je ne supporte pas mon mec quand il a bu

Lorsquequelqu'un vous crie dessus, il est tout à fait naturel que vous vous sentiez intimidé, effrayé et minimisé dans votre capacité à réagir de façon appropriée. Toutefois, la Ona fait la fête et on a un peu bu, et à cette soirée là, il s'est tapé 2 de mes amies. Le trouvant assez beau à l'époque et ayant bu, je lui ai dis que je voulais le faire aussi. Et du Voiciquelques conseils pour que vos pets sentent moins fort : 1. Mangez beaucoup de fruits et de légumes. 2. Évitez autant que possible de manger des aliments transformés. 3. Évitez de manger de la viande, car elle est souvent plus riche en graisses et nécessite plus de temps à être digérée par votre organisme. 4. Nepas supporter le bruit de mastication est une maladie ! Le 8 février 2017. Certains d’entre nous ne supportent pas entendre leurs voisins de table mastiquer. Lifet met, nan, ne reviens pas Ah, qu'est-ce que j'ai bu, quand tu m'appelais plus Quand t'as décidé que pour toi, j'existais plus J'suis pas tah le love, j'suis un mec de la rue Tu m'aurais raconté, bah, j't'aurais pas cru Ah, comment j'te kiffais, j'voyais plus tes défauts Moi, c'était pour de vrai, toi, c'était pour de faux Ah, comment j'te kiffais, j'voyais plus tes défauts Moi, Rencontre Avec Joe Black Musique De Fin. Bonjour, Tu sais s'il se comporte différement avec ses copains et qu'il ne maitrise pas sa consommation d'alcool c'est qu'il a déjà un problème avec l'alcool. Pour être alcoolique il n'est pas nécessaire de consommer de l'alcool à outrance tous les jours, on peut être alcoolique "occasionnel" aussi. C'est lorsqu'on a des difficultés à résister devant la prise d'alcool, sachant notament pour ton ami qu'il devient méchant ensuite mais il le fait quand même, c'est un problème. Il y a plusieurs formes d'alcoolismes, l'alcoolisme mondain entre autre aussi, l'alcoolisme des week end occasionnel donc et il y a le typique alcoolique qui boit ses 3 bouteilles de vins journalières, qui ne roule même plus sous la table tellement il est en permanence bourré. S'il ne prend pas son problème en main de suite, il te pourrira la vie parce que ces personnes là se confondent toujours en excuses après avoir été infectes jusqu'à la prochaine occasion...C'est un cercle infernal d'ou je te conseille de sortir le plus vite possible. J'en parle en connaissance de cause, j'ai eu le même problème à la maison, sauf que mon mari ne m'insultait pas, mais il avait du mal à se controler occasionnellement avec l'alcool. Demande aux femmes d'alcooliques et tu verras qu'ils ont souvent 2 facettes, la gentille et l'autre quand ils ont bu...c'est bien pour ça que c'est si difficile de les quitter. Les Forums de discussion Forums pour l'entourage Souffrir dans son couple à cause du cannabis Forums pour l'entourage Par Profil supprimé Posté le 19/03/2014 à 10h09 101 réponses Profil supprimé - 24/05/2016 à 10h48 Merci à toutes pour vos messages et encouragements Lyaya, le droit social est passionnant, il fait partie de ce que je traite à 80 % ! bonne continuation votre indépendance financière est primordiale vis à vis de lui et pour ma part il sait que je suis "libre" financièrement, ce sont mes enfants qui me retiennent enfin je me convaincs que c'est ça l'aîné bientôt 11 ans a parfaitement compris la situation et en souffre autant que moi, le cadet encore un peu jeune et plus naïf d'un caractère plus docile aussi reste très attaché à la cellule familiale papa maman enfants sous le même toit... voilà ce qui me retient, mes fils les protéger de la douleur d'être séparé de leur père, alors je les prépare jour après jour, je me prépare ... jour après jour. merci à toutes Profil supprimé - 01/06/2016 à 09h38 Bonjour, Mon conjoint fume du cannabis de façon chronique depuis de nombreuses années. Il ne souhaite pas arrêter, il diminuera un jour…. Lorsqu'il fume son comportement " absent" me dérange. de plus comme sa consommation est importante, souvent matinal, j'interprète cela comme un mal être et cela m'angoisse quotidiennement. Tous ses amis fument énormément. Les quelques fois où il ne fume pas je le trouve plus impatient et plus agressif. Il est dans le déni complet, sa consommation ne le dérange pas et cela a été la source de nombreuses disputes. Je pense que lorsque le couple présente un problème récurrent de ce style la relation est destructrice. Ca n'est pas à moi de lui dicter sa conduite, d'autant qu'il ne veut pas arrêter, et ça n'est pas moi qui l'aidera dans son mal être. le combat est perdu d'avance s'il ne se remet pas en cause. Il n'est pas prêt a arrêter de fumer, il me l'a dit, la situation est clair et les conflits ne feront que s'aggraver et je risque d'en laisser des plumes. C'est pour ça que je réfléchie sérieusement à rompre Aucunement pour faire du chantage affectif. Je ne suis pas la bonne personne pour l'aider ça n'est pas le moment et pas à moi de le faire. la relation me fait souffrir et son mal être m'angoisse. Nous avons le choix de quitter une situation qui ne nous convient pas ou qui nous nuit. Si nous connaissons nos limites, si nous nous respectons, nous savons qu'un avenir plus épanouissant est possible. Si nous restons cela signifie que nous acceptons une situation qui nous fait souffrir et nous restons car nous avons l'impression que c'est ce que nous méritons. Il suffit de retrouver l'estime de soi perdu pour reconnaitre l'évidence personne ne mérite de souffrir dans une relation et nous avons tous le choix d'assumer nos valeurs. Profil supprimé - 22/06/2016 à 02h31 Bonsoir à tous, Je me trouve un peu ridicule d'écrire après avoir lu tous ces témoignages de femmes qui vivent des choses bien pire que moi. J'ai 32 ans et je suis avec un "homme" gamin de 30ans qui fume depuis ses 15 ans. Nous avons emménagé ensemble en septembre, cela fait 2ans que nous sommes ensemble et je n'ai découvert son addiction que le 1er janvier de cette année. Heureusement nous n'avont pas d'enfants. Je ne connais pas sa consomation, je ne sais pas si elle est quotidienne ou pas, il élude toujours le sujet. Depuis que j'ai découvert les 4 mégots dans le cendrier le 1er janvier il ne fait que mentir à ce sujet. Il me dit qu'il va arrêter, mais je retrouve toujours des mégots ou des sachets d'herbe dans ses chaussettes... Il s'enerve contre moi, disant que j'imagine des choses. Il est agressif peu envers moi, mais plus envers les autres, il est parano, notemment en voiture... Les mêmes symptômes que ceux précédemment cités. Il n'avait pas non plus rendu son ancien appartement, donc il paye aussi son loyer, du coup il est fort dans le rouge. Je vois une psychologue depuis longtemps, en qui j'ai confiance, qui l'a rencontré et m'a dit que c'était malgré tout quelqu'un de bien... Effectivement il n'a pas un mauvais fond. En dehors de ça c'est quelqu'un de bien. Bon ne fiche pas grand chose à la maison non plus, mais travaille beaucoup. Je n'ai jamais connu ce milieu et ça me rend malade, j'ai l"impression de ne plus savoir qui il est. Là je l'ai surpris entrain de fumer encore une fois, il ne fume que lorsqu'il me croit endormie et je ne le supporte pas! J'ai l'impression qu'il ne va jamais s'arrêter. Je ne veut pas d'une vie avec un drogué, qui est dans le déni qui plus est. Je suis désolée de la longueur du message et je sais que la décision de rester ou partir n'appartient qu'a moi, mais je me pose beaucoup de questions et c'est la première fois que j'ose le partager avec des personnes qui vivent plus ou moins la même situation, même si mon parcours est plus soft J'ai peur qu'avec le temps la situation ne s'aggrave et ne dégénère. Je n'ai pas envie d'attendre vainement qu'il se décide à arrêter pour pouvoir fonder une famille. Allez je m'arrête là, je n'attends pas de réponse miracle, j'avais juste besoin d'en parler enfin et peut être avoir quelques avis. Merci d'avance Profil supprimé - 23/06/2016 à 21h07 Bonsoir à tous, Pour la 1 ère fois je me lance à raconter un petit bout de ma vie, je pleure déjà. Voilà j'ai 34 ans, mon mari 39, ensemble depuis 13 ans, 4 enfant, il fume depuis ses 14/15 ans, depuis à peu prés 5/6 ans il fume 20 à 25 joints par nuit et bien sûr dort toute la journée . Aujourd'hui je suis épuisée, fatiguée, limite en dépression, j'ai l'impression de me battre pour quelque chose qui ne changera jamais . Il ne sort plus mais alors plus du tout, ne descend mm plus la poubelle, ne décharge mm pas la voiture, nous sommes 6 et j'habite au 5 ème sans ascenseur. Il me traite comme de la merde, m'insulte à quelque fois des excès de violence, il tape dans les portes ou jette des choses sur les murs, m'a frappé 1 fois lorsque j''était enceinte de 2 mois. Il n'à pas recommencer je lui ai dit que si il recommence j'avertirai son oncle et ses cousins. Je l'ai quand mm dit à 1 de ses cousins, il me rend visite de temps en temps, et a 1 de mes cousins, après je ne raconte pas ma vie à personne, toute sa famille le critique, moi je le défend tout le temps, je suis peux être conne mais je l'aime énormément, et je n'ai pas envie de le perdre. En 13 ans nous ne sommes jamais sorties ensembles, jamais de vacances, il me dit tu peux partir toute seule avec les gosses, wé super !!! Bon c'est vrai que j'ai de la chance d'avoir de la famille un peu partout en france et que quand je sature je pars 3/4 jours mais pas plus, je n'y arrive pas. J'ai toujours espoir qu'il change, je ne sais mm pas si je suis heureuse ou malheureuse, il ne me dit pratiquement plus qu'il m'aime, chaque fois je lui dit tu ne fait jamais rien avec moi, tu as honte de moi !!! il me dit n'importe quoi mais je sors pas, voilà. Sinon je suis bien évidemment une parano, mito et j'en passe .. Par contre dés que je veux quelque chose une fringue ou une connerie, ou aller au spa avec mes copines c'est le 1 er à me faire plaisir et il garde les enfants. Je n'ai pas envie de le quitter, je garde espoir, je pense que sa viens de son enfance, il à perdu sa grand-mère qu'il adoré et ensuite son père qu'il à du enterré tout seul, je sais que sa à était très dur pour lui, et il à était rejeté par sa famille maternel vue qu'il voyait son père et sa grand - mère, ce sont les seules choses qu'il à bien voulu me raconter , sinon il se renferme sur lui mm, me dit tjs qu'il va bien alors que je vois bien que ce n'est pas vrai, mais je n'insiste pas sinon il s'énerve. Aujourd'hui il à vue un psy addictologue, il n'a pas voulu m'en parler, il m'a juste dit elle m'a poser des questions sur toi et les petits, c'est tout . J'aurai bien aimer en savoir plus, mais je suis trop curieuse. Je suis quand mm contente qu'il fasse les démarches et j'espère vraiment que sa lui fasse du bien, malgré qu'aujourd'hui je l'ai vue boulverser ne m'a pratiquement pas parlé et il est partit ce coucher quand nous sommes rentrés . J'ai aussi fait une demande pour partir de la région parisienne, je pense que c'est aussi l'environnement qui fait qu'il reste dans cette mer.., donc nous verrons bien, je garde espoir comme je l'ai tjs fait, et j'avance dans ma vie comme je peux. Bonne soirée tout le monde Profil supprimé - 12/07/2016 à 16h12 Bonjour, je lis tous ces témoignages et je vous rejoins dans ce que je vis. Je suis mariée à un homme qui consomme régulièrement de la marijuana. Je ne connais pas exactement la quantité mais je suppose qu'elle augmente petit à petit car son comportement change de plus en plus. Non seulement il se montre irritable, insultant, il ne fait rien dans la maison, il passe son temps sur son ordi, il devient sale,il n'assume rien financièrement je paie tout remboursement de prêt, factures, impôts, assurances etc mais en plus il tient des propos paranoïaques il m'accuse de vouloir le contrôler, lorsque je lui demande qui sont les gens qu'il côtoie des fumeurs évidemment, il me sort une fiche détaillée, il me ment, me cache ce qu'il fait en m'accusant de le surveiller. Il m'a dit récemment qu'il voulait être libre. Il a alterné les périodes" sans" mais chaque fois il a replongé et c'est de pire en pire. Je sais qu'il doit se sortir de cette addiction mais aujourd'hui il refuse d'envisager un réel sevrage. En fait il considère que je suis responsable car je ne lui apporte pas ce qu'il demande je ne suis pas assez présente, pas assez tendre, je ne m'intéresse pas à lui sauf que lorsque j'essaie de le faire soit je le surveille soit ça ne me regarde pas, je n'en fais pas assez dans la maison...Jusqu'à maintenant je pensais que j'exagérais la situation mais à la lecture de vos témoignages je me rends compte que je ne suis pas seule à vivre cela. Je sais que la solution ne peut venir que de lui. En fait il devra faire un choix entre "Mariejeanne" comme il dit et moi. A force de subir son comportement odieux mes sentiments sont bien émoussés et je serais bien incapable de faire une liste positive de qualités ou comportements le concernant. Et contrairement à encore très récemment je me vois très bien vivre sans lui. A m'avoir fait de nombreuses promesses qu'il n'a pas tenues je n'attends plus rien de lui si ce n'est qu'il ait enfin le courage de partir puisqu'il dit qu'il veut reprendre sa liberté et vivre comme bon lui semble. OUF! quel bien de pouvoir écrire et merci d'avoir eu la patience de me lire. Bonne fin de journée Profil supprimé - 14/07/2016 à 13h51 SAlut tout le monde, Idem ici, quand j'ai lu tous vos posts j'ai reçu comme un électrochoc. Je vis avec mon compagnon que depuis un peu plus d'un an et ce parce que nous avons une fille ensemble et c'est seulement en vivant avec lui et avec le temps que j'ai commencé à me poser des questions. En fait donc depuis le début je