à une vitesse folle, et d’une force presque douloureuse, tandis que son regard se troublait d’une certaine inquiétude, déjà proche de la terreur. Sentant le regard de Dominura sur elle, Ludmilla ne pu que le lui rendre, ses lèvres s’entrouvrant tandis que Nathaniel – prévenant – passaient tendrement – se voulant rassurant – ses bras autours d’elle. Le laissant faire, ses mains s’accrochant par la même occasion au tissu sophistiqué de sa chemise, la jolie blonde ne pu néanmoins que continuer à fixer l’illustratrice, sentant les gémissements de peur lui venir malgré elle, tout comme les tremblement qui les accompagnaient. Evidemment, la jeune femme tenta bien de se calmer, espérant que ce coup soit unique, qu’elle n’aurait pas à s’isoler brusquement pour le pas s’afficher, comme elle le redoutait tant, dans ces cas là. De son côté, Nathaniel pinçait les lèvres, redoutant sans doute tout autant l’orage que sa conjointe à présent, quoi que pour de différentes raisons. Evidemment, le jeune homme craignait sans doute de ne pas être à la hauteur, de ne pas savoir rassurer et calmer la belle Russe, comme cela était déjà arrivé bien des fois. Oh, il avait beau être attentif, dévoué … Rien avait suffit à détendre la jeune femme, qui entrait en ces cas là en une sorte de transe paranoïaque incontrôlable, la rendant on ne peut plus nerveuse et violente. Les hurlements seraient-ils de mise, cette fois-ci ?KRAAAAAAAWH-BROOOOOOOOOOOOOOOOWMMMMMhH~ !!!Plus fort encore que le précédent, ce coup fit se lever brusquement Ludmilla, cette dernière repoussant violemment son conjoint, tandis que ses gestes se faisaient plus flous, relativement brutaux. Etouffant un cri de terreur, la jeune femme détourna finalement son regard de celui de Dominura, non sans toutefois lui ayant laisser voir quelques signes de détresse et de déboussolent, avant de fuir le salon, ses pas tremblant la menant jusqu’à la chambre de Nathaniel, en quelques maladresses effrayées. ClacClacClacEt la porte claqua derrière elle, avant que l’on entende un cri, sans doute étouffé par une couverture, que devait mordre la jeune femme. Ainsi se recroquevilla-t-elle sur elle-même, là, sur ce lit aux draps d’un blanc parfait, tremblante et pleine d’appréhension quant au prochain son qui viendrait l’atteindre d’au dehors. Malheureusement pour elle, le rideau de la chambre n’était pas même fermé, lui laissant entrevoir quelques flashs lumineux – de très loin encore – ainsi que l’effet du vent sur les arbres aux son côté, Nathaniel était resté assis, son regard se posant alors sur Dominura, avant qu’il ne laisse entendre, un léger sourire aux lèvres, comme s’il était le seul à savoir réellement ce qu’il se passait à présent dans la tête de la jeune Russe - Excusez-là, cela devrait oui, et comment ? Cela ne passera pas, tant que l’orage sera là, Nathaniel. Heureusement pour lui, Ludmilla ne pouvait rien entendre de cela, étant bien trop refermée sur elle-même pour tenter d’écouter ce qu’il pouvait se dire au salon. D’autant plus que – rapidement – le tonnerre vint à nouveau la faire frémir d’horreur, plus encore que les fois précédentes. Un coup plus fort, violent, qui ne manqua pas de la faire hurler de terreur. Finalement, quelques appels vinrent entrecouper ses cris, relativement calmes encore, presque ordonnés - Nathaniel ! ~ NATH. !J’ai besoin d’une larmes vinrent perler le long de ses joues, bien pâles depuis le premier coup de tonnerre. En effet, on ne pouvait nier que Ludmilla était à présent livide, malgré l’obscurité de la chambre dans laquelle elle se trouvait actuellement. Finalement, ses cris se calmèrent un instant, tandis qu’au salon, Nathaniel se levait, prêt à s’excuser pour rejoindre sa conjointe – bien trop heureuse que cette dernière fasse appel à lui. Mais il fut soudainement coupé par un nouveau coup de tonnerre, qui eut cette fois-ci pour suite quelques appels auxquels le jeune homme ne s’attendait pas - HHHHHHHHHAAHHHHIIAHHHHHHHHH !!! DOMINURAAAAAAAAAAA !Cris déchirant, bien plus suppliants que les appels portés à Nathaniel. Quelques appels, qui continuèrent, Ludmilla entrant visiblement dans une phase de panique irréversible, son cœur battant à tout rompre tandis qu’elle se débattait seule sur le lit, s’accrochant aux couvertures, aux oreillers, en vain. - DOMIIIIIIIHhHHh !! DOMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIHhH ! AAHHAHhahhAAHHHHHHHHHH !!Le jeune femme ne semblait plus pouvoir s’arrêter de hurler, ne réalisant sans doute pas elle-même qu’elle était en train d’appeler son ex-conjointe plutôt que l’actuel. Ce dernier, par ailleurs, sembla tout à cou bien moins chaleureux, se mettant dors et déjà sur le passage de l’illustratrice, prêt à la retenir au cas où elle oserait répondre aux appels de Ludmilla. Finalement, son regard se fit quelque peu plus dur, tandis qu’il laissait entendre, faussement désolé, et comme si cela allait de soi - Je suis désolé, vous devriez vais m’occuper d’ ne veux pas de ne sait plus ce qu’elle dit.~Mais oui, je sais, ce que je sais, que j’ai besoin d’ je t’en tu es la seule à pouvoir me es la seule, réellement capable de me rassurer, importe que cela ne lui plaise hurlerai ton nom, jusqu’à sentir son besoin de de toi,Mon Jamais. Contenu sponsorisé Empire State of Mind Sujet Re Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Serait-ce possible alors ? ~ [PV Dominura] Page 1 sur 2Aller à la page 1, 2 Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille
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