sais qu'il fume et j'ai voulu le quitter à cause de ça mais il a réussi à me convaincre que ce n'était rien, que c'était la même chose que boire son verre le soir. Quand je l'ai connu j'ai de suite su qu'il n'était pas bien car il fumait, buvait bcp seulement en compagnie de ses amis, il avait peu d'hygiène et sa maison n'en parlons pas, bref mais il m'a attiré car c'est qqun de très gentil et intéressant, très doux aussi et humain et j'ai cru naivement que je pourrais l'aider à remonter la pente. Je n'ai jamais voulu habiter avec lui car il fumait partout dans sa maison et je détestais ça et pour lui c'était hors de question d'arrêter de le faire pour moi par contre quand je suis tombée enceinte il l'a fait, enfin il fume mais à un autre étage et tout est bien barricadé. On a décidé de garder notre bébé et aucun de nous ne regrette au contraire, nous l'aimons infiniment et il a bcp changé depuis un an. En effet quand je l'ai connu il passait son temps devant le pc, jour et partie de la nuit car c'est un gros joueur également, il fumait partout et dès le matin quand il n'allait pas bosser, il a pris d'autres drogues mais ne le fait plus et a un coté raisonnable malgré tout, il s'occupe bien de notre fille mais voilà, après m'être persuadée que c'était pas si mal finalement je me rends compte que plein de choses ne vont pas. Déjà il n'a pas plus d'hygiène c'est parce que je lui demande de se laver qu'il le fait et encore souvent c'est qu'un jour sur deux tout au plus. Je m'occupe du ménage quasi entièrement, il descend les poubelles et fait la vaisselle de temps en temps quand il y pense ou que je lui demande. Il n'est pas contraire de m'aider mais comm tj il me dit qu'il n'y pense pas et que surtout il le fait pour moi car luis 'en fout que ce soit sale. Je m'occupe de notre fille d'un an + la maison + la paperasse et dieu sait qu'il y en a, il bosse pour le moment mais sinon peut avoir de longue période sans donc pas qu'il est débordé non plus. Alors comme je dis j'ai de la chance car il est gentil, s'occupe de sa fille et veut tj bien m'aider mais par contren'a aucune ambition, jamais envie de rien, si je le laissais faire il passerait bcp de temps devant son ordi, le soir je vais me coucher tot et lui vegete devant l'ordi jusque tard dans la nuit, moins tard quand il bosse, on passe rarement de soirée ensemble car il veut fumer et jouer, on n'a plus de rapport ou presque, le sexe l'intéresse pas en tout cas pas en couple, tous ses amis fument aussi ou sont alcooliques, il m'a tj prise pour une extra terrestre car pour lui tout le monde fume et que je dois être l'exception seulement pour moi c'est l'inverse, je ne connais aucun fumeur à part lui.. Aussi nous avons plein de choses à faire à la maison travaux et je dois m'occuper de tout sinon il ne le fait pas appeler, prendre rdv et pour les travaux qu'on peut faire je dois être derrière pour que ça avance un peu. J'avoue que personne autour de moi ne comprend dans le sens ou en effet il est vraiment "mou", il se lève tard le matin quand il est en congé et me laisse gérer alors qu'on a un bébé, si je lui demande il va m'aider mais je vois bien qu'il ne tient pas car il va dormir super tard bref. Il ne compte pas arrêter par contre reconnait qu'il fait ça pour ne pas penser mais ne veut pas gérer ses soucis autrement. Aussi j'ai remarqué que quand il n'a pas fumé il est plus irritable, le matin je ne dois presque pas lui parler, il dit que c'est moi qui l'énerve pourtant je trouve pas que je sois si pénible. Par contre quand il a fumé je le trouve tout gentil et il fait semblant de rien. je ne sais pas si c'est lié au cannabis. puis sa mémoire n'en parlons pas, il oublie bcp de choses... Et bon moi ce qui me dérange dans tout ça c'est que non je ne l'accepte pas comme il est je pensais y arriver mais je n'y arrive pas et il le sent, ne se sent pas aimer et donc est agressif par moment, on se dispute pour un rien, je ne supporte plus sa mauvaise humeur et le fait qu'il ne fasse rien de lui même sans compter l'absence de nos rapports, ce qui me pèse bcp et son manque d'hygiène. Le problème c'est que nous avons une fille et je ne veux pas le quitter. du coup je ne sais pas quoi faire.. enfin voilà pour mon témoignage.. Profil supprimé - 21/07/2016 à 22h38 Bonsoir, On vit toutes quasiment la même chose. Pour ma part, mon mari a arrêté de fumer, mais malheureusement ça ne se passe pas comme je l'aurais imaginé. Pour résumer, nous sommes mariés depuis 5 ans, j'ai 28 ans, lui 26. Je suis enceinte de 8 mois. Et il a arrêté de fumer il y a un peu plus de 2 mois. Avant, il fumait pas loin de 10 joints par jour, dès le réveil. En plus de ça il jouait au PMU donc dépensait tout son argent et le reste du mois je devais lui avancer il me rendait le mois suivant, si je refusais, je me faisais insulter de tous les noms, menaces, etc... donc pour avoir la paix on cède. Au quotidien sinon il ne participait à rien à la maison mais était relativement gentil avec moi, semblait amoureux, mignon etc .. Il y a 3 mois il se fait suspendre son permis à cause du cannabis donc il décide d'arrêter pour pouvoir le récupérer. Il s'éloigne de tous ses amis puisqu'ils fument tous, se rapproche de sa famille, se met dans la religion etc... Et tient très bien. Aucune "rechute". Sauf que depuis qu'il a arrêté moi je vis un cauchemar, je me fais insulter du matin au soir, pour rien bien évidemment, il critique tout... bref je suis la pire femme du monde. Au début je prenais sur moi, je savais que c'était lié au manque, mais 2 mois et demi plus tard?????? C'est comme s'il avait d'un coup changé son regard sur moi, comme si l'arrêt du cannabis l'avait rendu lucide sur le fait qu'il ne m'aime pas finalement, que je ne lui conviens pas, chose dont il n'avait pas conscience avant car tout le temps "à louest". Ou alors c'est encore le manque qui lui fait avoir ce comportement? Le pire, c'est qu'il n'est comme ça qu'avec moi, avec les autres il est agréable. Aux dernières nouvelles il m'a dit qu'il allait partir, tant mieux, je n'attends que ça. Je ne veux pas rester avec quelqu'un capable d'être aussi méchant et cruel avec moi gratuitement, surtout quand le bébé sera là. Tout ça pour dire que je ne sais pas si cette violence verbale envers moi est liée au manque + de 2 mois après, j'insiste ou s'il se rend tout simplement compte qu'il ne m'aime plus. Bon courage à toutes car la vie avec quelqu'un qui fume est bien triste... Profil supprimé - 24/07/2016 à 17h43 C'est incroyable comme nos histoires se ressemblent toutes. Je suis enceinte de 6 mois, et mon conjoint ne travaille pas. Nous vivons ensemble à l'étranger dans un pays qui ne propose aucune aide sociale. Malgré mon maigre salaire, j''assume tous les frais financiers de notre vie de couple. Il nous est très difficile de finir chaque mois, ce qui met met dans une situation d'autant plus compliquée par rapport au cannabis. Dois-je payer sa consommation ? Parfois, il réussi à me faire céder quelques euros pour se payer son joint de la journée. De ce fait, il ne fume pas beaucoup, mais chaque jour il me réclame un peu plus. "juste 30 centimes !", "juste 1€", "5€ et j'en ai pour la semaine..." tous les jours ! C'est fatiguant quand on pense que je calcule le moindre centime rien que pour pouvoir acheter mon pain ! Donc parfois je refuse de lui donner un centime de plus pour ce vice, angoissée par l'arrivée de notre futur bébé et au vu des difficultés financières que nous rencontrons déjà ! On rentre dans des discussions pleines de reproches et ca me donne envie de pleurer. Alors il récupère le moindre centime qu'il peut trouver dans mes poches, mon sac, ou sous le canapé. Dans le pire des cas il s'endette de quelques euros chez le gitan d'en bas... Et sinon, vous connaissez déjà les effets crise de nerfs pour une bouteille non fermée, pour une chaussette pas rangée, reproches, rejet et autres joyeusetés. Je n'ai pas une situation facile au travail, et la grossesse me fatigue, le stress de notre situation financière me plombe le moral. Si je dois en plus gérer le manque de mon conjoint, c'en est trop... Pourtant je l'aime plus que tout, et je ne souhaite que le meilleur pour nous. Ca me tue de le désirer autant, de vouloir le savoir près de moi pour affronter le futur, de vouloir qu'il me prenne dans ses bras pour me rassurer, mais de savoir qu'il vaut mieux le laisser tranquille au risque de se faire vivement rejeter et de finir avec des larmes sur les joues. De plus, cela m'inquiète de voir les modérateurs de ce site encourager les témoins à quitter leur conjoint. On dirait qu'il n'y a pas d'échappatoire, qu'on fini toutes par devoir lui proposer entre nous et les joints, et que je m'en rend compte trop tard puisque bébé est déjà en route. Je vais tenter d'engager la discussion une énième fois, de lui parler de mes inquiétudes à ce propos, en espérant qu'il soit assez intelligent pour ne pas choisir d'abandonner sa copine et son futur bébé juste pour la putain de fumette Profil supprimé - 04/08/2016 à 10h00 J'ai lu les autres messages et vous trouve toutes bien courageuses! Je me rends compte que je n'ai vraiment pas à me plaindre car même si mon conjoint fume, il reste responsable, ramène de l'argent et ne fera jamais je pense passer le cannabis avant notre fille. Maintenant on a la chance de ne pas manquer d'argent puisqu'il a reçu un héritage donc c'est déjà une grosse épine hors du pied, il dépense 200 euros au moins par mois pour ça sans que ça pose aucun souci. C'est sur que je trouve ça énorme mais c'est son argent et il en fait ce qu'il veut. Ce qui me dérange c'est le fait qu'il ne sache pas vivre sobre et que ça passe avant notre couple. Il ne se rend pas compte de l'impact que ça a et pire il s'en fout que j'en souffre et c'est précisément cela que je n'accepte pas. Certes, on ne doit pas tout changer pour l'autre mais il y a un minimum de choses à faire quand on est en couple selon moi et lui reste comme il est sans prendre en compte mes besoins-préférences-ressentis. Il fait des efforts mais ils sont tellement minimes et ne suffisent pas. Cette semaine Il n'avait plus de cannabis et n'arrivait pas à en trouver et a passé son temps au tél pour en trouver car après deux trois jours sans il en pouvait plus, alors que dans le passé il ne cessait de me dire qu'il peut s'en passer, que c'est un plaisir mais là comme il est en vacances il lui en fallait absolument et ça m'a saoulée d'autant plus que j'ai une maman qui est dépendante à l'alcool et que j'ai vécu la même chose toute ma jeunesse, la bouteille passait avant tout et plus rien d'autre ne comptait, on devait se débrouiller et là je revis la même chose avec lui, il est là mais sans être là, et puis il est accro aux jeux vidéos aussi du coup passe bcp de temps dans sa salle de jeu avec sa fumette. Moi je rêve de vivre avec qqun de mature, qui aura envie de participer au ménage il le fait mais pas d elui même, qui aura envie de passer ses soirées avec moi, qui aura envie de me faire plaisir il ne fait jamais rien pour moi car est trop absorbé par ses trucs.. tout ça aussi font que mes sentiments ne sont plus pareils puisque je me sens pas réellement aimée, désirée.. Courage à tous! >> Répondre au fil Retour Le deal à ne pas rater Coffret Pokémon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français où le ... Voir le deal Morsmordre DEPARTEMENT DES MYSTERES. » Pensine. Corbeille AuteurMessageMorsmordre Democraty is always an abuse of statistics. » Sujet Faire le bien et le faire bien. Ven 28 Jan - 708 Et voilà, ouverture du premier sujet d'entraînement des jeunes AD. Donc je laisse l'entière liberté à Ted de monter son entraînement comme elle l'entend, mais en fait pour ce premier cours il faudrait surtout de la pédagogie, des explications et tout, plus que des premiers sortilèges en eux-mêmes. Que vous sachiez qui sont vos alliés et dans quoi vous vous êtes engagés.✄- Lily L. Potter Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 29 Jan - 1136 On est en mars. Il commence à faire beau, et en plus il fait bon. Un début de chaleur, la fin de l’hibernation des marmottes. Eh oui, Lily se réveille ! Et c’était super rigolo de la voir se réveiller ! Bon, ce qui était moins rigolo c’était le contrecoup de la manifestation en fait. Elle détestait de plus en plus les lieux clos, distribuait de violentes baffes à ceux qui osaient ne serait-ce qu’à peine l’effleurer, et elle était verbalement plus violente avec ceux qui la charriaient sur sa crise d’agoraphobie. Puis de verbalement violente, elle devenait physiquement violente, et là on sentait qu’elle était une gamine de Harpies, rien qu’à la force des branlées qu’elle collait à ceux qui l’emmerdaient. Lily se transformait en véritable terreur 8D. Le dernier en date c’était un Serpentard qui l’embêtait pour … Excellente question, qui l’embêtait quoi, et Lily lui avait collé une dérouillée tellement sévère qu’elle avait envoyé son camarade d’un mètre quatre-vingt quinze et le même poids en muscles à l’infirmerie. Donc maintenant on évitait un peu de l’emmerder, ce qui était on ne peut plus tip top pour elle. Puis le changement se montrait aussi pendant les cours, surtout celui de métamorphoses. Appartenant à ceux qui foutaient la merde pendant les cours des remplaçants, elle n’avait pas hésité à remettre sèchement à sa place un élève qui voulait recommencer, et ce en plein cours de métamorphoses. Personne n’embête le beau gosse lupin qui sera bientôt son … Euh … Le mari de sa cousine Victoire. Donc son tonton ? Ouais on va dire. TONTON TED 8D. Hrm pardon XD. Enfin bref, là actuellement elle était dans sa salle commune, dans les cachots, sous le lac de Poudlard, et malgré sa claustrophobie agoraphobie aquaphobie – ouais ça fait beaucoup – elle s’en foutait totalement, après cinq ans d’habitude. Alléluia. Bref. Vautrée dans un canapé émeraude, elle papotait innocemment avec Meghan, genre on ne va pas se tirer dans moins de cinq minutes pour prendre part à un truc illégal, ce n’est pas du tout notre style voyons, et laçait ses chaussures. De jolies Doc Martens noires. Cool. En fait elle était vêtue comme un corbeau la demoiselle, ou plutôt comme une mini-punk, ce qui faisait assez sensation dans sa salle commune. Et pourquoi personne ne l’avait encore abordée ? Peut-être parce qu’un nounours d’un mètre quatre-vingt la tenait dans ses bras. Waw. Enfin en attendant, elle laçait ses pompes en papotant avec Meghan et en sirotant de la vodka tout en surveillant que son – beau et grand et sexy et magnifique et gruatant et nyutant – petit ami en reste à l’eau plate. Ou gazeuse. Enfin bref on s’en branle, à l’eau quoi. Se levant de son confortable canapé – bon ok elle était assise sur les jambes de Nathan – on ne la fixa pas trop longtemps parce que monsieur nounours se leva aussi en attrapant sa main. La classe moi je dis. Se hissant sur la pointe des Doc, elle posa ses lèvres sur celles de son Nathan – DE SON NATHAN A ELLE, espèce de pétasse peroxydée qui le reluque avec envie ! – et se dirigea vers la porte de la salle commune toute guillerette, couverte comme une marmotte anémique et frileuse non sans foudroyer la blondasse du regard. Ce ne fut que lorsqu’elle vit celle-ci se pencher vers une de ses camarades pour murmurer d’un air méchant qu’elle lâcha sans s’en rendre compte la main de son petit ami pour se diriger vers la demoiselle et poser ses deux mains sur la table pour se pencher vers la sale blonde. Quoi, t’as un problème ? » En effet, la façon dont tu reluques mon mec me déplaît fortement. » Va falloir t’y faire. » Je suis une Potter, pas une soumise. »Silence autour d’elles. Oui, Lily venait bien d’insinuer que la blondasse était une soumise. Pas du tout contente, celle-ci se leva, faisant abstraction de Nath qui s’approchait d’un air menaçant. T’es trop mignon mon cœur > - qui faisait chier ceux qu'il pensait plus faible. Et bah ça c'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Il avait pas choisi le bon cheval... ’ Je me passerais du nombre de gars qui m'ont tapé dessus, ça tient pas sur tes doigts, tu risques de te perdre dans le néant de ta boite crânienne. Pense pas ajouter les doigts de pied, y en a un peu plus. Ma copine, j'te jure que si tu l'approches je te tuerais avant qu'elle-même ne prenne l'initiative de le faire. ’- Si tu me touches Lou te collera. Et ouais, elle est préfète. Toi t'es qu'une bouse. T'as plus que ta langue pour te défendre, mais j'vais tellement te faire baver que tu pourras même plus embrasser ta pétasse d' stop and go avant la répartie de notre redskin favori. Pour commencer, vous avez sûrement compris que ce gars allait finir les dents par terre. Bon. Ensuite, je vous signalerais qu'il y a vraiment des cons pour oser s'attaquer directement à des types comme m'sieur Derek, celui que tout le monde réclame en garde du corps! D'ailleurs notre tas de muscles préféré vient de se lever subitement. Il venait aussi d'attraper le gars par le col pour le soulever du sol comme s'il n'avait été qu'un fétu de paille. De son bras non-enroulé dans l'écharpe of course. ’ Meghan Anna Prewett n'est pas une pétasse d'aristo. Si t'as que ça pour m'insulter tu peux toujours aller voir ailleurs, ça te coûtera moins de dents. Ensuite, demande à tes parents de t'offrir des yeux en plus du cerveau que tu devrais avoir commandé et du dentier dont tu vas bientôt avoir besoin. Y a un petit badge collé sur pull, il est pas là pour faire joli. Et aux vues de comment Lou t'apprécie, on risque pas de me voir collé à ta place. ’Monsieur Pustules ne devait pas avoir grand chose à dire en plus. Parce qu'il se contenta de cracher sur le visage crispé de colère de Mister Gray. Ça sonne pas erreur là? Y en a qui ont pas peur pour leurs vies. Le bras en écharpe ne le fut soudainement plus - malgré les os encore fragiles, fuck la constitution du métabolisme de Lycanthrope - et Derek balança son poing dans la joue du gars. Et avant que celui-ci ait pu répliquer, il fit faire à son visage un aller simple sur la table où ses pieds étaient précédemment croisés. Puis il attrapa les cheveux du gars pour relever sa tête. Autour d'eux dans la salle commune plus personne ne parlait. Personne ne venait prendre la défense de cet abruti. Trop peur de Derek. Et puis, il l'avait cherché. ’ Un être humain adulte normalement constitué possède un total de 32 dents. Tu viens de rejoindre la race des cons adultes qui n'en ont plus que 31, félicitations. Et si t'es pas sage, tu vas pouvoir inaugurer la race des cons adultes qui n'en ont plus du tout. ’Il laissa retomber la tête du gars, attrapa son sac et sortit. Personne ne le suivit. Personne ne lui demanda où il pouvait bien aller à cette heure tardive. Il allait à la réunion de l'AD se passer un peu les nerfs. Bon Derek, promets que tu seras sage. On voudrait pas d'ennuis avec tes gentils copains. Le skinhead gravit rapidement toutes les marches et entra dans la salle sur demande sans faire de cérémonie. Il avait la mine grave. Pourquoi lui cherchait-on toujours des embrouilles?! Lorsqu'il entra, il vit qu'il n'était pas le premier arrivé. Lily et Nathan étaient déjà là. Meg ne devait pas tarder, ou alors elle fouinait dans un coin et il ne l'avait pas vue. Un jeune Poufsouffle était là aussi. Identité inconnue. Le Gryffondor salua Nathan et Lily d'un signe de tête. Il sourit aux paroles du jeune homme dont il ne connaissait pas le nom. Il lui tapota l'épaule de sa main retournée dans l'écharpe en riant doucement. ’ La vie Potter Raven crois-moi c'est pas du gâteau, mais c'est assez distrayant. Laisse-les faire ce qu'ils veulent, ils ne sont pas bêtes et savent se raisonner... Et puis je les comprends. Y a mieux qu'un placard à balais. ’Il se mit à rire doucement. Ça allait mieux. Il ne manquait plus que SA Meg chérie d'amour et tout serait parfait, ou presque. Dépêche-toi beauté, Derek l'a faim de toi te voir Lucy Robinson Time to save the universe again then, isn't it ? » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 30 Jan - 552 Mais où pouvait donc aller Lucy, toute seule ? Voyons, c'est évideeeent, elle va sauver le monde ! Oui, Lucy a beauuuucoup d'espoir et quand elle part dans ses délires à elle et bah elle pars vraiment très, très loin. Dans sa tête actuellement c'était un peu genre une james bond girl, genre ultra dangereuse et tout et tout bon un peu moins sexy que les jmg la lucy, mais quand même... qui doit pas être suivie sinon elle zigouile l'espion. Invincible quoi. Bon, une james bond girl perdue parce qu'elle retrouve pas se foutu couloir de merde. C'est pas sa faute non plus si elle a pas de gps intégré dans le petit orteil gauche, et qu'en plus on lui a pas filé de plan. Elle n'arrivera jamais vivante à la réunion... Finalement super-Lucy a réussi a retrouver son chemin, fallait prendre l'escalier et ensuite tourner à gauche et non à droite comme elle l'avait fait juste avant. Elle regarda la porte soigneusement cachée derrière la tapisserie, priant dans toute les langues pour que ce ne soit pas un placard à balai ou un autre truc du genre ultra étroit, ultra sans lumières, etc. Mais plutôt la planque de super héros avec tout plein de gadget partout, ou un vrai camp d'entraînement où tu peux éclater en vrai les cobayes à qui t'envoie les sorts. Lucy serait elle devenue vraiment violente ? Nan, c'est toujours presque la réincarnation de Ghandi, mais la non-violence ça marche pas donc elle passe aux stades supérieurs. Et puis la magie, c'est pas vraiment violent, vus que tout le monde est à presque égalité, pas comme avec des muscles. Elle poussa la porte, les yeux pleins de curiosités, si ça tombe elle sera même la première arrivée !Décetpion. Déjà, il y a déjà des gens. Et puis des livres, des toooonnes de livre jusqu'au plafond, pas que Lucy soit analphabète ou livrophobe. Mais c'est pas avec une bibliothèque bien garnie qu'on va réussir à sauver le monde. Elle salua le couple d'un sourire, et déposa un bisou sonore sur la joue de son Derekounet parce qu'il a grave la classe maintenant qu'il est préfet et Lou aussi, cey ses coupaing a elle qui sont les meilleurs *-* en faisant attention à ses blessures de guerres. T'étais où ?! J't'ai cherché partout moi tout à l'heure. J'ai même faillis mourir en me perdant dans les couloirs ! »Hop, bouille faussement scandalisée avec les mains sur les hanches. Vilain Derek qui n'a pas attendus Lucy. Vi-lain. A vrai dire elle avait cherché deux minutes puis elle avait trouvé quelqu'un d'autre qui accepté de la supporter genre Dante à tout hasard, et elle n'avait pas cherché dans la salle commune des gryffons, ni dans beaucoup d'endroits et recoins du château d'ailleurs, la patience c'est pas son truc à la Blondinette. Et de toute façon elle était totalement incapable de faire la tête à Derek ou de lui en vouloir pour quoi que ce soit. Et c'est pas un couloir qui allait réussir à tuer Lucy, elle est in-vin-ci-bleuh je vous rappel. Lucy abandonna Derek, vagabondant entre les bibliothèques se demanda sérieusement à quoi ça pouvait servir et en pensant que celui qui avait fait apparaître tout ça il devait avoir un problème psychologique, vus qu'il n'y avait même pas de petits aiglons tout timide en train de se gaver de littérature dans la salle, c'était un de ceux déjà là qu'elle logiiiique Princesse. Beurk, beurk des livres poussiéreux, elle était venu là pour casser du mangemort, manger des petits serpentards pas beaux. Pas pour avoir un cours d'histoire de la magie ou de littérature. Dépité Lucy fis mine de s'interesser aux livres entreposés. Tiens un Andras. Stop. On repose le livre. A Babord touuuuute ! ANDRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS ! »Qu'elle classe et qu'elle discrétion Lucy quand même. Mais c'était vraiment un crie du coeur, c'était peut être la seule à être totalement hystérique dans la pièce, mais elle s'en fichait totalement. Et vazy qu'elle se jette pas qu'à moitié dessus et qu'elle manque de l'étouffer en se pendant à son cou uh pourquoi tout le monde fait genre trois mètres de plus qu'elle.. dans un de ses super-giga câlin tellement elle est trop contente de le voir. D'ailleurs, ça se voyait à son immense sourire puissance dix mille qu'elle était contente de retrouver son ami à elle ici. Elle était toujours contente de voir Andras, il y avait trop de bon souvenir auquels il appartenait. Andras c'était sa compote à elle, celui qui l'appel pompotte, elle le bouffe. C'est trop bien que tu sois la aussi ! Pourquoi tu m'l'avait pas diiiiis ! Tant pis. Mais quand même c'est énoooorme ! »Pauvre de vous, la pile électrique et sa voix qui part dans les aigus est en marche, rien ne l'arrête, elle a un monde à sauver. Et un ami à étouffer dans ses bras avec amour Lysander Dragonneau Only two synonyms ? I'm losing my perspicacity ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Lun 31 Jan - 523 Lysander était vautré sur un canapé dans la salle commune de la tour des Serdaigles. Il avait un peu les cheveux ébouriffés - et ça ne lui allait pas mal, ma foi - ainsi qu'un sourire aux lèvres. Oui, il souriait. D'habitude impassible, l'air toujours rêveur, il arborait cette fois un sourire en coin. Très léger. Mais un sourire. D'ailleurs, ce curieux petit sourire sucitait beaucoup de questions. On lui avait déjà demandé au moins trois fois s'il avait rencontré un joli Bisounours dans son monde parallèle. Pas de Bisounours dans son monde, mais cette idée lui plaisait bien. La raison de son "bonheur" d'aujourd'hui était autre. Aujourd'hui, c'était le grand retour de l'AD. En digne fils de Luna Lovegood, Lysander avait été, tout petit, bercé par les récits très enthousiastes de sa mère lorsqu'elle lui contait les réunions de l'Armée de Dumbeldore. Il y avait tant de choses... La Salle sur Demande, les cours dirigés par Potter, le système des pièces... Bref, tout cela l'avait captivé. C'était presque devenu un mythe, tout comme le Ronflax Cornu. Mais voilà que grâce à son grand ami en taille et en âge notamment Ted Lupin, cette association de défense revivait. Certes, cela voulait dire que les temps n'étaient pas au plus haut de leur forme, mais c'était quand même une bonne chose, cette armée. Et aujourd'hui, c'était la première réunion depuis bien des années. Cooool, non ? Qui vient faire un tour dehors ? » demanda le Dragonneau. Mouarf, pas envie. Moi perso, je reste là. »Bon, il avait reçu le message. Les autres préféraient rester là, bien au chaud. Mais le Serdaigle se sentait l'envie de sortir un peu, de prendre l'air. Passant chercher de quoi se couvrir un peu, Lysander descendit de la tour et déboula dans le parc où - comme il s'y attendait - il n'y avait pas grand monde. Là, il marcha un peu, le nez en l'air. Le ciel était beau. Le silence était apaisant. Il n'avait pas l'air d'un type qui allait participer à une réunion illégale. Car c'est bien illégal, cette réunion de l'AD. Mais bon, comme dit le dicton... Jamais deux sans trois. Dragonneau avait participé à la fête clandestine dont il gardait un bon souvenir on se demande pourquoi XD et aussi à la manifestation, dernier regroupement de jeunes en date. Quand il réfléchissait, il se disait qu'il était un vilain garçon qui faisait des vilaines choses. Vilaines... Du point de vue de l'autorité. Lui était content de montrer que justement, il n'était pas content. Car, si le grand rêveur avait la tête dans les nuages, il n'en avait pas moins les pieds sur terre, et avait également un avis et un mot à dire. À sa beau gosse glandait dans le parc, tout seul. On aurait pu croire qu'il était à la recherche de quelque chose. Du bonheur ? De lui-même ? Non non, il cherchait juste à faire passer le temps, en définitive. Dans cette atmosphère de calme, il aurait bien fait un truc dingue. Lucy, t'es dispo' pour danser un petit rock dehors comme ça ? Ou même un ballet, si tu préfères. Qui chante avec moi du Nirvana ? Qui veut venir chercher à quoi ressemblent les nuages ? Mais non, personne. Il était seul, seul avec sa montre qui bientôt lui indiqua que c'était l' il se présenta devant la vieille tapisserie, il n'y avait personne. Une fois qu'il eut fait apparaître la porte, le Serdaigle s'empressa d'entrer. Il aimait bien cette pièce. Déjà, il y avait des bouquins. Pleins de bouquins. Studieux comme tout bon Serdaigle qui se respecte, il était, sans être un rat de bibliothèque, quelqu'un qui appréciait les livres, ou plutôt ce qu'on trouvait dans les livres. Ça le rendait dingue d'ailleurs, de ne pas pouvoir tous les lire. C'était comme renoncer à un savoir pour en valoriser un autre. Mais bref. ll y avait donc dans cette pièce des livres, des canapés, et des gens en question n'étaient pas nombreux. Deux Gryffondors, l'un préfet, l'autre inconnue au bataillon, ainsi qu'un Poufsouffle qu'il ne connaissait pas non plus. Et puis il y avait aussi Nathan et Lily - suis-je vraiment obligée de citer deux noms lorsque deux suffisent ? - le beau gosse et la belle gosse. Bref, du beau monde. Des gens qu'on s'attendait à trouer ici. Et d'autres pas. Mais bon, après tout, ils étaient ici pour apprendre ensemble pleins de belles choses, et aussi à mieux se connaître. Comme les alcooliques anonymes, avec le problème de boissons et l'anonymat en moins. Pareil mais en différent quoi. Pour le moment, il était le seul Serdaigle. 'Lut tout le monde. »Pris soudain de l'envie irrésistible d'aller voir si ces canapés étaient confortables, Lysander s'écroula sur l'un d'entre eux dans une position tout à fait normale, à savoir les genoux pliés sur l'accoudoir, les pieds dans le vide, allongé en long sur le sofa, la tête sur le second canapé. La meilleure technique pour pouvoir occuper tout seul un espace prévu pour plusieurs personnes. Qu'on était bien là-dessus. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 1 Fév - 505 "Miaôw?"Lucy se retourna sur le flanc avec un grognement, encore perdue dans les brumes de son rêve, et soupira sans s'en rendre compte, dérangée en pleine phase de sommeil paradoxal. Le sommeil paradoxal c'est sacré, bon sang! Elle se roula sous la couverture, et termina si bien son rêve que son oreiller alla rejoindre, par terre, le livre lu la veille, ses vêtements en vrac, sa brosse à cheveux, quelques menus objets scolaires, un panier, et la housse de couette."MIAAW"La jeune fille se réveilla en sursaut, d'un bond, avec une sorte de grognement inarticulé censé signifier, en gros, c'est bien gentil tout ça mais je dors. La Poufsouffle tendit la main vers le réveil pour voir l'heure, mais elle n'eut pas le loisir d'attraper l'objet une boule de poils blanchouillarde venait de se loger contre son menton en vibrant. Si, comme un téléphone. Lucy sourit malgré elle et caressa la fourrure de Hoshi, occupée à patouiller sur son humaine. Sans les griffes Hoshi. Puis le petit chat, comprenant que l'humaine n'émergeait pas, passa de l'autre côté et patouilla cette fois sur son dos. Bon Dieu Hoshi, SANS LES GRIFFES. Ronronnant à pleine gorge, des fois que Lucy aurait eu l'idée saugrenue de se rendormir, la boule de poils vint nicher son museau dans le cou de la jeune fille qui maudit intérieurement le jour où elle avait décidé d'adopter cette bête qui la dérangeait en plein câlin, en plein rêve et aussi en plein sommeil. Non, pas les trois en même temps, pas encore. Bref. Lucy attrapa sa bestiole d'un revers de main et soupira en la posant contre sa poitrine, comme une peluche, avant de se rendormir. Elle sentit, dans sa léthargie, Hoshi se hisser hors de ses bras pour sauter du lit et sourit; elle était probablement partie embêter quelqu'un d'autre..."QUOI?"Lucy glapit en repliant son genou droit. Une chose non identifiée s'était agrippée à son pied; une chose qui piquait et semblait aussi humide. Une chose qui chatouillait maintenant son autre pied. La Poufsouffle lâcha en bloc tout ce qu'elle connaissait en matière de jurons et autres scrogneugneus, mais Hoshi, qui avait appris à connaître Lucy, ne broncha pas et vint lui lécher la joue, en ronronnant encore. Puis se leva et lui tourna autour en patouillant. Oui boule de poils, c'est bon, gagné...Lucy se leva en bâillant et alla nourrir son chat, avant de l'observer en souriant. Kro meugnonne...Hoshi, une fois son repas terminé, remonta sur le lit et s'installa au niveau de l'oreiller, han c'est trop bien l'oreiller, pas vrai? Lucy allait faire de même lorsqu'elle avisa l'heure. Trop taaard, merci Hoshi! Elle s'habilla donc tranquillement, alla prendre son petit déjeuner à côté d'un Poufsouffle surexcité qui agitait dangereusement sa fourchette en braillant"Je suis un T-Rex!"...Certes. Il était en train d'expliquer à un préfet venu aux nouvelles que c'était un pari lorsque Lucy s'éclipsa. La suite de la journée se déroula plus ou moins normalement, quelques cours, quelques devoirs, rien que du bien naturel...quelques pétasses aussi. Espèce en voie d'apparition, vit en meute, cri le gloussement. Synonyme, dinde. La jeune fille n'attendait en fait qu'une chose, deux petites fameuse, euh, "Association de Défense" disons, n'est ce pas, était le fait du père de Lily, Harry Potter, à l'époque de sa scolarité à Poudlard, et face au peu d'action du Ministère, face aux Mangemorts potentiels et à la dinde rose Inquisitrice, Ted Lupin avait décidé de la remettre en place. Bonne idée Teddy, ça nous fera des choses à raconter à nos petits-enfants...Lucy finit donc par trouver l'entrée et pousser la porte bien cachée de cette salle, et mesdames et messieurs, nous avons recueilli les premières réactions."Oh, je voyais ça plus petit. C'est grand en fait...et puis c'est beau!!"Lucy tourna plus ou moins sur place quelques instants, le nez en l'air. Ooh c'était superbe tout ça, une salle magnifique, et des gens dedans. Des gens qu'elle connaissait pour la plupart, à savoir Lily Potter, sa cousine adorée chérie d'amour, celle qu'elle avait tout d'abord évité, rebutée par l'exubérance de la jeune fille, et qu'elle appréciait fortement désormais. Son copain Nathan Raven, le nounours de Lily, toujours aussi...nounoursien et pelucheux. Lucy ne le dévisagea pas, vu les regards assassins qu'il lui lançait parfois, il aimait pas qu'on le regarde. Tant pis mon gars. Il y avait aussi Derek, miraculeusement recollé après son, euh, fracassage en règle à la manifestation -Sader ça adhère!!- et une Gyrffondor que Lucy ne connaissait pas vraiment. Enfin déboula Andras, un joli Poufsouffle que Lucy trouvait très gentil, et qui l'amusait car il avait la manie de virer au rouge ou au rosé en lui parlant...timide, mais brave gars. La Gryffondor lui sautait au cou comme une furie lorsque Lucy remarqua le dernier arrivé, enfin, le dernier avant elle, déjà avachi dans un canapé dans une pose bien peu conventionnelle, avec des cheveux ébouriffés du genre "coiffé avec un pétard Weasley", mais ça lui allait plutôt bien. Vous avez compris qui c'était? Nan? Pas grave, on va la refaire. Lysander Dragonneau s'était affalé dans un sofa et réussissait l'exploit d'en occuper deux à la fois. Lysander Dragonneau, l'aiglon préféré de Lucy et pour cause, y en avaient pas tant que ça qui l'embrassaient dans le parc. Au passage, remercions Lily qui pourra devenir marieuse si jamais elle est au chômage, elle sait caser les gens. Lucy acheva donc sa discrète entrée"Bonjour tout le monde..."Et remarqua qu'on ne la remarquait pas. Bon, en soi elle s'en foutait, alors elle alla droit vers Lysander et lui sourit"Hello...tu me laisses un peu de place?"Puis la Poufsouffle s'assit à l'endroit qu'il avait laissé libre, ben ouais, tu ne peux pas occuper TOUT le sofa à toi tout seul cher aiglon, et balaya un peu la salle du regard. Oui, c'est grand. Oui, elle l'a déjà dit et alors? C'est vraiment s'étira. Mon dieu ce sofa, c'était encore mieux que son oreiller. Il ne manquait que la fonction bouillotte à ce canapé et la fonction bouillotte était plus ou moins assurée par le Serdaigle qui larvait juste à sa droite. Lucy pencha la tête pour l'observer puis, amusée, lui effleura les cheveux de la main -ben ouais, il est allongé, elle est assise donc elle est plus haute, CQFD- et lança avec un petit sourire"Bien installé?" Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Jeu 3 Fév - 1013 Domi fixa les deux Serdaigles avec une mine quelque peu surprise. Lily était quoi ? Une trainée qui sortait avec un punk débile aux allures d’ours mal léché ? C’était bien ça ou … ? Les deux aiglons semblaient en pleine crise de nerf et parlaient ensemble en piaillant tels les poulets qu’ils étaient. Les pauvres n’avaient pas encore remarqués la présence de la petite quatrième année qui les reluquait d’un air mauvais. Apparemment, le grand brun semblait dire que Lily avait envoyé un de ses potes à l’infirmerie. Domi secoua la tête, le pote en question était un parfait chieur et sa cousine avait été d’une grande aide au peuple de Poudlard en éliminant ce mec des couloirs du château, du moins pour un certains temps. Et donc, après avoir rendu un service public assez important, voici que miss Potter se faisait insulter. Quelle mesquinerie, je vous jure >.<. Lucy fila un coup de coude plus ou moins discret à Andras pour qu'il se présente à son tour, un peu de soutient ne lui fera pas de mal ! Elle s'installa un peu plus confortablement dans le canapé, scrutant la porte d'entré. Alleeez, vieeens, steuplaîîît... Si à trois tu ramène pas tes jolies fesses illico, elle te boude. Uuuuuuuun... Deuuuux... Deuuuux et demi... Allez, dépêeeche, c'est pas juste qu'il n'y ait que elle sans son amoureu... Deux trois-quaaaaaarts... Eeeeet... Trois. Pfeuh. Pas juste. Mine déçu du côté de Lucy qui voulait vraiment voir rappliquer son Dante sur le champ. Peut être qu'il est pas au courant après tout. Tout simplement. InvitéInvité Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 5 Mar - 2159 Malheureusement pour toi, Lucy, ce ne fut pas le beau cul de Dante qui vint ravir ta vue sur le seuil de la porte. Non non, ce fut celui d'une blonde, néanmoins très joli aussi celon certains point de vue, qui put s'incruster dans ton champ de vision si tu regardais par là. Une Lou échevelée, d'ailleurs, à l'air quelque peu essoufflée. - BIP, retour en arrière -Ombrage. Bouh, qu'elle est moche, vilaine, pas belle, rose et tout le toutim. Ridée, bien évidemment. Enfin bref, notre chère et bien aimée inquisitrice. Pas foutue d'affirmer un tant soit peu d'autorité, celle là. La preuve, il suffit qu'elle vire une blondasse et un prof' en se sentant toute puissante pour que BAM, tout lui explose à la figure. Manifestation qui s'ensuit. Et qui, comme bien des manifestations, dégénère. La pauvre inquisitrice, qui voit son château de carte s'effondrer sous ses yeux, ne fait ni une ni deux Elle appelle des brigadiers magiques. Qui cassent tous, ces crétins. Mobilier comme élèves. Et là, dieux apparaît. Non, plutôt la ministre. On emporte les élèves cassés à l'infirmerie pour une réparation en ordre, et là, sur un petit lit, telle blanche neige version blonde aux cheveux blonds matraquée. Ou, pour faire plus court, sûr, notre chère inquisitrice n'a pas gagné à la donne. Il n'empêche que si tôt rétablie, notre Lou internationale a normalement un rendez-vous en tête à tête avec le crapaud rose, qui, d'une humeur massacrante, n'hésiterait pas à lui faire copier une phrase de 250 mots, comme si sa main n'était pas déjà assez charcutée. Sauf que, non, c'est pas possible. Bawaii, Madame, à la même heure il y a regroupement de l' Armée de Dumbledore pour les incultes. L' reformée. L' nouvelle, dirigée par notre Ted Lupin bien aimé. Et vous vous doutez bien qu'il est impensable, inimaginable, IRREALISABLE qu'elle n'y soit pas. Surtout que sa Lulu l'y attendait. Et que Lulu elle avait une patience à deux clous et elle allait la torturer jusqu'à ce que mort s'ensuive si elle ne venait pas. Et que, elle préférait aller se pendre plutôt que de rater ça. Enfin bref, c'était pourquoi elle avait soigneusement élaboré tout un plan. Celon les théories, à cette heure-ci précise, l'inquisitrice-chérie-d'amouur serait dans son bureau en pleine conversation avec sa théière. Elle attendrait, sagement assise, que Lou lui arrive servit sur un plateau d'argent en marchant sur ses petites jambes pour aller lui faire une courbette et un baise-main, tant qu'on y était, avant de s'assoir pour copier soigneusement des graffitis inutiles qui lui scrabouillaient la main - C'était moche et ça faisait mal, en fait -. MAIS LA ! Génie Lou intervenait. En fait, il lui suffisait d'utiliser ses petites jambes, non pas pour se rendre dans le bureau d'Ombrage, mais dans la salle sur demande, en compagnie de tous ses camarades résistants et frères de coeur ! MOUAHAHAHA. Bon ok, elle aurait quelques ennuis après. Mais pour quelques ennuis en plus, sincèrement.. Ca lui passait au dessus. Ding-dong, c'est l'heure. Euhh.. En fait, c'est même plus que l'heure. Mais bon sang, c'est trop compliqué, pour toi, de regarder l'heure, Lou ?! La blonde bondit du fauteuil dans lequel elle était avachie, franchit la porte en manquant de se la prendre dans la figure, et s'engage un sprint dans les couloirs. Mais, que vois-je ? Oui, au fond du couloir, des talons roses ! Demi-tour toutes, on prend un autre chemin, peut être un peu plus long, mais sans menaces à talons dans le champ de arrivée devant la statue. Qu'est-ce qu'il faut faire déjà ? Ah, ouais. Penser très fort à ou tu dois être, et patati et patata, tout en marchant devant le mur comme un demeuré. La lionne s'exécute et, OUF, miracle, une porte. Nous sommes sauvés. - DING, retour dans le présent. -Se décidant enfin à rentrer, notre Lou internationale lance un petit '' Salut '' à la cantonnade parce que la flemme de dire bonjour à tout le monde, avant de se diriger vers SA Lulu, en grande conversation avec Andras. Tiens, Andras fait parti de l'AD ? Ah, mais c'est sympa ça ! Elle eut juste le temps d'entendre le salut de Lucy qui ressemblait à une présentation militaire. '' T'aurais put trouver mieux pour te présenter, ça fait un peu coincée, là ! '' Lui dit-elle, avec un sourire moqueur, mine-de-rien. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 6 Mar - 637 Lucy allait adresser la parole aux nouveaux venus, lorsque Lily s'adressa à elle, et la jeune fille souleva un sourcil. Un placard, mais pour quoi faire? Ah...Pour...aaah. Lucy venait de comprendre et, bien qu'elle le refusât, une vilaine rougeur monta sur ses joues. Un placard, mais, Lily avait vraiment de drôles d'idées, ce ne devait pas être bien confortable et puis, un placard c'est pas bien grand, en plus...pas pratique tout ça. Comment ça, qu'est ce qu'elle en savait? Bonne question, en fait elle n'en savait rien, elle n'avait jamais essayé, elle. Hein Lily? Restons classique, un lit suffira très bien. En attendant, elle rougissait. Une Poufsouffle rouge, regardez tous car c'est rare, d'ordinaire ces bestiaux-là étaient plutôt du genre jaunâtre, vous savez, un peu la couleur des boutons d'or, du jus d'orange industriel ou des colorants de ces bonbons crocodiles auxquels Lucy avait voulu apprendre à nager quand elle était petit. Ils s'étaient dissous, les salopards. Enfin, en tous cas les Poufsouffles étaient plutôt du genre jaune. C'était d'ailleurs étrange, quand on y pensait...pour être d'une telle couleur, ils avaient des problèmes de foie? Logiquement, les Serpentards auraient dû être les jaunes, vu ce qu'ils buvaient ils avaient de quoi se flanquer quelques cirrhoses. Mais bon, eux ils étaient verts. Vu ce que Lily pouvait s'enfiler comme bonbons, cela ne surprenait pas non plus d'ailleurs. Et les Serdaigles. Les bleus. Ils venaient de Pandora, bwahaha. Nan, pas de Pandora Hearts, de Pandora tout court! Et les Gryffondor...rouge sang. Comme Drek le jour de la manifestation d'ailleurs...Il allait mieux Derek? Lucy lui coula un regard et constata que oui, il semblait un peu mieux que lorsque la Ministre avait attendant, Lily parlait encore. Elle parlait même du cadeau de sa maman, mais euh, c'était quoi ce cadeau? Et pourquoi que de sa maman, oncle Harry était prompt à faire des cadeaux aussi, pour ce que Lucy en savait...ah mais ouii. Les souvenirs revinrent d'un coup à Lucy qui, pauvre âme innocente, avait allègrement refoulé dans son inconscient le cadeau de Lily. Ben oui. Des préservatifs; elle avait oublié ce détail, tiens, mais comprenait maintenant pourquoi c'était le cadeau de la maman. Harry était un peu...protecteur, comme père. En attendant...EUH? Elle avait bien suivi? Lily lui proposait de lui prêter un...chose? Lucy rougit jusqu'à la racine des cheveux et jeta un somptueux regard assassin à sa cousine. Je te hais, j'avais pas l'intention de me transformer en tomate aujourd'hui, cousine...I HATE YOU. Et euh...Lucy regarda Lily de travers"Ben, je crois pas en avoir l'usage immédiatement Lily. Mais je prends note."Petit sourire paillard. Mais elle était quand même ROUGE. Rhaah Lily, pourquoi trouvait-elle toujours un nouveau moyen de la faire bisquer, hein? En attendant...c'était Lysander qui prenait la parole. Oh, il ne dormait pas alors? Hm, mais alors...ils pourraient peut-être tester ce canapé, non? C'était sûrement sympa et...LILY SORS DE CE en attendant, Lysander demandait un cadeau à Lily. SATYRE. Lucy sourit, un peu embêtée. Mais évidemment qu'elle le lui prêterait mais euh, pas tout de suite, n'est ce pas? Ce d'autant plus que son père avait l'esprit ouvert...jusqu'à un certain point. Et que Lily se débrouillait bien toute seule pour mettre le bazar; autant ne pas devenir sujet de ragots en plus! Ah. Un ange lui souriait, que faire? ...Ouais nan, en fait c'était ce Serdaigle que Lucy connaissait très très mal, le dénommé Lysander, l'ennemi juré du chat Hoshi. Qui lui demandait de s'approcher pour qu'il lui demande un truc. Nan mais NAN, j'ai dit plus tard, le cadeau de Lily...Ah, mais ce n'était pas ça, il la questionnait sur le blaireau là-bas. N'y voyez nulle méchanceté, c'est juste que c'était un Poufsouffle et Lucy répondit tout touut bas"C'est Andras Singh, un élève de Poufsouffle...très timide, mais gentil tout plein, plutôt le genre fréquentable."Petit sourire à Lysander. Pas jaloux hein?Et la Gryffondor proposait de se présenter. Ca faisait alcooliques anonymes? Nathan on t'appelle...non, rien du tout. Lucy, donc. LUCY? Une Lucy plus âgée qu'elle, en plus, baaah. Lucy Weasley allait se présenter à son tour quand une autre Gryffondor fit remarquer qu c'était coincé. Nan, classique, nuance. D'ailleurs, Lucy prit la parole à son tour"Lucy Weasley, cinquième année, Poufsouffle. Pas de chance, Ted, tu as deux Lucy dans ton groupe..."Petit sourire. Bon alors, Lucy number one c'était elle et l'autre serait Lucy II. Ou bien, elle c'était Lucy et l'autre serait Lulu? Rhoh et puis, débrouillez vous très chers, elle attendait juste le début là. Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 8 Mar - 654 Qui c’est qui t’as fait ça, que j’aille lui exploser la gueule ? »Mon Dieu, tout de suite la violence ! Bon, visiblement, Domi aurait mieux fait de toute suite filer vers Mel’ plutôt que de se ramener vers Lily. Déjà, sa cousine prenait une teinte inquiétante et ses yeux se changeaient en glace. Wachhhha, ça fait peur. Garde tes beaux yeux noisettes, la glace ne te vas pas du tout. Domi sourit, tendue, inspira, resourit, moins tendue. Au secours, Lily va péter une durite … Après s’être calmée, en deux secondes top chrono, Dominique sourit calmement à sa cousine, faisant mine de rien. Faire mine de rien, c’était sa spécialité. Faire genre que tout va pour le mieux malgré cet élancement à la mâchoire. Faire genre que le monde est beau alors qu’il nous donne envie de vomir. Voilà la force de Dominique Weasley Faire n’y verrait que du feu… ou pas.< bon suite tjrs dans le pétrin, ça ne va tjrs pas je lis des tonnes d'articles notemment dans notre magazine fétiche psychologie sur les couples, comment ils font pour durer, comment aimer librement, la pérennité, l'acceptation de l'autre, moi dans le couple enfin bref des tonnes d'articles qui me reboostent et me donne envie de faire le max pur maintenir un cap que je pourrais qualifier d'optimiste mais en ce moment cette navigation devient houleuse, bon j'arrête sur les allégories ou métaphores je ne sais plus je me demande tout simplement si mon homme m'aime il est si distant, si froid, si egoiste, si blessant parfois que je ne peux que comprendre qu il ne ressent rien pour moi il n'a de l'attention que pour notre fils ce qui est bien mais moi je n'existe pas, j ai l'impression de ne pas aovir le droit de dire quoi que ce soit sauf pour exprimer de la satisfaction mais les sentiments négatifs il n'en veut pas! j en ai assez de vivre sur la banquise!! aucun geste tendre, il ne prend pas dans ses bras, ne me dis aucun mots d'amour, il ne fait meme plus attention à ma présence, j ai l'impression d etre invisible et qu il est devenu sourd.... ce we il nous a pourri le we car il avait un rhume avec mal à la gorge, il ne fallait pas de bruit les enfants font du bruit il c montrer pas tres cool, il boude, rouspete, soupir, c ça la vie à deux? en plus des que je lui parle de nos disonances tout est de ma faute, je ne sais pas comment il s'y prend mais à chaque discussion il arrive à faire tourner la situation à son avantage en se posant en victime et je suis évidemment la grande coupable de notre mal être en couple!!! du coup à chaque fois je prends le coup en pleine face et la grosse remise en question arrive et je culpabilise, je me trouve envahissante, je m'en veux de lui reclamer de l'amour, de la tendresse, de l'attention et de l'écoute, du soutien. mais un couple c ça non, il me demande de l'accepter tel qu il est avec ses besoins, chose que j'essaye de faire au mieux en essayant de conjuquer ses envies avec les miennes et vous qq1 à t il connu ça? Mar 15 Sep 2020 - 1655Cache-cache au pays de Mickey Alvario & AutumnAutumn n’en revenait pas de devoir se lever si tôt un samedi matin alors qu’elle était en congé, mais, la demoiselle n’avait pas réellement le choix. Son chef d’équipe avait organisé cette journée à Disneyland dans l’espoir de ressouder leur équipe. Car, les trois dernières semaines avaient été riches en disputes, bagarres, d'erreurs et plaintes de patients. Bien évidemment quand rien n’allait au sein d'un groupe, le travail en pâtissait. Autumn n’était pas réellement concernée car elle n’avait de problème avec aucun d’entre eux. Mais elle faisait partie du groupe, elle devait être solidaire et puis le patron pensait qu’elle pouvait être d’un réel renfort. Elle, qui, d’ordinaire avait le don d’apaiser les choses, de dire ce qui n’allait pas et même si elle le faisait s’en prendre de gants cela avait toujours marché. Car même si la vérité est difficile à entendre, elle n’en reste pas moins la vérité et l’entendre, la confronter à souvent du bon. Voilà pourquoi son réveil sonnait à 7h30 du matin. Voilà pourquoi elle se levait en rechignant. Ce matin, elle n’irait pas courir, elle se dirigeait donc naturellement dans la salle de bain où elle prit sa douche, puis, elle s’habilla, enfilant un petit ensemble culotte et soutien-gorge en soie blanche, un jean bleu délavé légèrement troué car elle détestait les jeans avec deux énormes trous aux niveaux des genoux qui donnaient l’impression de s’être pris une grosse gamelle. Ensuite elle passa un petit haut vert et blanc qui se nouait dans le cou et laissait apparaître de temps à autre son nombril. Elle choisit pour l'occasion de porter sa paire de baskets noires. Elle s’aspergea d’un peu de Lolita Lempicka, se coiffa et préféra laisser ses cheveux détachés. Ayant quelques minutes devant elle, elle bu un café et mangea une brioche mais pas le temps de finir, elle entendit klaxonner dans la rue et en vérifiant par la fenêtre elle aperçu son chef et une partie de l’équipe dans un mini-bus. Elle ouvrit la fenêtre, leur fit un signe, puis se dirigea vers la porte d’entrée. Au passage, elle attrapa un sac-à-dos et ses clés, puis elle referma la porte. Le trajet fut un peu long et surtout très calme, elle aurait bien aimé un peu de musique pour détendre l’atmosphère mais que voulez-vous. Monsieur le chef avait décidé que le silence était propice aux discussions ce qui eut pour résultat soit un silence de mort, soit un brouhaha incommensurable avec cris et disputes qui lui déclencha un mal de crâne horrible. Elle fut plus que ravi de descendre de ce véhicule. Et … de faire la queue. Génial je sens que cette journée va être MERD…veilleuse. Elle se reprit rapidement en apercevant le regard de son patron posé sur elle. Autumn lui lança un large sourire et comme une gamine elle leva les pouces. Genre Génial ! Trop cool ! C’est top, on va s’éclater. Mais son patron n’était pas dupe, il savait pertinemment ce qu’elle pensait et il la gratifia d’une légère grimace un petit sourire pincé, tout en levant les yeux au ciel. Avançant peu à peu, mais surtout lentement, très lentement, Autumn regardait autour d’elle. Quand son regard se posa sur une file, un peu plus loin, sur sa droite. Une silhouette lui semblait commune. Elle se mit sur la pointe des pieds comme pour prendre de la hauteur. Elle ne le voyait pas bien. Mais … il semblait qu’il s’agissait bien de lui. Encore ! Ce n’était pas quelqu’un qu’elle connaissait mais … au contraire … un inconnu. Un jeune homme qu’elle ne cessait de retrouver sur sa route. La première fois, elle l’avait aperçu à l’hôpital. Puis la seconde fois ce fut … Hum … à la terrasse d’un café et la troisième fois de nouveau à l’hôpital, puis une autre fois dans la rue à la sortie d’un cinéma et une autre fois dans un bar. Ils ne cessaient de se croiser, leurs regards se croisaient parfois, il est arrivé une ou de fois qu’ils se sourient où se fassent des signes mais jamais ils ne s’étaient parlé. Elle ne pouvait pas croire qu’il était là lui aussi. C’était impossible ! Sa file avança, elle en fit de même, son collègue lui posa une question, elle le regarda pour lui répondre et quand elle se tourna de nouveau. L’inconnu avait disparu. Ce devait être une erreur. Elle s’était forcément trompée. Elle soupira et secoua la tête tout en s’insultant intérieurement. *Tu es une idiote ma pauv’fille. Et une folle par dessus le marché car tu as des visions maintenant. *ENFIN … Après de longues, très longues minutes qui lui parurent interminables. Notre infirmière et son groupe de collègues finirent enfin par franchir l’entrée du parc. Leur chef, leur remettait les plans du parc, il pensait que s’était ridicule de tous rester ensemble, il proposait donc de faire trois groupes de quatre. Mais, Autumn n’écoutait rien. Que voulez-vous ?! Elle avait beau penser qu’elle était idiote et qu’elle avait rêvé elle ne pouvait s’empêcher de regarder autour d’ tu sera avec Gabi, Jac…. Autumn tu es avec nous ? AUTUMN !!!??? EUH oui ?!!! Oui présente Monsieur ! Tu t’fous de moi ? Tu es tout sauf présente … tu es carrément à mille lieux de là. Concentre-toi ma belle. Alors, premièrement, c’n’est pas un exercice d’incendie donc …. On se calme, pas besoin d’être si sérieux. Deuxièmement, on n’est plus des gosses, je pense qu’on peut se gérer. Et troisièmement, si tu m’appelles encore ma belle, il va te falloir une paire de béquille pour pouvoir marcher. Elle finit sa phrase avec un léger sourire. Autumn avait du caractère, et elle avait toujours sa façon à elle de dire les choses, toujours franchement mais assez souvent avec une dose d’humour ou de sarcasme pour que la pilule passe mieux. Allez les enfants … que ceux qui veulent faire partie de mon groupe lève la main ! Elle choisit trois personnes parmi ceux qui avait levé la main et d’un signe de l'index elle les invitait à la suivre. Allons nous amuser !!! On se retrouve pour le déjeuner. Elle fit un salut de la main autres membres. Et s’engouffra dans la foule. Elle n’avait aucune idée de par quoi commencer, elle se laissa guider par ses compagnons. Oooooh de la barbapapaaaa !!! Elle se dirigea vers le stand qui pour le moment n’avait aucun client puis elle commanda une énorme barbapapa. C’était le matin mais elle s’en fichait, elle adorait trop ça pour attendre. Elle regardait le pro faire, et en avait l’eau à la bouche. Quand …. Bordel … c’est bien lui … j’suis pas folle … hein ?!!! Le gars, il était là, au loin, droit devant, dans la foule. Elle le suivait des yeux, sans pouvoir bouger. Vite … vite …. viiiteee Elle pressait le propriétaire du stand qui ne savait pas du tout ce qui lui prenait. Il faisait de son mieux pour réussir sa barbapapa. Il la lui tendit, elle l’attrapa vivement et le paya sans attendre la monnaie. Mais de nouveau, il avait disparu. Elle tourna sur elle-même tout en se demandant si finalement son cerveau n’avait pas des bugs. " Une tumeur ? Nooon..... déconne pas ! " Et ....De toute façon si ça avait été lui. Qu'aurait-elle fait ? Lui aurait-elle sauter dessus ? Lui aurait-elle parlé ? Et de quoi ? Non, probablement pas, elle ne l'avait jamais fait jusque là. Mais elle voulait en avoir le coeur net. Ëtre certaine que ce n'était pas une vision, son esprit qui lui jouait des tours. Elle aperçu ses amis et les rejoignit, ils étaient assis en train de boire un café. Jackie qui la connaissait bien lui avait commander un café long avec un sucre et demi. Elle le remercia et prit place autour de la table, tout en mangeant de sa barbapapa. Elle se régalait, elle en proposa à ses collègues qui parurent ravis. J'adore ce truc, son odeur, son goût, ça me rappelle mon enfance. Elle en mangea mais sans faire exprès un morceau se colla sur son nez et un autre sur son menton. Ce qui ne manqua pas de faire rire ses amis. Mar 15 Sep 2020 - 1907 Cache-cache au pays de Mickey Hanwwww mais qu'est-ce que je fous là ! »La plainte qui sortait de ma bouche voulait tout dire. Depuis que nous étions arrivé, je n'arrêtais pas. Il fallait dire que ça m'agaçait, ce genre d'excurtions, même à Disney. Les files d'attentes, c'est ce que je détestais le plus. Le monde, encore, ça allait, mais attendre une heure pour deux minutes de plaisir, ça m'agaçait profondément. Pourtant, j'étais quelqu'un de patient. Surtout lorsqu'il s'agissait d'obtenir ce que je voulais. Mais là, c'était impossible. Arrête de te plaindre Alvi. C'est pas si terrible. T'es vraiment qu'un sale gamin. »Je roulais des yeux derrière mes lunettes de soleil. Pourquoi j'avais accepté de les suivre au juste ? Ah oui, parce que je n'étais encore jamais venu ici. Et je devais avouer que ça faisait partie de mes rêves de gosse, un peu. Je n'avais encore jamais eu l'occasion, même gosse, de découvrir le parc. Ce n'était certainement pas dans la tête de mes parents de dépenser du fric dans des choses aussi inutiles à leur yeux, en plus du fait qu'il aurait fallu prendre un avion pour venir jusqu'ici du Chili. Alors, oui, j'avais sauté sur l'occasion, lorsque Matt et Alex m'avaient proposé de les accompagner. Je tenais un peu la chandelle entre eux, mais ça, je m'en fichais. Ce qui comptais, c'était le parc. Je m'étais émerveillé tel un gosse dès que j'avais apperçu l'entrée du parc. Mes yeux trainaient partout. Je voulais tout voir, tout découvrir. Mais ma bonne humeur c'était vite essoufflée, lorsque nous avions déjà dû faire la file dès l'entrée. C'était ça, la réalité du parc. Beaucoup d'attente. Beaucoup trop pour il était aussi propable que mon état de nerfs était dû à mon manque, qui commençait à se faire sentir. Confortablement installé dans mon siège, à l'une des nombreuses terrasses, je poussais avec mon pied pour me mettre en équilibre et avoir une meilleure vue de ce qui se passait autour de nous. Un groupe de filles un peu plus loin attira mon attention, gloussant beaucoup trop pour que ça ne se remarque pas. Mais mon attention dévia rapidement sur une jeune femme juste derrière, assise avec ses amis. Est-ce que c'était elle ? Mon inconnue ? Mes lunettes se baissèrent sur mon nez alors que je stabilisais ma chaise avec mes pieds. Oui, c'était elle. Son visage, je l'avais assez souvent vu ses dernières semaines pour ne plus qu'il y ai de mal entendu. Je la reconnais entre mille, à présent. Elle était là, avec sa barbapapa à la main, distribuant sa part à ses amis. Mon sourire planait sur mes lippes, jusqu'à se faire plus franc lorsque le délice sucré se déposa sur son nez et son menton. C'était... Alvi ! »Je sursautais vivement, manquant de tomber de ma chaise au passage. Quoi ?! »Mes deux amis étaient debout devant moi, prêts à partir. J'avais visiblement manqué un épisode, trop occupé à mater mon inconnue de loin, visiblement. Viens, on y va. Les manèges nous attendent. » Allez-y, je vous rejoins. » Non Alvi. T'arriveras pas à nous retrouver et tu le sais. »Je roulais à nouveau des yeux en laissant ma tête choir en arrière. Je tournais la tête vers mon inconnue, qui évidemment, venait de disparaitre. Une moue frustrée apparu sur mon visage. Fuck. Encore raté. Ça va, j'arrive. »Mains dans les poches, je me relevais pour quitter ma chaise à mon tour et rejoindre mes potes, non sans lancer des regards autour de moi dans l'espoir de la revoir. Ça faisait des semaines, que nous nous croisions un peu partout à Plus ou moins depuis que j'avais emménager, en fait. A l'hôpital, à la sortie d'un bar, etc. Et jamais encore, je n'avais réussi à l'aborder, ce qui était franchement un exploit me concernant. D'habitude, je n'hésitais pas. Je fonçais sans me soucier du reste, mais avec elle, c'était... Différent. Je ne savais pas expliquer pourquoi. Elle dégageais un truc, quelque chose qui faisait que contrairement à toutes les nanas qui croisaient ma route, je n'avais pas envie de me jeter dessus. Enfin, pas comme d'habitude. Mais, après que l'on se soit croisés aussi souvent, ça commençait à me démanger furieusement. Et, elle était là. A nouveau. Je me promettais de tenter quelque chose, cette fois. D'aller lui parler, de briser la glace autrement que par un signe de tête ou un sourire au loin. Il le fallait. Maison hantée, nous voilà ! »Rien qu'à l'appellation de ce nom, je sautillais, retrouvant ma bonne humeur en glissant mes bras sur les épaules de mes potes pour les faire avancer plus vite. Un bon frisson, dans le noir complet, j'avais hâte ! c DΛNDELION Mar 15 Sep 2020 - 2004Jackie avait un sourire amusé accroché à ses lèvres, il prit une serviette en papier pour essuyer la barbapapa sur le visage de sa collègue et amie. Il aurait aimé plus mais Autumn avait été très claire avec lui elle ne voulait pas d'une relation sérieuse et surtout elle ne mélangeait pas travail et plaisir. Alors ils n'étaient que des amis ce qui ne lui suffisait pas mais il le supportait dans l'espoir qu'elle change d'avis, qu'elle finisse par craquer pour lui. Et si on dégustait nos cafés tout en faisant la queue au Big Thunder Mountain ? Hein ?! Hein !!! Charlie était surexcité, Autumn ne pu résister et explosa de rire, il avait l'air d'un enfant et elle trouvait cela si touchant. Finalement cette sortie n'était pas une si mauvaise chose. Pour le moment elle passait du bon temps. Elle attrapa son café, se leva, et se plaça à côté de Charlie. Allez !!! Allez on y va ???!!! Elle agissait comme une gamine, de bonne humeur, et comme souvent elle ne se prenait pas au sérieux, elle avait envie de s'amuser tout simplement. Les autres éclatèrent de rire et se levèrent. De toute façon ils n'avait pas trop le choix. Tous les gens autour les regardaient bizarrement. Certains cependant étaient très amusés et ne semblaient pas les ... je déteste réellement faire la queue !!! Par chance, elle n'était pas si longue que cela. Au bout de 30 minutes s'étaient enfin à leur tour de monter à bord du train fou. Autumn commençait à être excitée, elle adorait les montagnes russes. Elle aimait se faire peur, les sensations qui l'envahissaient, son coeur qui battaient la chamade, son souffle et sa respiration qui se coupaient de temps à autres. Aaaaaaah La jeune femme se mit à crier quand la peur s'enveloppa, cette sensation était magique, elle levait les bras et criait de joie plus que de peur. Quoique ... C'était si enivrant. Mais déjà l'attraction touchait à sa fin. Quel dommage. Elle descendait du côté gauche. Alors que du côté droit les suivants commençaient à monter. Elle rejoignait le groupe, sortait du jeu et repassait devant l'attraction pour aller à la suivante. Les autres se battaient pour le prochain choix quand .... soudain ... sur sa droite, elle le vit. Elle s'arrêta nette et fit deux trois pas en arrière. Se bloqua, puis pivota. Il était là. Devant elle. Finalement tu existes, tu n'es pas une création de mon esprit. Elle croisait son regard. Elle en revenait pas qu'ils soient encore au même endroit, au même moment. Et si près. Elle n'en revenait pas non plus qu'il existe réellement car à force elle avait finit par douter de son état mental. Un sourire amusé et heureux se dessina sur son visage. Attachez-vous le train fou va partir Autumn .... Autumn mais qu'est-ce que tu fais ? Allez vient !! Le train démarrait, Jackie attrapait Autumn par le bras et l'embarquait avec lui, alors qu'elle continuait à donner son numéro de téléphone. Le bruit du train était trop fort, il s'éloignait, et elle aussi mais dans la direction opposée. Pourquoi lui avoir donné son prénom, son numéro de téléphone ? Elle en avait aucune idée, s'était venu naturellement. Tu connais ce gars ?! Lui demanda surpris Jackie. Oui ... euh ... non ... seulement un inconnu. Et de nouveau un sourire naissait sur ses lèvres. Alors où va-t-on ? Autumn était toute légère, amusée, heureuse et tant d'autres choses encore. Elle ne pouvait pas expliquer ce qui lui arrivait, ce qu'elle ressentait. S'était étrange, nouveau mais agréable. ils semblaient devoir se croiser, alors elle le reverrait sûrement. Au splash mountain. Mar 15 Sep 2020 - 2122 Cache-cache au pays de MickeyLa maison hantée nous tandit les bras. A nouveau joyeux comme un gosse, je courrais même jusqu'à l'entrée, pillant juste derrière la dernière personne à faire la queue. De l'attente, encore de l'attente, toujours de l'attente. Seulement cette fois, ça ne réussi pas à faire fondre ma bonne humeur. Nous nous engouffrions dans le manège, qui nous guida à travers les pièces savamment décorées de la maison. Ça ne faisait pas vraiment peur, mais je me surpris à frissonner et sursauter une fois ou deux avant que la sortie ne se profile. Une fois dehors, attendant les garçons, je souris de toutes mes dents. C'était trop cool ! »Ils m'offrirent un regard amusé alors que je glissais une cigarette entre mes lèvres, prêt à les suivre jusqu'à la prochaine attraction. On tente le Jungle Cruise ? » T'as vu la file ? Nan, allons plutôt au Big Thunder Mountain ! » C'est parti ! »Toujours avec autant d'en train, j'ouvrais notre marche, tirant sur ma clope de temps en temps. Mes yeux regardaient partout, s'imprègnaient de toute l'ambiance semblant hors du temps propre au parc, tout en ne pouvant s'empêcher de la chercher à nouveau. Si elle était là, nous finirions bien par nous croiser, non ? L'attraction se profila devant nous. Une file d'attente de plus. Par chance, celle-ci était moins longue. Nous y étions déjà ! Le train remplit se présenta à nous. Les portes s'ouvrirent pour nous laisser prendre place à notre tour. J'étais tout excité, souriant à n'en plus finir en riant à gorge déployée avec mes amis lorsque soudain, on attira mon attention. C'était elle. Je me levais du siège sans pouvoir m'en extirper complètement alors qu'elle s'approchait jusqu'à ma hauteur. Putain, pourquoi maintenant ? Ici ? Je captais à moitié les mots qui sortaient de sa bouche à cause du brouaha ambiant, me contentant d'un grand sourire alors qu'elle semblait réaliser que non, je n'étais pas une illusion sortie de son imagination. Incroyable n'est-ce pas ? »Sans me départir de mon sourire, j'appris enfin son nom. Autumn, qu'elle cria à travers l'annonce du départ du train. Alvario ! » criais-je pour me faire dicta son numéro, mais un gars sorti de nulle part vint la tirer brusquement par le bras. Monsieur asseyez-vous ! »On me tira à mon tour, m'obligeant à m'asseoir alors que j'essayais d'entendre la suite de son numéro de téléphone. C'était peine perdue. C'était quoi ce bordel Alvi ? »Je me tournais vers mes amis, qui me dévisageait tous deux d'un drôle d'air alors que je haussais les épaules. C'était... Une inconnue. »Le regard qu'ils me lançèrent à cet instant me prouva que je n'étais pas crédible. Pourtant, il n'y avait rien de plus vrai. Je leur offris un sourire innocent avant que l'attraction ne démarre pour de bon. Autumn. J'avais au moins son attraction ci était bien différente, à m'en soulever le coeur et provoquer mon euphorie alors que je criais à plein poumons. C'était bien trop court à mon goût, mais le visage d'Autumn me revint vite en mémoire, m'arrachant à ma frustration. J'essayais tant bien que mal de me souvenir les chiffres qu'elle m'avait dictée, mais c'était impossible. Comment la retrouver ? Eh, ça va Alvi ? » Ça va ouais... » C'est la meuf de tout à l'heure qui te met dans cet état ? »Je relevais les yeux vers Matt, qui m'offrait un large sourire, fier de lui. Ouais. Ça fait des semaines qu'on se croisent comme ça. C'est la première fois qu'on arrive à se parler. J'ai que son prénom, ça me frustre vous avez pas idée ! »La main d'Alex atterit dans mon dos dans un soutien amicale. Quoi, toi, tu lui as pas encore sauter dessus ? Je suis impressionné ! »Je le gratifiais d'une grimace en lui lançant un coup de coude dans les côtes alors que nous reprenions notre marche à travers le parc. Ah ah, très drôle ! » Allez ça va, on va la retrouver, ton inconnue » »Je relevais la tête. Il avait raison, bien sûr que j'allais la retrouver, restait simplement à savoir quand. Et je fus déçu, après avoir enchainé les attractions pendant plus de deux heures, de ne pas retrouver sa trace. Peut-être qu'elle était déjà repartie ? La déception avait presque remplacer la frustration qui s'agitait dans mon ventre depuis que j'avais appris son nom. Je me rappelais les traits de son visage, si proche du mien alors que je faisais une pause dans les toilettes pour faire taire mon manque qui commençait à me rendre pale et nerveux. La poudre dans le nez, le sourire ravageur, je resortais pour retrouver mes amis une fois de plus. Et maintenant ? » Y'a un spectacle dans 10 min. » Super ! Faisons ça alors ! »Je leur emboîtais le pas. Au fil des heures, j'avais perdu le réflexe de la chercher à travers la foule. Je voulais arrêter de me prendre la tête avec ça et profiter du reste de la journée comme il se devait. Si nous nous recroisions, tant mieux, sinon, tant baskets tracèrent mon chemin à travers le public qui venait regarder le spectacle, tout comme nous. Nous nous enfoncions à travers la foule pour avoir une bonne place. Pas trop près, mais pas trop loin non plus. Rendu plus guilleret par la poudre, j'avançais, à nouveau tout excité, sautillant d'une jambe à l'autre en attendant que cela commence. Je me tournais vers mes amis, une question primordiale brûlant mes lèvres. Au fait... »Ma phrase n'eu jamais de fin, perdue dans le vent face au baiser qu'il s'échangeait devant mes yeux. Ouep. Ma bouche se referma avant que je ne pince mes lèvres, me détournant aussitôt de la scène qu'ils m'offraient pour plonger dans mon verre de bière. Et puis, je la vis. Je relevais la tête de ma boisson, la dévisageant de loin pour être sûr de mon coup. Les cheveux longs châtains, le visage angulaire, le sourire craquant. Pas d'erreur, c'était bien ne pris même pas le temps de prévenir mes amis. Mes pas me guidèrent jusqu'à elle à travers la foule. Je poussais et m'excusais auprès de ceux que je dérangeais, jusqu'à ce qu'elle soit à portée de main. Le spectacle commença à cet instant précis. Discrètement, je m'arrêtais juste à côté d'elle, l'air de rien, le sourire aux lèvres, les yeux rivés vers la scène extérieure qui nous offrait sons et lumières. Tu n'es pas facile à trouver, tu le sais ? »Je détournais le regard des danseurs qui venaient d'apparaitre sur scène pour la regarder, elle. C'était bien elle. Autumn. c DΛNDELION Mer 16 Sep 2020 - 1213Autumn et Jackie avaient rejoint le reste du groupe, ils se dirigeaient ensemble vers le Splash Mountain et Jackie ne pouvait quitter la jeune femme du regard. Le sourire léger qu'elle affichait le rendait dingue. Pourquoi semblait-elle si légère et heureuse ? Pourquoi ne voulait-elle pas lui dire qui était ce gars et d'où elle le connaissait ? *Un inconnu ? tu parles !!* se disait-il. Et une fois arrivée à l'attraction, bien entendu, ils durent faire la queue. Mais pour une fois, Autumn ne se plaignait pas. Elle repensait au jeune homme, il n'était plus réellement un inconnu car à présent elle connaissait son prénom Alvario. Mais surtout il était bien réel. En même temps, malgré les doutes qui l'avaient envahi ces dernières semaines, au fond elle, ancré en elle, elle savait qu'il existait pour de vrai, qu'il n'était pas une création de son esprit. Soudain, elle laissa échapper un petit rire, se remémorant son attitude, comment avait-elle pu ? Pensait-elle intérieurement. Quand ...Comment tu as pu ? Pourquoi tu as donné ton numéro à un parfait inconnu. Ses pensées faisaient échos. Jackie se manifestait enfin. Cela faisait un moment qu'elle sentait son regard posé sur elle, et sa frustration, sa jalousie même sortait de tous les pores de sa peau. Que pouvait-elle lui répondre ? Non, elle ne connaissait pas cet homme. Et non ce n'était pas son genre de filer son numéro à n'importe qui. Elle ne savait que lui rétorquer car elle-même ne comprenait pas son propre sais pas .... C'est arrivé comme ça ! L'instinct !Elle ne pouvait pas dire à Jackie qu'elle croisait cet homme depuis des semaines. Qu'il était partout où elle allait et qu'à force son visage était incrusté dans son esprit. Et que très souvent il lui revenait en mémoire et qu'elle le cherchait parfois. Jackie ne pouvait comprendre cela, il paniquerait tout de suite. Il penserait que cet homme était surement dangereux, qu'il devait la suivre, peut-être était-il un harceleur. Autumn, ne pouvait l'expliquer mais tout au fond elle, elle savait que rien de tout cela était possible. Le splash mountain était une chouette attraction, très rafraîchissante, ce qu'elle su apprécier avec la chaleur qu'il faisait. Il était bientôt midi quand ils descendirent de l'attraction. Le téléphone d'Autumn se mit à sonner. *C'est pas possible!!!* Pensa-t-elle en se dépêchant d'attraper son ?! et non ce n'était pas lui, ce n'était que James, son chef. C'est James, Où vous êtes ?En même temps, elle doutait bien qu'Alvario n'ait pas eut la possibilité de noter son numéro voire même de pouvoir l'entendre entièrement. James la contactait pour les informer qu'il avait retrouvé presque tout le monde et qu'ils les attendaient pour ... je transmets aux autres. On se retrouvent là-bas. Autumn raccrocha, on pouvait lire la déception sur son visage mais seul Jackie semblait comprendre pourquoi. Ce qui l'agaça un peu plus. Elle expliqua à la bande que James et les autres les attendaient dans un des restaurant du parc. Et tous les quatre prirent le chemin qui les mènerait au fameux restaurant. Ils savourèrent un bon repas. Puis James décida de changer les groupes. Idée que Jackie n'apprécia guère car il souhaitait rester avec Autumn. Il espérait ainsi la tenir à l'oeil et éviter tout nouvel incident. Mais qu'il se rassure, le reste de la journée se passa normalement. Ce fut une suite de longues heures d'attentes pour seulement quelques minutes de joie, de rire ou de cris. Mais rien de plus. Elle ne le croisa plus une seule fois et commença à penser qu'il était rentrer chez lui. Mais elle ne désespérait pas pour autant car ce n'était pas son genre et aussi et surtout parce qu'elle était bien décidée à s'amuser avec ses collègues. De nouveau son téléphone sonna, c'était à nouveau James. Comme il était déjà tard et qu'ils n'allaient pas tarder à rentrer, il avait décidé que tout le monde se retrouve au spectacle. Autumn et son groupe trouvèrent que c'était une excellente idée. Sur place, il s'agissait de nouveau de faire la queue, de piétiner, de se frayer un chemin parmi la foule. Mais en plus il fallait retrouver le reste de l'équipe. Rien n'était plus compliqué que cela. Il y avait tellement de monde mais ... d'un coup. AUTUMN !!!Elle entendit crier son prénom, suivit d'un sifflement, elle fut surprise, elle chercha dans toutes les directions. Et... aperçu Jackie qui surpassait les spectateurs. Il agitait le bras dans tous les sens. L'espace d'une seconde elle pensa que peut-être ... mais non ... elle répondit à son collègue d'un signe de la main droite et difficilement elle le rejoignit, ainsi que les autres. Une musique magnifique et entraînante s'élevait, emportant totalement l'infirmière qui sentit son coeur battre un peu plus fort et tout son corps étaient soudain envahit de frissons, qui ... ne firent qu'augmenter quand .... Tu n'es pas facile à trouver, tu le sais ? »Cette voix, cette phrase ... son coeur fit un bond dans sa poitrine. Elle était envahit par tout un tas de sensations à commencer par la surprise, la joie mais aussi l'amusement. Un sourire lumineux éclaira soudain son visage alors qu'elle tournait la tête en direction de cette voix qu'elle avait entendu un peu plus tôt dans la matinée. Son sourire se fit encore plus large et amusée. Elle se mordit la lèvre inférieure avant de lui répondre. C'est parce qu'il ne faut pas me chercher. C'est ainsi que ça marche entre nous. depuis le premier jour. C'est le destin qui nous met sur la route de l' plongeait son regard dans le sien. Il était si proche pour une fois qu'elle pouvait le toucher si elle le souhaitait. Mais sincèrement elle ne savait que faire. Il est vrai qu'elle aussi l'avait cherché du regard un bon moment et depuis si longtemps qu'elle avait fini par abandonner de nombreuses fois. Et à chaque fois qu'elle laissait tomber, il réapparaissait, comme pour jouer, la tenter. Mais désormais, il était là, face à elle. Elle le regardait attentivement, ses cheveux étaient légèrement longs bruns et bouclés. Ses yeux étaient très brillants, il émanait d'eux une lueur à la fois sexy et espiègle. D'ailleurs, elle ne pouvait l'expliquer mais il émanait de lui quelque chose d'étrange ou plutôt de particulier. Quelque chose qu'elle ne parvenait pas à déterminer mais qui faisait de lui quelqu'un de différent, différent de tous les hommes qu'elle avait fréquenté. Peut-être était-ce le jeu de cache-cache qu'il y avait entre eux et qui les liait d'une façon particulière. Ou peut-être était-ce simplement qu'il était un illustre inconnu, qu'elle semblait d'une certaine manière connaître, sans, en réalité ne rien savoir de lui. Je crois que c'est toi qui a gagné ! Tu vas devoir choisir ton prix. Elle était toujours dans l'amusement. Elle ne savait absolument pas de quoi elle parlait ou ce qu'elle semblait lui proposer. Mais ça lui était venu comme ça. Comme quand elle lui avait filer son numéro de téléphone. De toute façon avec lui, rien n'était normal, rien n'était contrôlé, calculé, voulut. Tout venait comme ça. Mer 16 Sep 2020 - 1302 Cache-cache au pays de MickeyElle était là, finalement. Son visage se tourna vers moi alors que je portais un petit sourire mutin sur mes lippes. Enfin. Depuis combien de temps est-ce que nous nous cherchions au juste ? Trop longtemps, si l'on écoutait les battements de mon coeur qui semblait à présent s'apaiser, maintenant que je l'avais retrouvée. A présent, j'avais le loisir de la détailler comme je le voulais. Elle était réellement ravissante, Autumn. Avec ses fines lèvres et son regard presque noir. Loin des standards, loin des midinettes qui croisaient habituellement ma route et finissaient dans mon lit avant d'avoir su dire ouf. C'était différent. Elle était différente. J'accrochais son sourire qui se fit plus franc, ces dents qui s'imprimèrent sur sa lèvre juste avant qu'elle ne me réponde, que je retrouve enfin sa sourire s'illumina, amusé par sa répartie. Je quittais brièvement son visage pour admirer le spectacle qui prenait de l'ampleur devant nous. Elle avait raison, finalement. C'est lorsque j'avais arrêté de la chercher qu'elle m'était apparue, comme à chaque fois que nous nous croisions. C'est ainsi que ça marche entre nous. Elle résumait très bien la situation. Même si je ne croyais pas au destin. A nouveau, je l'admirais, alors qu'elle me détaillait sans gène, appréciant visiblement ce qu'elle avait sous les yeux. Je me retins franchement de taper la pose pour ses beaux yeux. Autumn ne paraissait pas le genre de nana à être facilement impressionnable par ce genre de choses. Au pire, cela pouvait la faire rire, mais j'avais beaucoup trop peur de la faire fuir, maintenant que j'avais réussi à la retrouver, pour de bon cette nouveau, sa voix se fit entendre à travers la musique du spectacle qui nous était offert. Une proposition. Une centaine d'idées perverses me traversèrent la tête, que je repoussais aussitôt. Pas de ça avec elle, non. Je ne savais pas me l'expliquer, mais ce n'était pas ce que je voulais. Je ne voulais pas gâcher ce lien étrange que nous avions créer entre nous pour une partie de jambes en l'air dans un coin, pour ne plus jamais la croiser après. Ce qui était très étrange, me connaissant. Je pris le temps de la réflexion, les yeux vissés sur les danseurs qui faisaient leur show devant nos yeux, oubliant même à quel point j'avais envie de monter sur scène moi aussi. Je mordillais ma lèvre, incertain, avant d'à nouveau me tourner vers elle. Viens. »J'attrapais sa main pour la tirer à ma suite, guidé par mon instinct sans me poser de questions. Ma bière se fracassa au sol sans que j'y fasse attention alors que je l'embarquais dans une course folle à travers la foule. Tant pis pour le spectacle. Tant pis pour le reste du monde. Mes jambes s'emballaient à travers le parc sous mon rire espiègle, jusqu'à s'arrêter devant une attraction particulière. Impossible de me rappeler de son nom. C'était un labyrinthe de miroirs. Une façon de continuer notre jeu de cache-cache à notre manière. La tête levée sur la décoration de l'entrée, je me tournais vers elle pour lui offrir un sourire étincellant, puis l'entrainait à l'intérieur. c DΛNDELION Jeu 17 Sep 2020 - 1728Pourquoi n'arrivait-elle pas à décoller son regard de lui. Lui qui parvenait à profiter du spectacle. Rhaaa c'était pas son genre. Mais ... tout venait de lui ! Elle n'avait jamais été ainsi avant. Mais depuis son apparition dans sa vie elle avait l'impression de se conduire comme une adolescente. Bon d'accord, parfois, il lui arrivait d'être immature mais là ... ça frôlait la gaminerie.*Arrête enfin ... tu m'fais honte ... qu'est-ce qui te prends ?*Peut-être parce qu'elle voulait graver son visage dans son esprit. Ou peut-être avait-elle peut qu'il ne disparaisse encore, tout d'un coup, alors elle en profitait. Ou peut-être ni croyait elle pas encore. Peut-être était-il un rêve qu'elle faisait éveillé pour pallier à son ennui et sa vie si triste. Elle déposa alors sa main sur son bras, il était réel. Il était vraiment là. La regard du jeune homme se posa à nouveau sur elle. Et elle ne pu que lui sourire. Et admettre ... qu'il avait gagné la partie. Comme si tout depuis le début n'était qu'une partie de cache-cache comme aurait pu y jouer deux gamins. Car finalement, lui aussi, avait admis l'avoir cherchée de son côté. Elle n'était donc pas seule dans ce délire. Seule à vouloir le voir, le retrouver, le connaître. Etaient-ils deux fous ? C'était tout à fait possible, mais elle s'en fichait pas mal et au moins pour une fois elle n'était pas seule dans son délire. Viens. »Quoiiiii ?!! Mais déjà, il avait attrapé sa main et l'entraînait avec lui. Ensemble ils prenaient la fuite. Encore une fois elle ne savait ce qu'elle faisait, elle ne savait pourquoi ils fuyaient mais elle adorait cela. Elle se sentait si légère, si heureuse. Jackie criait son prénom. Et elle s'en fichait. Elle profitait de l'instant présent avec ce total inconnu. Et ... s'était si bon. Elle qui avait une vie parfois si posée et ennuyeuse et à l'opposé parfois si difficile, cruelle. Depuis qu'il était apparu comme un hologramme qui va et vient, elle se sentait comme ... libre. Comme si elle était dans un rêve et que rien n'était vrai et donc que rien n'avait d'importance. Ils couraient la main dans la main sans savoir où. Enfin, elle l'ignorait mais Alvario semblait connaître leur fou !!! On est cinglés ... Je sais même pas qui tu es et ... j'M'EN FOU !!!!!Autumn éclata de rire. Et enfin leur course folle s'arrêta, ils étaient arrivé à destination. Il s'agissait de l'attraction avec les labyrinthe en miroirs. Notre infirmière se mordilla la lèvre inférieure, se mit à sourire et le regarda dans les yeux. Cette attraction avait un sens pour elle. Enfin, seulement avec lui, car sinon ce ne serait qu'un jeu. Mais, ici, à cet instant, avec lui. Ce jeu était leur histoire. Attrapes-moi si tu peux !! Elle déposa un baiser rapide sur sa bouche et puis elle lâcha sa main pour s'engouffrer dans l'attraction. ils n'avaient même pas payé, n'avaient donc pas de tickets mais elle s'en fichait, elle courait dans le jeu. Et elle tentait d'avancer le plus vite possible, sans trop se blesser, car souvent elle tapait dans un miroir. Elle ne pouvait s'empêcher de rire et de regarder derrière elle. Elle se sentait enivrée quand elle l'apercevait non loin. Ven 18 Sep 2020 - 305 Cache-cache au pays de MickeyElle rit, Autumn, elle crie à travers la foule à quel point nous sommes fous alors que je l'entraine dans ma course folle à travers le parc. L'adrénaline de ma folie échauffe mes jambes qui avalent la route alors qu'elle me suit. Son rire éclate à travers le vent. Il chante à mes oreilles. Elle s'en fou, de qui je suis. On s'en fou, de qui nous sommes, ça n'a aucune importance. Pas la moindre. Ce qui en a, ce sont les idées folles que notre rencontre si attendue éveille en nous. L'extravagance de mon geste imprévisible, sa main dans la mienne et mon coeur qui s'envole. L'art de tout oublier de nos vies, de nos amis, de tout ce qui nous entoure, le temps d'un pas s'arrêtent devant le manège. Mon regard espiègle tombe sur elle, qui se mord la lèvre avant de sourire, entrainant le mien qui s'étire encore et encore, semblant ne plus vouloir se faner. Ses prunelles me trouvent, une fraction de seconde avant que sa voix me lance un défi qui fait pétiller mon âme. Elle m'embrasse, Autumn, elle goûte mes lèvres pour la première fois dans un baiser volé. Trop chaste, trop frustrant, trop surprenant. Horriblement exaltant. La surprise me cloue sur place. Sa main me relâche. Je la suis du regard alors qu'elle s'enfonce dans l'attraction. Mes pieds agissent à ma place pour s'élancer à sa poursuite. J'entends son rire à travers le labyrinthe. Mes yeux attrapent son reflet, qui se répète tout autour de moi jusqu'à m'en rendre dingue. J'avance, cours après la jeune femme en mêlant mon rire au sien. Plus d'une fois, je vais trop vite. Plus d'une fois, je me fracasse presque contre les miroirs qui crissent sur mon passage. Plus d'une fois, je pense la surprendre alors que son reflet m'éclate de rire au nez, avant de disparaitre aussitôt. Je croise son regard muni de la même frénésie, lui qui me défie de la rattraper plus vite, pour en avoir encore. Pour ne plus la laisser s'échapper. Plus s'arrête. Je la fixe alors qu'elle me fait face. Le coeur battant, sourire aux lèvres, j'approche alors qu'elle recule. Et puis, elle disparait à nouveau, s'évade avant même que j'ai pu croire que c'était elle et pas une de ses copies. Elle va me rendre fou, à jouer ainsi avec mes nerfs et ma frustration. J'y suis presque. Mes doigts la frôlent mais manque leur cible à chaque fois. Elle est vive, elle s'envole et s'échappe de ma prise tel le vent. Insaisissable. Enfin, le labyrinthe se referme sur nous. Un cul de sac. Elle est piégée, entourée par ses copies parfaites, éclairées par les spots qui veillent sur nous. La course folle de mon coeur bat contre mes oreilles. Je reprends mon souffle alors qu'elle se retourne pour me faire face. Elle n'a plus d'échappatoire. Il n'y a plus que moi, qui m'avance lentement vers elle. Je suis incapable de la lâcher des yeux. Rien qu'un instant, alors que j'approche à pas de loup. Mon corps se fond presque contre le sien. Il entretien la tension. Mes prunelles brillent d'excitation, elles brûlent de la retrouver à nouveau. Sans un mot, je récupère sa bouche, réduit à néant la distance qui nous sépare encore. Mes doigts glissent à sa rencontre. Ils la découvrent sous les frissons qui m'assaillent. Ma langue ne tarde pas à la chercher, pour approfondir notre baiser encore trop chaste. C'est de la folie. Ça pétille dans chaque fibre de mon être à m'en faire perdre la tête. Il n'y a plus rien. Plus rien d'autre qu'elle à cet instant. c DΛNDELION Ven 18 Sep 2020 - 1330Autumn est une femme libre et libérée qui tente par tous les moyens de vivre sa vie comme elle l’entend. Elle est positive, pleine de vie et profite au maximum. Mais malgré son état d’esprit, la vie, son métier et parfois les autres la ramènent souvent à une réalité moins légère mais plus difficile, plus sombre. Cependant, depuis l’apparition de ce bel inconnu dans sa vie. Tout est soudain devenu différent. Il était comme un être magique, un fantôme qui venait mettre du piquant à sa vie. Qui lui donnait envie de se lever le matin dans l’espoir de peut-être le croiser. Car le désir de le croiser à nouveau, de le connaître, d’attraper ce rêve volatile et éphémère donnait du peps à sa vie de plus en plus monotone. Alors quand il prit sa main, elle n’a absolument pas voulu résister, au contraire, elle était envahie par le désir de fuir avec lui. Car à cet instant précis son cœur se mettait à battre la chamade et ça faisait si longtemps qu’il ne s’était pas exprimé de cette manière. Elle ne savait pas qui il était, d’où il venait, mais elle n’avait pas peur de lui. Il réveillait en elle l’adolescente qu’elle avait été. Il lui faisait vivre à nouveau l’insouciance, le plaisir, le désir, le jeu. Elle se laissait porter par les sentiments et les désirs qu’il faisait naître en elle. Et quand elle vit l’endroit où il la menait, quand elle croisa son regard, aperçut son sourire. Elle se laissa aller. Elle s’approcha de lui, pour lui voler un baiser … fugace. Puis elle lâcha sa main et s’échappa, lui lançant un défi au passage. Celui de l’attraper. Et s’il le relevait ce défi ? Et s’il y parvenait que se passerait-il ? Sincèrement, elle en avait aucune idée car elle ne pensait pas autant, elle ne pensait pas si loin, elle se laissait guider par son corps et son cœur et non sa tête. Rien n’était réfléchit, calculé, tout était improvisé, sur l’instant. Elle était aussi ainsi Autumn. Et Alvario, aussi, sûrement. Car il la suivait, il courait après elle. Semblant faire son maximum pour la rattraper. Il y allait tellement pour de vrai, qu’il se cognait parfois. Et elle s’arrêtait, croisait son regard, son reflet. Elle était soudain comme une tentation de plus. Puis elle filait, s’échappait à nouveau. Parfois, elle se stoppait seulement pour le regarder pour être certaine de ne pas le perdre de nouveau. Et quand il la regardait, elle se sentait bien, puis soudain son regard se changeait, une lueur de provocation apparaissait, son sourire se faisait joueur, elle riait à en faire vibrer les miroirs. Il n’était plus très loin. Mais elle était persuadée de pouvoir gagner, de pouvoir sortir avant qu’il ne la rattrape. Quand … soudain … elle tâtait les parois de verre. Aucune sortie, elle était dans un cul de sac. Elle se tourna pour sortir mais il était là. Planté devant elle. Bloquant la seule sortie. Il venait de la prendre au piège. A nouveau elle se mit à rire. Je crois que j’ai encore regard plongeait dans le sien, alors qu’il s’approchait doucement d’elle. La distance entre eux n’était pas si grande et pourtant son avancée lui semblait interminable, comme au ralenti. Des papillons naissaient dans son corps. Et durant tout ce temps son regard l’hypnotise. Et, soudain, ces frissons qui envahissent son corps quand, enfin, il la frôle, la touche, se colle tout contre elle. La chaleur qui se propage en elle, alors que ses lèvres prennent possession des siennes. Leurs langues s’unissant pour une danse endiablée. Leurs corps bougent, elle se retrouve plaquée contre une des parois. Mais soudain, la fin. Le choc total. Jackie vient de pousser violemment Alvario pour les faire se détacher. JACKIE ! Qu'est-ce qui te prends ? Bon sang !Non mais ça va pas vous deux ? Tu es qui toi ? C’est pas un truc à faire dans un jeu pour les gosses . Dégages !!Il attrape le bras d'Autumn qui se débat physiquement et verbalement mais il n’écoute rien. Il est plut fort et tout se déroule très vite. Il l’entraîne à l’extérieur. Où se trouve le reste du groupe, qui les regardent médusés, sans rien comprendre à la situation. Mais Autumn ne veut pas suivre et Jackie qui s’énerve un peu plus, la jalousie bouillonnant dans ses veines. Il se baisse, la place sur son épaule, la soulève et l’embarque comme si elle n'était qu'une enfant prise sur le fait par son agis comme une idiote. Tu ne le connais même pas. C'pas toi ça ... puis il est tard, on t'a cherché partout. ON RENTRE !!! Ven 18 Sep 2020 - 1419 Cache-cache au pays de MickeyNos bouches se répondent, elles s'éveillent, s'allument et s'usent l'une contre l'autre. Le manque de souffle de nous effleurent même pas. L'excitation gonfle entre nous alors que mon corps la plaque contre le miroir derrière elle. La chaleur se diffuse dans mon ventre, le long de mon être qui la réclame déjà. C'est de la passion brute, atone, qui dépasse la logique. Ça me transperce de toute part, comme un rêve devenant ma réalité. C'est ça s'arrête. En un coup. On me tire en arrière, on m'arrache à elle sans que je m'y attende. Mon dos atterri avec fracas contre un miroir, faisant claquer mes dents sur ma langue. Mes yeux se ferment brièvement pour accuser le choc, puis se rouvre sur la sale gueule du mec qui vient de me faire voler. Tout va trop vite. Il est déjà sur elle alors qu'elle se débat. Il l'emmène loin de moi, la tire à sa suite alors qu'elle proteste. Mon corps se décolle à peine du reflet pour tenter de l'attraper au vol, mais mes doigts glissent sur son haut. Elle s'envole en un souffle. J'hésite. Trop longtemps. Mes pieds restent figés sur place. Mon regard se heurte sur ce gars qui la porte comme si elle n'était qu'une poupée de chiffon. Je boue de l'intérieur. J'ai envie de courir, de la rattraper, de provoquer ce gars qui m'a arraché mon rêve, mais c'est trop tard. Ils ont déjà disparu. Je n'ai même pas pu croiser son regard une dernière dos retrouve la surface dure. Mon corps se font contre elle, complètement sonné. Une main glisse dans mes cheveux pour tenter de me remettre les idées en place. Tout est allé si vite. Trop vite. Je frôle mes lèvres du bout de mes doigts. Je porte encore le goût de sa langue sur mon palet. Je mordille ma lèvre en relevant les yeux vers l'endroit où elle a disparu. Je la retrouverais. Nos chemins se re-croiseront. Il ne peut pas en être autrement. Ça ne peut pas se finir comme ça. Ce n'est que le c DΛNDELION Cache-Cache au pays de Mickey - AlvarioPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

je ne supporte pas mon mec quand il a bu